“42 Le Soleil de Colombie, Vendredi 7 Juillet 1978 Capitaine George Vancouver Sa biographie et ses explorations Par Alexandre Spagnolo Président du Cercle Fran- ¢ais de Coquitlam Sur le navire “Chatam” de Vancouver se trouvait un maitre de mats, jeune offi- eier dunom d’Edmund At- kinson. L’expression “ami particulier” placé entre guil- lemets, provoque, aussi, des soupcons particuliers. Rele- vons que Vancouver ne con- vola jamais en justes noces... Grande dérision, pendant 150 années, les travaux et les explorations de Narvaez et Verdia, furent ignorées, tout alla au Capitaine Geor- ge Vancouver...eh, oui... e'était un digne fils d’Albion. Le jour du 12 juin 1792 fut officiellement accepté com- me celui de la découverte du site de l’actuelle Ville de Vancouver, a partir de Point Grey (Campus de 1'U-.B.C.) par George Vancouver. Ce dernier avait noté dans ses écrits, le 13 juin, or, il navait pas tenu compte du décalage du méridien terres- tre, suivant la direction est ouest du point de départ. La différence d'un jour fut in- troduite, le 12 juin fut done retenu. Seize années durant, au- eun homme blanc, semble-t- il, n'aurait vu le site de Point Grey. En 1793, Alexander Mac- kenzie traversa le continent et manqua de quelques se- maines la rencontre avec Vancouver. Rencontre avec celui qui a «rencontré» par Gilles NORMAND Plus de 400 ans apres la prédiction du célébre astro- logue francais dont bon nom- bre des grandes prophéties se sont réalisées, voici qu'il nous est annoncé une ren- contre massive du «troisié- me type» — un sujet a la. mode a l'écran — pour 1996. Si les «données terrestres». ne changent pas... Toutefois, si les données terrestres devaient changer — il semblerait que ce soit le cas — l'invasion des extra- terrestres, qui viendront par millions nous sauver, devrait se produire plus tét. Plus les données seront «négatives», plus l’extraordinaire rencon- tre sera rapprochée dans le temps. Cette prophétie, si éton- nante qu'elle soit, n’est pas... tout a fait nouvelle pour peu” Incidemment Simon Fra- ser, le Superintendant du District de la New Caledo- nia, l'ancien nom de notre province, qui fut membre de la North West Company, qui, en cherchant le Fleuve Fraser, que Vancouver avait négligé de repérer en 1792. On sait que Simon Fraser fonda Fort George devenu Prince George, il s’associa a Jules Maurice Quesnel pour des explorations. Les Espagnols, alors plus perspicaces, avec Francisco Eliza, en contact avec les Indiens, nommérent ce fleu- ve “le Rio Blanca” du nom du Comte de Florida Blanca, Premier Ministre d’Espagne tandis que le nom indien était “Tacoutchi”. Si, au lieu d’aller et venir sur la céte, Vancouver s’é¢- tait aventuré, a marée hau- te, dans l’embouchure du fleuve, il aurait eu honneur d’avoir découvert un immen- se fleuve, notre Fraser. Lors de sa retraite, Simon Fraser refusa le titre de Chevalier du Royaume; il mourut a Saint Andrews, pres de Montréal, le 19 avril 1862, et sa femme, quelques heures apres. ; Pour l'histoire, le fléuve Columbia, qui intéresse no- tre province, prend sa sour- ce au Lae Columbia, des Montagnes Rocheuses, tra- epse la Colombie-Britanni- que, |'Etat de Washington et celui de l’Orégon, ot il se déverse dans !'Océan Pacifi- qu’on y accorde tout notre sérieux. Elle est contenue dans le livre «J’ai été le cobaye des extra-terrestres» de Jean Miguéres, publié chez Promazur-RG, 4 Paris, en 1977, et mis en librai- rie 4 Montréal, depuis trois ou quatre semaines. Jean-Richard Migueéres est né a Alger le 11 mai 1940, est marié et a deux enfants. C'est le type parfait du Francais moyen. II a exercé plusieurs métiers: mécani- cien moto, chef de train, détective privé... _ Son histoire commence le 11 aot 1969, 4 5h00 du matin, alors qu'il conduit une ambulance sur une route a trois voies, 4 Saint-Etienne- de-Vauvray, en France. [laa son bord deux autres per- ~ sonnes et un cadavre. Son passager de droite dort lors- que, lui, apercoit dans le ciel une étrange forme lumineu- se s'approchant. Au moment ou elle est au-dessus de son véhicule, une autre voiture surgit devant. «J'ai tout tenté pour chan- ger de voie. Rien a faire, l'autre véhicule changeait aussi. J’avais l'impression de conduire les deux voitures, exactement comme si je conduisais devant un miroir. La collision s’est produite de plein fouet. Mes occu- ‘pants ont’ été éjectés, tandis’ que, a Portland, apres un long parcours d’environ 2,000 kilometres. Il fut découvert, en 1792, par l’'Américain Robert, Gray, qui le baptisa “Colum- bia” du nom de son navire. - Il l'a exploré de la source a Pembouchure. Cinquante années apres que Simon Fraser fut chassé ignominieusement par les Indiens de New Westmins- ter, le site de la future Ville de Vancouver fut abandonné Ala nature, foréts, maré- cages, lacs, animaux sauva- ges et, naturellement aux Indiens. Les aborigénes, premiers habitants, furent les Indiens Musqueam et Sko-komish . (Squamish), deux tribus séparées des Salish, avec un total de 33. 5,000 habitants. ‘ Plus de cent villages fu- rent identifiés dans ce qui est l'actuel périmeétre du Grand Vancouver. Villages, c’est trop dire, plutét des eampements pour la chasse et la péche, suivant les saisons; les Indiens n’a- vaient pas la notion de la propriété...depuis, ils se sont ravisés...et comment. Le Salish était une des sept grandes langues adop- tées de l'embouchure du fleuve Columbia aux Iles de lAlaska. Au cours des cinquante années qui suivirent la cour- te visite de Simon Fraser, le monde extérieur, peu a peu, s‘approchait du futur Van- couver, dont la Hudson Bay Company (fondée en 1670), qui s‘installa a Fort Langley. New Westminster devint la capitale de notre province, le 20 juillet 1859, suivant le ‘désir de la Reine Victoria, mais auparavant le Colonel R.C. Moody lui avait donné le nom de “Queenborough”. Fort Langley fut une capita- le éphémeére. Les hommes et les fem- mes qui établirent Vancou- ver, écrit l’historien cana- dien Alan Morley, furent les juifs de l'Exodus, les Nordi- ques du Groenland et du Vinland, les Woortrekkers de l'Afrique du Sud, les Quarante-neuf de Californie, ils furent les pionniers de la Colombie-Britannique. En tout cas, ajoute A. Morley, Vancouver est le produit d'une série de géné- rations d’hommes. I] faut se pencher vers les eéants des premiers jours de Vancouver, qui la batirent, puis les a écrasés... Vancouver était nommée la ville des scieries de bois, a eause de ses immenses fo- réts, tout autour de l’actuel Gastown. Le theme de la Chanson de Vancouver est une sorte de bruits des scies mordant les trones, le décou- page, la chute des copeaux, Bilan des explorations de Vancouver a Vancouver .Avant de passer au pro- chain chapitre des explora- tions du Capitaine George Vancouver, faisons un bilan, hors des chemins battus des historiens...de ses activités dans notre région incluant le Grand Vancouver, le Détroit de Géorgie, de Nootka mé- me, et de l’Ile de Vancou- ver, ex-Quadra-Vancouver; que déduisons-nous? (A SUIVRE) photo Paul-Henri Talbot, LA PRESSE Jean Miguéres, avet qui nous avons conversé une heure et demie, nous a paru un hom vendre. : que je suis resté collé a mon siége, retenu par ma cein- ture de sécurité. Durant ce temps, |'étran- ge disque restait au-dessus de la scéne. Puis, un étre d’apparence humaine — a l'exception de la peau dont la- pigmentation ne ressemblait A aucune autre — s'est matérialisé sur le siege, 42 ma droite. Il n'a méme pas remué les lévres, tandis que je sentais télépathiquement ~*s'imprimer dans mon cer-* *raconte Jean Miguéres: ‘« me pondéré qui n’avait rien a veau un message me signi- fiant qu'il allait me régéné- rer. Tirant d'une petite saco- che un disque lumineux a peine plus gros qu'une piéce de 25 cents mais tres bril- lant, il me I’a appliqué sur la nuque. C’était comme si un fort courant me traversait la colonne cervicale et verté- brale. J'ai compris qu'il m’expri- mait qu’on reviendrait me voir, puis il.s’est. volatisé», Lisez les écrivains francophones Gilbert Cesbron Ecrivain francais né a Paris en 1913. Ancien éléve de l’école des Sciences Politi- ques. Romancier et auteur dramatique. Chrétien, catho- lique, sensible a toutes les détresses, il a écrit des romans qui prennent pour sujet les thémes les plus graves fournis par notre époque. SES OEUVRES LES PLUS CONNUES: Les Saints vont en enfer: les prétres ouvriers; Il est plus tard que tu ne penses: le cancer, l’euthanasie; Entre chiens et loups: la violence; Une abeille contre la vitre: Quelle place pour une femme dans notre société? Et si de plus, elle est laide? Authéatre, Cesbron est auteur du célébre Il est minuit, Docteur Schweitzer, par la suite porté a l’écran. Editeurs: Robert Laffont, Livre de Poche. SiS HEROS PREFE- RES: les enfants et les adolescents. Lorsqu’il les é- tudie, il ne s’en détache qu’a regret, écrivant a la fin de. chaque livre: “Adieu donc, enfants de mon coeur...” Notre prison est un royau- me: des adolescents et leurs problémes, le conflit des générations. Chiens perdus sans collier: la jeunesse délinquante (Porté a I’écran de facon magnifique avec Jean Gabin et de remarquables jeunes acteurs). C’est Mozart qu’on assassi- ne: L’enfant victime de la mésentente de ses parents. Mais moi, je vous aimais: ~ drame de l'enfant handicapé, mal aimé, “géneur” et reje- té. LISEZ POUR COMMEN- CER: Les Innocents de Pa- ris: Aux portes de la ville, des enfants vivent comme des oiseaux dans le ciel. Une cabane abandonnée devient leur royaume d’oU ils par- tent pour de joyeuses expé- ditions mais un drame vien- dra tout bouleverser. Quand on avait vu la Cabane, toutes les autres petites maisons semblaient mortes; et l'on s’apercevait seulement, en effet, qu’elles étaient sans couleurs. Mais la Cabane brillait comme un palais royal au coeur de la Ville de bois; c’était un phare sur le versant et qui regardait Paris de tous ses yeux; une lumiére, la derniére, a la sortie du port avant ce grand océan vague de la banlieue... Depuis deux mois qu’ils se I’étaient appropriée, © quiils y venaient chaque jeudi, chaque dimanche [et, depuis la sortie de Paques, tous les jours] les enfants ne se rassasiaient pas de leur royaume. Ils s’arrétérent avis: & quelque distance et les cing sourirent de contente- ment... La barriére était entrouverte; on y lisait cet “N’AYEZ PAS PEUR! CHIEN GENTIL” (Les Innocents de Paris): | Miguéres a survécu a 18 interventions chirurgicales et 4 65 transfusions de sang, soit infiniment plus que n’en peut contenir le corps hu- main, et au cours de ces | opérations, il a été déclaré mort cliniquement a trois reprises, soutient-il. © Miguéres soutient que les extra-terrestres sont entrés en contact avec lui en plu- sieurs occasions depuis, la ««. derniére fois ily:a trois‘ou quatre mois, «sous forme de ce que j’appellerais contact télépathique». L’auteur de «J’ai été le cobaye des extra-terrestres» est ce méme personnage qui affirmait aux media francais, en 1973, que notre systéme solaire contenait 10 plane- tes, soulevant ainsi les mo-, queries et le mépris des! astrophysiciens. La carte du ciel a toujours indiqué neuf planétes...jusqu’a tout der- nigremdnt. © St 0S0s5 St 55 8, r A ne se SmENree te pons agp pun a > ‘ ; ne