. — PAGE 4 es Pour le plaisir de lire ... F.H. VARLEY, portraitiste Samuel Joseph Varley. le pére de Frede- rick Horseman Varley, a constaté que son fils dés son trés jeune 4ge,avait beaucoup de talents pour le dessin. Fre- derick n’avait’ que onze ans lorsqu’il obtient un certificat en dessin . L’année suivante il s’inscrit 4 l’Académie Roya- le des Beaux-Arts d’Anvers en Belgi- que. Il remporte le premier prix et les médailles d’argent en peinture et en dessin. Arthur Lismer, un des membres du Groupe des Sept a aussi fréquenté cette Académie a la suite des recom- mendations de l’endroit par Frederick Varley. La décision de Varley d’immigrer au Canada fut fondée sur.les ouvertures qu’ Arthur Lismer trouva sur le nouveau continent dés son arrivée en 1911. Aprés quelques mois 4 Toronto il de- vient membre du «Arts & Letters Club» et rencontre plusieurs personnes qui tiendront une place importante dans sa vie, dont Vincent Massey qui plus tard sera nommé Gouverneur général du Canada. Varley et ses amis arites Tom Thomson, Lawren Harri, et A.Y. Jackson parlent de la formation d’un groupe d’artistes. Plustard il seront le groupe s’aggrandit et est connu sous le nom de GROUPE DES SEPT. Frederick Varley préfére peindre des portrait que des paysages, ce qui ne plait pas aux autres membres du groupe. II quitte donc Toronto pour Vancouver. Il ouvre une école des arts et donne des cours pendant quelques année. Cette école est devenu «Emily Carr Institut of Art and Design. Le professeur Prof Perdre sa langue On prétend qu’il y a plus de 5 000 langues parlées dans le monde. On dit aussi qu’une langue disparait tous les quinze jours. Si vous faites le compte, dans un siécle nous aurons perdu la moitié de notre patrimoine linguistique. Tout ¢a se produit dans l’indifférence générale. Lorsqu’une langue disparait, ce ne sont pas seulement des textes qui se perdent. C’est la culture qui s'effondre. C’est un genre d’appauvrissement de intelligence humaine dont il est~ question ici. et "Comment meurt une langue?" m demanderez-vous. Elle est la victime d’une autre langue dominante. Alors, vous comprenez mieux maintenant! Je suis certaine que tout comme moi vous avez rencontré beaucoup de personnes francophones vivant en milieu anglophone. Qu’arrive-t-il? La langue parlée devient l’anglais. C’est ainsi que disparait petit a petit la diversité linguistique. Avoir des dictionnaires, des grammaires — ne suffit pas pour sauvegarder une langue. Il faut penser au futur. Qu’adviendra-t-il dans cinquante ans? Les francophones auront-ils encore la chance de jaser dans leur langue maternelle? Réfléchissez bien... Votre idéal est assailli La lutte recommence Gardez la fiére accoutumance D’un parler qui n’a pas failli Gardez cette langue noble et jolie Et méme dans une province anglaise Soyez toujours a l’aise De parler votre langue en beauté Non par vanité Mais par fierté Le professeur Prof L’?’ANSE-AU-SABLE 2008, année de la pomme de terre: Bonbons aux patates Prenez trois pommes de terre moyenne, cinq cuilléres a soupe de beurre d’arachides et du sucre a glacer. Faire cuire les pommes de terre, laissez refroidir et faire une purée en ajoutant graduellement du sucre a glacer jusqu’a ce que le mélange ait suffisamment de consistance pour 1|’étendre avec un rouleau a pate. Recouvrir toute la surface avec le beurre d’arachides. Rouler en forme de cigare et trancher en petites bouchées. Le professeur Prof Poésie: Pourriture sociale Pourriture sociale Du haut de son empire Il port’ un large sourire Car il tient 4 ses pieds Les nains d’la société... _ C’est une 4me immorale, C’est la gangréne sociale Qui croit ses actes banals Car tous les autres avalent! C’est comm’un chien en cage Qui croit en son image : Avalé par la rage Il ose se sentir sage... Il tient ses chats en laisse Pour calmer leur instinct : Tl leur donn’ un peu d’pain Pour ne pas qu’ils contestent... Ambitieux prédateur, Qui dévore toutes les proies Qui parlent avec leur cceur De c’qu’ils pensent, de c’qu’ils voient. Et moi c’est pas mon choix!!! Les pourritures sociales Tiennent notr’ élite fiscale Muette, face au scandale Qui rend l’monde infernal, Avec de l’argent sal... Ecrit le 25 avril 2006 par Le Sablier