-_ er <. x 2 TS ay Ss ~ ——S SS SSS ) [SS — Mon cceur est sans taches. Vous voyez bien que Je n’ai jamais aimé ipersonne avant vous... — RAMSES S'EST. RE- VEILLE CE MATIN AVEC UNE GROSSE FIEVRE ! XII, LE SOLEIL, 19 NOVEMBRE 1971 — Bien, Ne parlons plus de ce man- teau de four- rure... je vais demander a maman de ve- nir passer quelques jours ici. Co wm SH eS L’humo- * riste_ Al- phonse Allais se vit servir dans un_ restau- rant un homard qui n’avait qu’une pince. — Je vais vous expliquer, dit le maitre d’hotel, if. arrive fréquem- ment que les ho- mards se battent entre eux, et celui- _¢i a certainement regu une. bonne raclée. — Trés bien, dit Alphonse AI-: lais, alors dans ce cas, enlevez- moi cette mau- viette, et appor- tez-moi le vain- queur. ‘Ce bateay américain vient de faire’ escale dans un port et les marins ont \‘qutorisation de se rendre en ville. Deux d’entre eux marchent. cote 4- cote et le premier dit : ; — Moi, les femmes ne m’intéressent pas, Comme l’autre ne répond pas, il ajoute : — Franchement, je préfére la compa- gnie d’un copain. — Moi aussi, je suis fauché. - Ye s'vrccen = GEO DALY te chez un imprésario : — Je-suis avaleur de sabres, dit-il, javale un sabre de 1,70. métre de long !- — Et aprés? fait Uimprésario blasé. ——Aprés? re- ‘prend (artiste, mais, vous ne voyez pas que je mesure que 1,60 .métre, non? LA RACONTE Au bal de‘ la sous- Préfecture, un jeune hom- me tout fringant a invité une accorte jeune fille. Sur la piste de danse, H s’agite, se déméne, puis, tout sourlant, confie a sa Gavaliére : — La danse, moi j'ai oa . dane le sang! as __ — Ah ? fait la Jeune fille. Alors, vous devez avoir une mauvaise clirculetion !