po ee EEA ERR EPs Stag ee a 6 Le Soleil de Colombie, vendredi 6 aoat 1982 MVS ERVICES 1234567890N12 =Seonrnouewn = os tL) HORIZONTALEMENT 1—Rendre général. 2—Exhaussement. — Symb. chim. 3—Nég. — Ensemble. 4—Premiére femme. — Principes fondamentaux. $—Gent. — Adresse. 6—Foyer de la cheminée (pi.). — Qui est sur son séant. 7—Farceur en général. — Touchés. © 8—Deux. — Sagacité, finesse d’esprit (pl.). 9—Qui vient aprés le deuxiéme. — Conj. 10—Jumelles. — Femme séduisante. 11—Lac africain. — Petit trait. 12—Extrémité d’une route. — Tessons. VERTICALEMENT 1—Le plus grand nombre (pl.). 2—Qui éléve. 3—Venu au monde. — Non prépar4. — Nég. 4—Prén. de femme. — Estonie.— kleuve russe. S—Espéce de chou-navet. — Arrét d’un liquide organique tel le sang. 6—Gros singe. — En cet endroit-ci. — Article. 7—Femelle du chien de chasse. — Actions. 8—Fille d’Inachos. — Maison de campagne. — Maire de London. 9—Consonnes. — Relatif aux habitants de la Haute Ecos- se. — Ville des Etats-Unis. 10—Intérieur et profont. — Terminaison de verbe. 11—Nom que les Egyptiens donnent au soleil. — Prince de Troie. 12—Unis et polis. — Principale partie du corps humain. PRENDS 6 ALLUNE TIES DANS UNE BorTE.. ow» ESSAIE NANTENANT JUUEZ AVEC NGUS suite de la page j L’atmosphére devient trés sympathique et détendue. Un tacteur important est que l’on peut rencontrer de participants venant d'autres provinces du pays. Dans ce programmeily aapproximati- vement soixante-dix étu- diants, sept professeurs, et un coordinateur. Les étudiants sont originaires de la Nouvel- le-Ecosse,du Nouveau Bruns- wick, de l'Ontario, du Manito- ba, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique. Il y a méme quelques jeunes du Québec qui viennent pour étudierlefrangaisal’universi- té de Colombie-Britannique! ‘\C A Ton Avis, Le RECORD bE ConsTRUfRE a LAQUELLE DE CES ent CES LIGNES EST PA- NG == RALLELE A LA hh NUMERO 41 > Z\\ hAg 4: i DU MONDE DE DURES SUR UNG CORDE RARDE,ESEIL DE 244 HEURES... feuX- TU NETRE Ces 6° NoTS @oUT- 4-€ouT, pe FACON QUE LA BER-. NIERE SYLLABLE DUN HoT, Soft va 4 pv sutvaur? lafice a la poursuite du Petit Poucet. Le lendemain, elle vient annoncer triomphale- ment. sa soeur: ’ — Viens voir, l’ogre ne pourra plus attra- per les petits enfants: J'ai arraché la page’... un exemplaire des "’Contes de Perrault’’ mais elle n’aime pas voir l'image -on I'o- gre, chaussé de ses grandes bottes, se : Solutions p.15_ 3 : rc . Trouvez les 7 erreurs. La langue maternelle de tous lesprofesseursestle frangais. Ils viennent de France ou du Québec. Les professeurs et la coordinatrice combinent leur zéle, leur patience, et leurs connaissances pour rendre le cours agréable. Le Coordina- teurestresponsable de toutes les activités, et de tout le personneldu programme. Le programme unit tout le monde dans le but d’appren- dre avec plaisir. Mme Andrew n'est plus suitedelapage 1 cedel’Université, et lafamille déménagea & Vancouver. trés active dans les Ss et l'éducation, membre de I’Ins- titut Vanier dela famille, dela Galerie d’Art de Vancouver, de l’Association des services familiaux, du Club des fem- mes universitaires, de l’ami- calede Un. McGill. Bilingue et francophile, elle contribua jusqu’dsarécente maladieala Fondation Le Soleil de Colom- ie. Outre son époux Geoffrey, ellelaissedans le deuil, son fils Edward, professeur de philo- sophie politique, quatre filles, Alison Szanto, professeur. d’anglais, Caroline Andrew St-Amand, professeur de sciences politiques, Joan, fonctionnaire, Katherine, é- tudiante en droit, 6 petits enfants, 2 soeurs et un frére. Leservicefunéraire, auquel assistait, outre la famille, une foule d’amis et de dignitaires, a eu lieu & 16h30 le 3 aofit en I'église St-Anselm, sur le | terrain de l'Université de la oe Mme Andrew fut jours — C.B. Michele, mannequin suite de la page j Alors, 4 Vancouver, elle prend des cours dans une des trois plus grandes _ agences, elle fait ensuite quelques présentations — trop peu ason gofit —. En fait, les cours, qui durent de deux & trois mois et qui cofitent entre $800. et $1200.sontdes miroirs aux alouettes. Lesagences donnent elles-mémes les cours et vivent de ces classes. Les gradués filles tet garcons, sont ensuite enrélés dans _ Il'agence. “Mais le pourcentage des filles et des gars qui réussissent est trés faible Programme d'immersion S.L.B.P. s’efforce de nous faire mieux parler et com- prendrelefrancais. Donner a l'individu la chance d’amélio- rer sa connaissance du fran- gais est une excellente expé- rience d’apprentissage. Jocelyn Hung Greg Van Sickle Susana Bardos, débutants Immersion en francais, a U.B.C. A MEDITER | ARRIVISTE “Un homme qui, par ambition, passe- rait sur son propre cadavre. "' M. Thevoz. Que si le moi est haissable, aimer son prochain comme sot- méme devient une atroce ironie. Paul Valéry. — pour ne pas dire nul—” explique Michéle. “A Vancouver, ces agences se prennent ‘trop au sérieux et manquent de professionnalisme. Tout commeles photographes!” de répondre Michéle. Car un mannequin dépend des photographies qu'il ou elle présentera plus tard. “A _ Vancouver, Ee N ery MA PARES 20... phe prend des photos et en revanche le manne- quin devient modéle © pour celui-ci.” m’explique Michéle. Michéle vient de faire deux défilés de mode, dans un restaurant, pour une styliste de Vancouver. Pour se faire connaitre et &tre lancée, Michéle a accepté - sans rémunéra- tion- “Les postulants et postulantessonttellement nombreux quelesstylistes ont leurs mannequins gra- tuits.lemondedelamodea Vancouverest trésconser- vateur. On se sert des mémes tétes, des mémes mannequins. Il ne leur viendra jamais a l'idée de chercher l'inconnue, la nouvelle. Donciln’y a rien pour moi, ici.” souligne Michéle.. D’un visage - type dramatique, et trés grande, Michéle a — ce qu'on appelle — de la classe. “Sur la céte ouest, on cherche la fille sportive, souriante, en “jeans et. tee-shirt. Pour moi, iln’y a rien.” C’est pourquoi, Michéle se dirige maintenant vers le “fashion consultant”, c’est-a-dire introduire la -mode chez la femme et l'homme de Vancouver. - “Je conseille d’une facon amicale et simple, le ou la cliente, pour sa garde- — robe, son maquillage et sa facon de marcher” d’expliquerMichéle.Enun mot, faire ce qu’enseigne uneagence, maisenpayant beaucoup moins et d’une fagon plus personnalisée “Je veux que la Vancouvé- roises'intéresse ala mode, quel ceo iire desatacon es’habiller, qu'elle vivela mode et quelle l'aime” conclut Michéle.