Le Soletl de Colombie, vendredt 2 octobre 1987 - 17 4 du 21 mars au 20 avril PX Poy du 21 avril au 20 mai At BI du 21 mai au 21 juin ES du 22 juin au 22 juillet FAS. du 23 juillet au 23 aout L’autre sexe conspi- re. On sollicite votre présence. Votre juge- ment vous permet d’é- tablir des différences. Un oeuf a la coque n’est pas un oeuf sur le plat. Votre réle n’‘est pas terminé. Une désillusion ne s’explique pas. Les mémes causes ne pro- duisent pas toujours les mémes effets. L’au- tre sexe vous contredit. Vous acquérez de I’‘ex- périence. Une offre vous enchante. Vous solutionnez une question importan- te. On vous impose un sacrifice. Le chat sort du sac. La lumiére bril- le. Un €tre favorise vo- tre avancement. Vous ralentissez votre effort au mauvais moment. Mettez le pied sur le pédale douce. Un oi- seau chante. Une en- treprise progresse & vue d’oeil. Le découra- gement n’aboutit a rien. Une personne trompe votre vigilance. Les petits plats sont parfois les meilleurs. Une question intrigue vos amis. Pas de re- marques désobligean- tes. Vous gagnez une partie serrée. Ne cou- rez pas aprés tes papil- ~ lons. Ld jill du 24 aout au 22sept. Une question vous fait rire. Réfléchissez, puis allez de |’avant. Les circonstances vous sont avantageuses. Ayez plus d’audace. ~ Un-étre vous conseille— Gaz du 23 sept. au 23 oct. Se | du 24 oct. au 22 nov. malicieusement. Un voyage vous tente. Vous__ reconnaissez ‘innocence de quel- qu’un. Vous avez des doigts de fée. Un étre agit en clown. Vous avez un faible pour les choses romanesques. Eliminez tout caprice ou désir bizarre. Vous frémissez a un certain contact. Tour- nez la manivelle dans le bon sens. II faut la- ver votre linge sale en famille. Ne condamnez - pas avant d’avoir tout ct Pa du 23 nov. aul déc. PNG du 22 déc. au 20 janv. du 21 janv. au 19 fév. . x du 20 féve. au 20 mars entendu. Vous stimulez le ta- lent d’autrui. Quand on va & la péche, il ne faut pas oublier ses agrés. Ne tuez pas la poule aux oeufs d’or. Vous désapprouvez un ges- te. Les choses exoti- ques vous attirent. Vous abordez des su- jets complexes. Votre idée correspond a celle de I’autre sexe. Un mot conserve toute sa signi- fication. Votre jeu est loyal. Des négociations aboutissent. Il y a un doux parfum dans ‘air. Bose Vous affirmez vos prétentions. Votre pen- sée n’erre pas. Vous prenez une chance & vos risques et dépens. Vous devez agir promptement. Vous — succombez devant la beauté. | ; La critique n’est pas de mise. Il est facile d‘avoir une vue d’en- semble. Une personne a tendance & empirer les choses. Le temps remet tout au point. Quelqu’un embaume votre atmosphére. FOYER Uncle Ben’s présente de nouveaux produits primés qui répondent aux exigences des consommateurs Le rythme de vie trépidant, le plus grand soin apporté a la santé et l'intérét marqué pour I’alimentation ont eu des répercussions sur l’indus- trie alimentaire au Canada; en effet, les consommateurs exigent des pro- duits qui sont a la fois pratiques et nutritifs, tout en étant savoureux. L’un des premiers produits nou- veaux qui réponde a ces exigences est le riz en sachets cuisson Uncle Ben’s, qui a remporté l'un des “oscars” de l'industrie alimentaire en 1987. Un nouveau procédé révolution- naire permet de produire du riz prét en 10 minutes. Le nouveau riz en sachets cuisson est du riz Uncle Ben’s Converted partiellement cuit; il est offert en portions soigneusement dosées, dans des sachets perforés spéciaux. Pour le cuire, il suffit de plonger un sachet dans l’eau bouil- lante. Le riz gonfle en cuisant et bloque les fines perforations lors des derniéres minutes de cuisson. Ce produit est extrémement in- téressant puisqu’il assure une cuisson parfaite, tout en éliminant le besoin de mesurer et les nettoyages de dégats ultérieurs. Le nouveau riz en sachets cuisson Uncle Ben’s est présenté en deux formats pratiques. Le paquet de por- tions individuelles de 200g contient quatre sachets de portions indivi- duelles. Chaque sachet donne une tasse de riz cuit. Le format familial de 400 g contient aussi quatre sachets, en chacun de ceux-ci donne quatre demi-tasses de riz cuit. Le prix de détail suggéré est de 1,49$ et 2,59$ respectivement. Le nouveau riz en sachets cuisson Uncle Ben’s est le complément idéal des plats vite faits tel que le poulet crémeux au cari et aux asperges. POULET CREMEUX AU CARI ET.-AUX ASPERGES (portion familiale) Isachet rizensachets 1 cuisson Uncle Ben’s, portion familiale 11/2¢. a soupe beurre ou 20 mL : margarine : 4 demi-poitrines 4 de poulet sans la peau, désossées et coupées en dés 1 tasse asperges 250 mL fraiches, en morceaux* (1 pouce/2,5 cm) 3/4 tasse poivron 175 mL rouge, en lamelles 2-3 c. a thé cari 10-15 mL lc. athé sucre 5 mL 1/2 c. a thé sel 2 mL 1/2 c. a thé gingembre 2mL moulu 1/2 tasse lait 125 mL 1/4 tasse eau 50 mL 2c. a. thé farine tout 10 mL 11/2: a soupe amandes 20 mL effilées grillées *On peut aussi utiliser des asperges en morceaux, surgelées, sans les décongeler. Faire cuire le riz selon le mode d’emploi indiqué sur la boite. Pendant que le riz cuit, faire fon- dre le beurre dans une poéle de 10 pouces (25cm). Ajouter le poulet. Faire cuire 4 feu moyen, en remuant de temps en temps, jusqu’a ce que le poulet ne soit plus rosé. Ajouter les asperges et le poivron rouge. Faire cuire 3 minutes, en mélangeant. Hors du feu, ajouter le cari, le sucre, le sel et le gingembre. Ajouter le lait, en mélangeant. Dans un bol, verser graduellement l’eau dans la farine, tout en remuant, jusqu’a ce que le mélange soit homogéne. Verser ce mélange dans la poéie. Faire cuire a feux moyen jusqu’a ce que la sauce épaississe en bouillonne. Servir sur un lit de riz chaud; garnir d’amandes. Pour 4 personnes. Selon la plus récente évaluation du Conseil ~consultatif sur 1a situation de la femme, il y aurait chaque année un million ll y aurait un million de Canadiennes battues BENOIT CHAPDELAINE SIS wes00-Scence de Canadiennes victimes de violence conjugale. Le chiffre d’un million peut surprendre, mais se- lon le Conseil, il est basé sur des estimations réa- listes. Ainsi, en 1985, trente mille femmes violentées ont trouvé refuge dans une des quelque 250 mai- sons de transition ou d’hébergement, et autant ont été refusées faute de place. Or on considére que seulement dix p. cent des femmes qui deman- dent de l’aide s’adressent a une maison d’héberge- ment; cette estimation est basée sur une enquéte ef- fectuée 4 London, en On- tario, ot les femmes bat- tues ont accés a des ser- vices trés diversifiés. On arrive ainsi au chif- fre de 600 000 femmes qui auraient fait une de- mande d’aide... auquel total les intervenants n’hésitent pas a en ajou- ~ ter presque autant qui ne demandent aucune aide. On en arrive ainsi au mil- lion... un chiffre qui peut “augmenter, indiquent plusieurs intervenants, si on tient compte aussi de la violence verbale et psychologique. Le phénoméne a-t-il pris de l’ampleur ces der- niéres années? «Pas nécessairement, répond Diane Prud’homme, du . Regroupement québécois des maisons d’héberge- ment et de transition pour femmes victimes de vio- lence, mais le phénome- ne de la violence conju- gale est plus connu. Les intervenants peuvent identifier plus facilement les femmes violentées, et elles-mémes reconnais- sent plus facilement qu’elles le sont». Pourquoi cette violence? Les théories s’affron- tent quand on essaie d’ex- pliquer les raisons du phénoméne. Pour Diane Prud’homme, c’est d’a- bord un probléme de va- leurs. «Si "homme a des insatisfactions, c’est la femme qui va écoper. La plupart des hommes vio- lents ne battront pas leurs © amis. Leur conjointe est la seule qu’ils peuvent dominer, controler. » Pour plusieurs féminis- tes, le phénoméne des femmes battues est sim- plement le reflet d’une ae société dominée par les hommes, qui veulent con-° server leur pouvoir. Qui sont-elles? En 1985, plus de la moitié des femmes hé- bergées dans des maisons de transition avaient moins de 35 ans; les deux tiers s’y sont présentées avec leurs enfants. La moitié étaient mariées et la majorité des autres vi- vaient en union libre. Une sur cing avait un emploi a |’extérieur de la maison et les deux tiers n’avaient pas terminé leurs études secondaires. Presque toutes ces victi- mes vivaient avec un conjoint chémeur ou tra- vailleur occasionnel. Le tiers seulement des con- joints avaient un emploi stable. SOLEIL | DE COLOMBIE Canada: fan, 495 Pension pour retraités [55 ans et plus} Nourri, logé, blanchi, infirmerie (24). Services aux chambres. Bed & Breakfast offert tous les jours. Tél.: 937-5578 _ FOYER MAILLARD 1010 avenue Alderson, Maillardville, C.B. Bilingue. Les femmes brutali- sées_ proviennent-elles surtout de milieux pau- — vres? «Ca existe aussi dans les milieux aisés, ré- plique Diane Prud’hom- me, mais ces femmes vont avoir encore plus honte de se présenter a une maison d’héberge- ' ment, elles vont préférer payer des psychologues en se croyant responsa- bles: de ce qui arrive. » eet Abonnez-vous! 3283 rue Main, Vancouver, C.B. VSV 3M6 } Tél. Donau Shishi” ‘(Merci de votre encouragement) Prov. Code Jv Ne ec