es Le Soleil de Colombie, Vendredi 17 Février 1978 “,..étudiés, soupesés, analysés” (Suite de la p. 1) ues de se rendre compte qu’ils ont en commun les mémes problémes et les mémes aspirations. Cet été il attend une délégation des maires de la province de groupe entend recueillir au moins $500,000 pour encou- rager l'étude du frangais. Dans le mémoire du grou- pe “Canada United” le juge, Bruce Howard de la Cour de la citoyenneté, se plaint que 76% déclarérent qu'il était nécessaire pour la survie du vays que le Québec demeure dans la Confédération; mais a la question “Que faites- vous pour encourager le Québec a rejeter le sépara- Comité chargé d’étudier vo- tre rapport, laquelle étude recevra l’attention d'une nouvelle Commission?”. Le seul mémoire anti-fran- cophone fut celui présenté nuel d’histoire reflétant la vraie histoire du Canada pouvant servir dans toutes les provinces. Certains bla- mérent le malaise dans le pays sur la crise économique pays, par les citoyens de la Colombie-BRITANNIQUE, de se rendre compte qu’elle Vest beaucoup moins qu’ils le croyaient. Ils furent aussi trés surpris d’apprendre Québec i P PReIeee eae 84) par le “Concerned Canadian et surle chomage. Certaines qu'il y avait un journal AS . les livres dans les écoles tisme?”, 60% répondirent Group”, groupe composé de interventions étaient faites francophone a Victoria en a Les éléves de Tiéme année anglophones sont imprimés uils ne faisaient rien. sixmembres. Leur porte- avec une pointe d’esprit et 1858 et de pouvoir lire la de l'école élémentaire Uni- aux Etats-Unis et ne reflé- : parole dit que tous les maux _q’humour telle celle du “Sur- reproduction des neuf nu- versity Hill, dans un mémoi- tent que le point de vue et la Les mémoires présentés du pays étaient dus a la vey Beaver Rugby Club” de méros existant aux Archives re lu alternativement par vie américains. Iladmet que par les organismes franco- politique du premier minis- Surrey, quilancaundéfia Provinciales, qui leur fut trois éléves, demandérent les livres d’école au Québec phones provinciaux: la Fé- tre Pierre Trudeau, politi- un club de rugby du Québec _ offerte par la Société Histo- que ce soit les parentset non sont plus nationaux, maisles dération des Franco-Colom- que qui menace la survie des de les rencontrer pour une rique Franco-Colombienne les autorités qui décident du trouve trop régionaux. I] biens, la Fédération Jeu- anglophones; comme dans le partie sur les Plaines d’A- : | choix de la langue d’ensei- demande aussi une réforme nesse Colombienne, le con- futur il faudra étre bilingue braham et ensuite dans une ih gnement. du systéme de vote décla-_ seil de la Coopération de la__ pour devenir député, minis- tayerne pour la traditionnel- a La Commission scolaire de rant qu'un parti avec une Colombie-Britannique, le tre et premier ministre, |e consommation de biare. le t Vancouver, dans un mémoi- fraction des votes peut obte- Centre Culturel Colombien, pour étre employé par la (Depuis, nous avons appris ea re lu en anglais par Mme B._nir la majorité des siéges le Club Canadien-Francais Fonction publique ef, étant qitun chib’ de: Québec avait fra ncais, : Fenwick, présidente de la électoraux. II préconise un de Victoria peuvent se résu- donné que les Canadiens- relevé le défiet que M. Dave Commission, et en francais meilleur traitement de la mer dans cet extrait du francais sont capables d’étre Barrett, ancien premier mi- e le par Mme Margaret Andrew, minorité francophone, ce mémoire de la FFC présenté _bilingues, sous peu, le pays nistre provincial et joueur J commissaire, réclama le sou- qui attira une réponse de_ par la présidente Marie _ entier sera dirigé et admi- de rugby invétéré, s'est dit parle tien financier du gouverne- Mme Chaput-Rolland: “Tout- Warzecha: “Nous sommes nistré seulement par les prét A se joindre mecha ne de ment fédéral pour l’ensei- le monde est en faveur d'un loin de l’égalité concréte Canadiens-francais. Pour Surrey qui est ala recherche par gnement des langues officiel- meilleur traitement de la entre les deux groupes lin- contrecarrer ce funébre des- d'une brasserie préte a com- les. En plus de l’actuelle minorité francophone, mais guistiques de notre pays, - tin, ils préconisent l’abolition manditer cette rencontre), Ecole-Bilingue, la Commis- personne n’est prét aagir égalité en nombre et en qu systéme métrique, |’uni- sion scolaire prévoit l’ouver- immédiatement, on parle droits qu’avaient voulue nos __ |inguisme anglais et la créa- Quatre mémoires furent i ture de plusieurs autres toujours de projets dans “Péres” de la Confédération. tion d'un nouvel empire présentés par les Indiens de j classes d’immersion francai- l'avenir”. Il y a douze ans, | Notre situation, vous la britannique avec les Etats- la C.B. réclamant le respect Z se en septembre et prévoit lorsqu’elle était venue 4 connaissez déja, nous avons Unis, I’Angleterre, l'Austra- de leurs droits de premiers : aussi ouverture d'une école -Vancouver, on se plaignait été étudiés, soupesés, ana- lie, la Nouvelle-Zélande et habitants du pays, déclarant a secondaire bilingue. des livres d’école venant des _lysés beaucoup plus que autres pays anglophones qui qu'ils y sont depuis plus de ; Le groupe “Westerners Etats-Unis;,on se plaint, n’importe quelle espéce ani- désireront se joindre. 20,000 ans. for Canadian Unity”, dans mais on ne fait rien. male en danger de dispari-. Les quatre-vingt et quel- Les Commissaires se sont son mémoire lu par Me D. Le mémoire du “Vancou- tion. Vous voila maintenant ques présentations indivi- dits satisfaits des résultats McK Brown, déclara que les ver Board of Trade” présen- a nous réétudier, a étudier duelles orales avaient toutes des deux jours d'audience et LE CADRAN DES SON- anglophones, par la fagon té par M. Roger déclara que aussi ]’unité du pays. Allez- plus ou moins le méme~ agréablement surpris, aprés GES, recueil de poémes de A dont ils ont traité les Cana- les hommes d'affaires vous étre la derniére Com- .theme: meilleur enseigne- certaines réceptions tumul- M. Roger Dufrane, est en 3 diens-francais, n’auraient pu avaient beaucoup de sympa- mission?’ Va t-on, aprés ment du francais dans les tueuses dans certaines au- vente ala librairie-galerie: d mieux faire s'ils avaient thie pour le Québec. En _ votre rapport, passer A l’ac- écoles, manque d’enseigne- tres provinces, de la cordia- francaise “Le Bouquineur”, intentionnellement projeté réponse a un questionnaire tion? Ou bien le gouverne- mentdel’histoire dansles lité et de lesprit libéral 1222 rue Robson, a Vancou- la division du Canada. Leur envoyé a leurs membres, ment va t-il. nommer un écoles, nécessité d’un ma-~ envers le dualisme de notre ver. — ; opie a A sft = vous invite _ & rencontrer deux nouvelles personnes Venez dispiice des nombreux services La Caisse Populaire St .Sacrement que nous vous offrons ae M. René Jacob, gérant et des avantages Mme Louise Cassidy, caissiére REER & REEL. Régimes SuEey Nees d’étre membre PAIEMENT DE FACTURES ' d’épargne-retraite et d’épargne- oe 9 ° laire we souples et a intérét éleve. : me aoe opua ETATS DE COMPTES TRIMESTRIELS PLAN 24. Un intérét a taux élevé est DEPOTS A TERMES calculé sur votre solde quotidien minimum DEPOTS DE NUIT See et est versé tous les trois mois sur votre SERVICE DE CHEQUES. -Chéques per- DEPOTS PAR LA POSTE compte. Aucun solde minimum n’est exigé, sonnalisés gratuits. 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