N Sti9 ee o, INFO-PARENTS NS cf Mot du président ’année scolaire tire a sa fin. L’été est la, tout prés, qui nous tend les bras. Avant d’aller se perdre dans les délices ensoleillés des plaisirs de la plage, des grillades sur barbeque, du jardinage et des voyages, je voudrais partager avec vous un peu les faits saillants de l année. Malgré les difficultés auxquelles le Conseil scolaire francophone et bon nombre de comités de parents ont di faire face, lapremiére année de transition s’est bien passée en ce qui concerne les services qui ont été donnés en classe. C’est dire que nos enfants n’ ont pas été affectés. Au contraire, il y a eu de nombreuses améliorations visibles dans plusieurs écoles quant aux ressources et aux services : orthopédagogie, mesures d’accueil, livres, ordinateurs, «portative», etc. Sans aucun doute, le Forum 97, l’école au coeur de la communauté : un partenariat essentiel, a été V’événement marquant de l'année. On ne pourra jamais assez souligner Vimportance capitale de ce travail Sommaire Le rapport sur le FORUM 97, Dossier francisation pp-4-5 Jeux francophones p-6 Les finissants 96-97 Suivis au FORUM 97K Festival théatre-jeunesse —p.12 Alphabétisation familiale p.13 Rencontre provinciale p.16 des parents d’équipe qu’ est le partenariat et combien il est nécessaire a la réalisation du projet éducatif. Dans cette veine de collaboration, il faut également mentionner le stage d’été Apprendre Ensemble et le congrés du Consortium en éducation francophone. Au cours de ces deux rencontres provinciales, les participants ont notamment eul’ occasion de s’initier a divers outils médiatiques touchant ainsi un important volet de V’ensemble de ressources intégrées (ERI), frangais langue premiére. L’implantation de projet éducatif et des exemples de coopération prennent forme a travers le processus de mise sur pied de centres scolaires communautaires (Kelowna, Prince George et Victoria) et la tenue d’activités socio-culturelles réunissant différents intervenants du milieu éducatif. Dans un autre ordre d’idées, d'ici la fin juin, le gouvernement de la Colombie- Britannique aura déposé en chambre son projet d’amendements alaloi scolaire afin de se conformer au jugement Vickers du mois d’aoit dernier. Malheureusement, nous savons déja que ces amendements ne répondront pas aux exigences imposées par le juge Vickers. C’est trés navrant car cela nous force a dépenser du temps, de l’énergie et de l’argent pour obtenir ce qui nous est du plutét que d’offrir des services dont nos jeunes pourraient bénéficier tout de suite. Il y a aussi la question du territoire hors de la juridiction du Conseil scolaire francophone. Les éléves de ces programmes se trouvent encore dans une espéce de «no man’s land» qui ne facilite en rien le développement du programme et rend la tache des comités de parents de ces régions trés difficile. D/ailleurs sur ce sujet, je tiens fortement a souligner le travail, le courage et la persévérance de ces acharnées et acharnés, dont l’engagement et la ténacité sont exemplaires au plus haut point et qui, par ce qu’ils font quotidiennement, nous transmettent le message de ne pas lacher avant d’étre parvenu ala ligne d’arrivée. Je ne peux pas ne pas mentionner le travail accompli par tous les acharnées et acharnés partout dans la province, sans qui l'éducation en frangais ne ferait pas les pas en avant qu’elle fait. Ensemble nous y atrivons! L’année 96-97 a vu le lancement du projet de francisation qui va permettre aux tout-petits de se franciser plus tét parce que le support de la famille et surtout du parent non-francophone est rendu plus facile. L’année prochaine verra ce projet faire encore plus de chemin. Du cété scolaire, il faut noter l’ouverture de deux nouveaux programmes a |’élémentaire, un a Langley et le second dans la partie ouest de Vancouver. Il est, je pense, nécessaire de souligner que la raison d’étre de | APFCB ne se trouve pas le moindrement réduite par la seule existence du CSF. Nonobstant le partenariat qui sera le mot d’ ordre dans les rapports entretenus entre les deux organismes, les parents auront toujours leur mot a dire en matiére d’éducation de leurs enfants, «mot» qui devra trouver sa place au coeur du processus décisionnel mis en oeuvre au cours des mois a venir, tel que l’ont exprimé les parents lors de larencontre de Parksville a la fin mai. Daniel LeScieller président