LES AFFAIRES MUNICIPALES Dans mon commentaire de la semaine derniére, sur les affaires civiques, j’ai ac- cusé la Commission de Dé- saccord, un organisme éta- bli.sous la charte de la ville de Vancouver pour examiner les appels sur les réglements de la réparti- tion en zones, d’agir in- justement en ce qui con- cerne les appels des ci- toyens moyens mais de se plier aux demandes des grandes compagnies. oJaere ust svar ius j'ai -cité physique l’ont adoptés Grey- 2s dor- Le prix des bicycleflucteurs trés variable. On ped’unga- procurer unmodéle stc Geor- non monté pour $4Goir en- on paye jusqu’A $5des con- un velo de course a plla Com- vitesses. L’acheterd a don- choisir sa ‘‘petite la per- } selon l’emploi plus outre aux fréquent qu’il a en vuréparti- Il est trés impor Maintenant, je vais donner un autre exemple de la ma- niére dont la Commission a violé ses propres régles et la charte de la ville pour aider une grande compa- gnie, Ben. Wosk, dans le quartier de Kitsilano. Le propriétaire de cet im- meuble situé au 2280 rue Cornwall s’est adressé A la Commission en janvier 1970 pour obtenir un per- mis pour la construction d’un immeuble d’appartements de neuf étages, comprenant 35 logements. Le Département de planification de la ville, qui a pour tache le renfor- cement des réglements de la repartition en zones, a rejeté la requéte parce qu’ 2lle proposait de passer ou- cre aux réglements de laré= partition en zones s’appli- quant aussi bien 4 lahauteur (angle vertical d’obstruction 4 la lumiére) qu’a la surface (ratio d’espace des étages). Le propriétaire a alors fait appel devant la Commission de Désaccord. La Commis- sion lui a donné satisfaction en permettant a l’entrepre- neur d’ignorer les deux ré- glements de larépartitionen zones mentionnés ci-dessus, mais ne luiapas accordé tout l’espace qu’il demandait. Un an.plus tard, au prin- temps 1971, le propriétaire s’est adressé 4 la Commis- sion, en demandant une autre augmentation de surface. Cette fois, la Commission a satisfait complétement A sa requéte. Le résultat final fut que l’immeuble d’appar- tements précédemment re- jeté par le Département de planification en 1970 était alors permis. Entre autres choses, celaa permis A4l’im- meuble d’étre plus haut, de deux étages et demi, que per- mis par les réglements de la répartition en zones. La Commission de Désac- acheter une bicycleti bonne taille. I] ne f Bathtub choisir un cadre trop pateaux On doit pouvoir tou course sol des deux pieds qimo A vauchant le cadre. Esnement ral, la hauteur dung leca- doit @tre inférieurqy grand pouces a la longueuinche 23 VOS ENFANTS les bai- Cher beurre d’aracB 4 Na- Ne vous sentez plusin et les | ble quand vous préparmceront sandwichs au beurre 4 arriver A la plage Kitsi- lano, 4 Vancouver, 4 partir _de midi. Ceux qui désirent partici- per, A titre bénévole, 4 la course, en tant qu’équipa- ges de bateaux d’escorte, sont priés d’écrire A la Loyal Nanaimo Bathtub So- ciety, Box 565, Nanaimo, B.C., tél. 754-2311. | cord a passé outre 4 ses propres régles et alacharte de la ville sur trois points au moins. 1) L’entrepreneur a affir- mé, dans son appel en jan- vier 1970, que se conformer aux réglements de la répar- tition en zones serait ‘‘non économique’’ pour lui. Son appel fut satisfait en dépit du fait que la charte de la ville déclare spécifiquement qu’un relachement des ré- chides, ~ accompagné: ogram- MODE D’ETE ales, la r Early ionavec Fses en- mois de ils re- que l’on cchés et ; de toute siécles. les dan- ‘vales et. on utili-' qui 4 l’origine étaient des- tinés pour le plein air. ». Si vous voulez savoir a l’avance ow jouera l’orches- tre, veuillez appeler le 732-6026. glements de la répartition en zones ne peut étre accor- dé par la Commission que si ces réglements imposent ‘fune contrainte déraisonna- table’? sur le propriétaire, et de plus, que ‘‘la Commis- sion n’accordera aucun appel seulement sur la base que s’il est accordé, la terre ou | les immeubles en question {peuvent étre utilisés plus ble ou une privation évi-. profitablement...”’ Le profit seul était en ques- tion ici. Il n’y avait pas de ‘contrainte déraisonnable ou de privation évitable’’ pour le propriétaire. Tous les autres propriétaires du quartier doivent se confor- mer aux réglements de la répartition en zones. 2) Le deuxiéme appel par le propriétaire de cet immeu- ble au printemps 1971, fut clairement un appel A la Commission pour qu’elle modifie sa décision origina- le. La charte de la ville déclare spécifiquement que **la Commission n’entendra pas de nouveau un appel sur une base ou sur des princi- pes identiques 4 ceux sur lesquels la Commission a déja rendu une décision...’? 3) On n’a pas. envoyé de no- tifications directesdel’ appel auxX propriétaires des im- meubles voisins, leur don- nant avis de l’appel, comme cela est exigé par la charte de la ville qui déclare ‘*La Commission donnera notification 4 de tels pro- priétaires comme la Com- mission peut estimer étre affectée par l’appel’’. Le Conseil municipal doit amener cette cause particu- liére en cour et débattre la décision de la Commis- sion. Si la Commission peut s’en sortir dans ce domaine, alors, autant jeter par la fenétre tous nos réglements | de la répartition en zones. Le Conseil doit créer unco- mité pour examiner la Com- mission du point de vue du changement du personnel et de la création de certaines protections légales en fa- veur du public. par le Conseiller Municipal Harry RANKIN | NOM: csssssossssesssssssesseceeserssseessssenscseeesentenesseseseessscved AGE : ADRESSE Populaires et nologie Francaise préparent ce colloque auquel sont venus Centre Documentaire pour l’Archéologie A Marseille, Mme Calame-Griaule, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Mme Gluck, Centre d’Ethno- logie francaise 4 Paris, MM. M. Condominas, Ecole Pra- tique des Hautes Etudes, J. Cuisenier, M. Godelier, de France Mme Borillo, du Ecole Pratique des Hautes Etudes, B. Jaulin, Maison des Sciences de 1’Homme, Claude Levi-Strauss, Labo- ratoire d’Anthropologie So- ciale, F. Lévy, Maison des Sciences de 1l’Homme, P. Richard, Maison des Sciences de l’Homme, M. Virbal, Centre Automatique Documentaire pour Archéo- logie, M. de Virville, Centre d’Ethnologie francaise. A eux se joignent prés de quarante savants d’Atravers le Canada, qui jusqu’a mer- credi- prochain assisteront aux séances qui se tiennent 4 Cecil Green Park, 4 U.B.C. Le mardi 11 juillet, de 9h. A 11 h. du matin, aura lieu une séance ouverte 4 laquelle peuvent assister tous ceux qui s’intéressent au domaine des mythes amé- rindiens. chains. j’aimerais travailler : Deb oePilAg TIQUES %..csessce AUDIO-VISUE IS <0. +ssee MUSIQUE ...... eoee ALC. ....sreererecrccvererevecsecs FORMULE D’ENREGISTREMENT AU HAPPENING CULTUREL eccece eercccce CO OOCO CEH LE SOE EEEEE OEE EESOEEESEFHTE SETH SES OOEEESELENCEM 3 Pew eere creer cee sesseseseeeseseeeeseses ESTES OTTOTEEEseeseseeee® NUMERO DE (TELE PHONEes,s.0.-.c. fo5ecnkon esses Je désire participer au HAPPENING CULTUREL organisé par le groupe LA RENAISSANCE les 4, 5, et 6 aoft pro- Voici, par ordre de préférence, les ateliers dans lesquels} EXPRESSION THEATRALE ......000. J’inclus $ 5.00 pour débourser les frais de ood esa t j’attends de vos nouvelles pour savoir définitivement dans quel atelier je travaillerai. ; SIFNALUTE cescoccocccescccccces Envoyez a: LA RENAISSANCE, 1013-B, Brunette, Z Maillardville, C,B. Indiquez vos préférences} 2n ajoutant les chiffres 1, 2, 3, 4, auprés des ateliers appropriés. Wi, LE SOLEIL, 7 JUILLET 1972