LA VITAMINE C EST INDISPENSABLE DANS TOUTE DIETE Le mot “Limey” pour désigner les marins britan- niques, remonte 4 deux siécles, 4 l’époque ov chaque pays possédait d’immenses flottes de navires et que la grand partie du transport et du commerce se faisait par mer. A cette époque, la maladie la plus redoutée du marin était le scorbut. Depuis l’Antiquité, cette maladie meurtriére faisait des ravages, terrassant chaque année un grand nombre de marins. On la retrouvait aussi sur terre, mais surtout en mer. Le Comité de Nutrition Kellogg rapporte que les victimes du scorbut présentaient . des gencives saignantes, des lésions de la peau et des yeux.caves. Ils s’affaiblissaient, leurs dents se relachaient, les _os cassaient facilement et des petits conduits sanguins éclataient sous la peau. La plupart du temps, les malades atteints de scorbut succom- baient. : En 1753, James — Lind, chirurgien de la marine anglaise, inscrit son nom dans Vhistoire de la diététique. Lind croyait que la cause de scorbut était reliée a l’alimentation des marins, Comme la préservation des aliments était plut6t rudimen- taire a l’époque, les marins se voyaient forcés de manger des viandes trés salées, des féves séches et trés peu d’autre nourriture. Lind expérimenta plusieurs suppléments diététi- ques et- remarqua que les hommes, qui prenaient du citron, guérissaient du scorbut. Lind conclut alors que la solution devait' se trouver dans les agrumes. Aussi la marine britan- nique ordonna-t-elle qu’une- ration quotidienne d’une once de jus de citron ou de lime soit servie aux marins. Le scorbut disparut a bord des navires britanniques, mais le mot “limies’’ est resté. Les oranges, citrons, limes et autres agrumes contiennent de la vitamine C ou acide ascor- bique. Les tomates, choux crus, navets et fraises en sont égale- ment une bonne source. Il en va de méme de certains légumes, tels que la pomme de-terre, le poivron et le brocoli. Le Comité’ de Nutrition Kellogg recommande de servir quotidiennement un fruit du ‘genre agrume ou _ n’importe quelle autre source de vitamine C, car notre corps ne peut pas emmagasiner beaucoup de cet élément nutritif. Un verre de jus d’orange ou de pamplemousse au. petit déjeuner, suivi de céréales, voila une facgon rapide et facile d’offrir a notre organisme sa ration quotidienne de vitamine C. ‘ - UNE CUISSON APPROPRIEE A LA COUPE ASSURERA Le Soleil de Colombie, Vendredi 17 Décembre 1976, 13 4 c. a table de cacao 1 tasse de sucre blanc 1 tasse de cassonade, bien tassée 1 8 dee. a thé de sel Mélanger les quatre pre- miers ingrédients. Ajouter créme, sirop de mais, beurre. Amener a l’ébullition sur feu moyen, en brassant souvent, jusqu’a 234¢ au thermométre 4 bonbons ou 4a boule molle lorsque vérifié 4 l'eau froide. Retirer du feu et ajouter la 1 tasse de cassonade pile 1 tasse de sucre blanc 2 c. & table de farine 2 c. a thé de poudre a pate 1 tasse de lait — Placer dans une grande casserole, tous les ingrédients excepté le beurre et l'essence. Cuire sur feu moyen, en brassant sans arrét. Le mélan- ge va gonfler au commence- ment de la cuisson - mais diminuera. Cuire jusqu’au sta- ge de boule molle ou 240¢ F. au thermomeétre. 2 tasses de sucre d’érable, rapé LA BONNE CUISINE FUDGE CREMEUX 1 tasse de créme légére 1c. & table de sirop de mais, au goat 1 c. a table de beurre 12 c. & thé de vanille ~vanille. Placer la casserole dans un plat d’eau froide. Laisser reposer 4 minutes sans brasser. Retirer de l'eau froide et battre jusqu’a ce que le mélange épaississe et perde son apparence brillante (4 peu prés 5 minutes). Etendre dans un plat beurré. SUCRE A LA CREME 1 tasse de créme riche OU 2 tasses de créme légére Une pincée de sel 1 c. & table de beurre 2 c. a thé de vanille OU 1 c. & thé d’essence d’érable Retirer du feu, ajouter le beurre et l’essence. Laisser refroidir, sans brasser, jus- qu’a ce que vous puissiez y mettre le bout des doigts. Ajouter, alors, des noix au gofit, et brasser jusqu’é ce qu'il tourne en sucre. Verser dans un plat beurré. LA MEILLEURE SAVEUR ET LA PLUS GRANDE TENDRETE Toutes les coupes de boeuf donnent une viande tendre et délicieuse quand on les cuit selon leurs exigences. Chaque coupe répond a une méthode particuliére de cuisson. En suivant ce tableau vous aurez chaque fois une viande savoureuse et tendre! * Rotir, griller, faire sauter ou cuire au barbecue. ‘#x Peut site roti, grillé ou sauté mais sera plus tendre cuit a l’étoufée ou en pot. 2K Braisez, faites un pot-au-feu ou un ragott. LES COUPES SRinde JARRET : . Pointe de surlonge . Croupe . Surlonge CUISSE . Aloyau (os en T) . Céte d’aloyau . Filet mignon . 9. Cote 10, Bout de céte (Céte a braiser) 11. Palette "12. Bloc d’epaule 13. Haut-de-cétes 14. Cétes croisées 15. Epaule 16. Collier (souvent détaillé en cubes a braiser) @17., Pointe de poitrine : (peut étre haché) 18. Poitrine (peut étre hachée) 19, Flanc | POITRINE 20. Jarret 1 2 3 4 5. Aloyau 6 7 8 9 FLANC 4 POINTE DE a Trés tendre POITRINE ** Moyennement tendre _JARRET *** . Moins tendre BD'autres coupes donnet du boeuf a braiser et du boeuf haché. Cot 5 eet eae SISTG Sy Sep ASiNiGS Gt 20; BOULES DE GUIMAUVE créme chaude, 3 a 4 a la fois, juste assez pour les ramollir légérement. Rouler, viveme- ment, dans des noix émincées ou de la noix de coco. Réfri- gérer. Verser assez de créme légé- re dans le haut d’un bain-ma- rie, pour en avoir 3 4 de pouce d’épaisseur. Chauffer. Ajou- ter de la vanille au go6ut. Saucer des guimauves dans la LA MODE AUTOMNE/HIVER MODELES DE ‘ CLOT LLAMA OEDEMA MAM Me BALMAIN NINA RICCI Anthropophagie UN GASTRONOME sortant d’un diner ow Ja chére avait été médiocre et les conversations trés médisantes, s'est écrié : —Il y a des gens chez qui I’on ne mange bien que son prochain ! pur venan?- Vr EN ~ r VENTE = - ‘SE VEND EN CHOPINE,; EN DEMI-GALLON Aa ET EN GALLON —_ TELEPHONER A: 876-6966: \ ,