ees ae ee a ct a aa a a a eed ee ee FN 4,Le Soleil de Vancouver, 15 juin 1973 MASTQUI “Un groupe francophone” Cet article, qui vous parvient du Centre correctionnel de Matsqui, a pour objet d’apprendre aux lecteurs du journal ‘‘Le Soleil’’ qu’il existe un groupe francophone dans cette institution. Ce groupe, Les Francophones de Matsqui, aura apporté dans cette institution, un fait francais. Un fait francais tout d’abord moral, pénitenciairement équitable, et qui aspire, avec déjA d’heureux résultats, au développement intellectuel, culturel et spirituel de ses membres. Fondé, il y a prés de trois ans, celui-ci (comme les vingt-cing autres groupes sociaux qui, dans cet Etablis- sement, fonctionnent plus. ou moins bien, suivant leur valeur en ressource sociale et leur capacité d’initia- tive) a avant tout sa raison d’étre du fait: qu’un indivi- du, déjA inadapté ne peut quasiment pas fonctionné de fagons satisfaisantes dans une société de laquelle il au- ra été presque ou entiérement séparé durant nombres d’années. C’est l& en plus clair: une participation so- ciale de concert avec les impulsions. du Gouvernement Canadien en matiére de sécurité sociale. Aussi, si vous aimeriez concourir 4 l’expension de ce groupe ou tout simplement venir rencontrer ces fran- cophones (quitte pour le moins 4 éliminer certaines vieil- les généralités stéréotypées et réciproquement domma- geables),on vous donne rendez-vous 4 Matsqui, of dans un beau salon, mit, chaque Dimanche soir , 4 leur dis- position, ils vous recoivent chaudement. Bien sQr, on n’entre pas 4 Matsqui comme on entre dans l’eaue Si vous n’étes jamais venu , vous devrez prévenir 1’Institution de votre visite; au préalable deux semaines 4 l’avance. Pour faciliter les choses, il vous est proposé d’entrer en contact soit avec Mme Jeannet- te Baillot (au numéro de téléphone: 254-9184) ou enco- re un membre de l’équipe du Journal Le Soleil. Vous @tes indispensables. L’on vous y attend. Merci. Les Francophones de Mastqui C.P. Boite 2500 INFORMATION IDEES Un centre d’information et de:ressources est un lieu d’é- change; un point de rencontre traversé par des lignes de communications quia leur tour en rencontrent d’autres et établissent ainsi de nouveaux contacts. Ce journal en est un. J’essayerai pour ma part d’ouvrir une nouvelle ligne et j’es- pére qu’elle restera ouverte dans les deuxsens. Je vous in- vite done a vous servir de cette rubrique pour faire circu- ler vos suggestions 4 propos des resources informatives et des services communautaires disponibles. Pour commencer, les services centraux, et plus précisé- ment le Centre d’information communautaire se trouve au 1946 West Broadway - Vancouver 9- B. G. - tel : 736 366]. Né de la fusion du United Community Service et du Crisis Centre, le Community Information Centre est 4 la disposi- tion de toute personne de Vancouver désirant des informa- tions sur les agences communautaires, leurs programmes et leurs événements spéciaux. Leurs lignes sont ouvertes de 9am & 9pm les jours de semaine et de 9am A Spm les fins de semaine. Le Centre est en train de compiler le prochain bottin des services publics et apprécierait toute contribution indivi- duelle’ ou provenant de groupes communautaires. En juin, le C.I.C. fera paraftre un supplément qui complémentera le recueil actuel publié en 1972 par le. United Community Services. 5: Quelques mots sur ce dernier, c’est un petit livret vendu a deux dollars environ et qui contient les listes quasi com- plétes de tous les services suivants : orientation, bien-étre,' emploi, éducation, santé, récréation et jeunesse, personnes agées, enfants, vétérans, travailleurs et immigrants, com- munautaires (religieux, professionnels, volontaires, plani- fication-coordination, international). Bref, c’est un outil in- dispensable qu’on peut se procurer au 1626 West - 8e ave. ' Vancouver 9 - tel ; 731-7781. Communiquez vos questions aussi. bien que vos réponses; : participez au rythme de votre ville, de vorre district, de votre communauté ; , servez vous de votre centre d’information communautaire. Pour terminer, le rdle du C.I.C. consiste 4 recruter et a. former des volontaires pour les lignes d’information les familiariser avec la région du grand Vancouver et ses a- gences -de services sociaux et les rendre aptes A donner des conseils précis surtout dans les cas d’appel d’urgence. Pour des informations plus détaillées, communiquer avec le coordinateur Brian McCaughey et son assistant Dave Kerr. A la prochaine. .Liliane. ; Abbotsford, B.C. Les Canadiens..--- suite de la page 1 -- M. Spicer lui a fait remar- qu’il n’avait aucune idée de quer que l’Inde comptait 17 ce que le bilinguisme pouvait langues officielles et que codter ‘‘Cela dépend duprix prés de la moitié des pays que vous voulez payer pour du monde ont une structure le Canada’’, a affirmé le multi-culturelle. commissaire aux langues of- A un autre auditeur, il adit! ficielles. Coney Island envahie des nappes de pétrole ~ NEW YORK (AFP) — Les plages de Coney Is- land et deManhattan Beach ont été interdites au public 4 la suite dela collision dans la nuit da vendredi a samedi du: pé- trolier belge Esso Bruxel- les et du cargo américain Sea Witch, dans le port de New York. Aprés l’accident, suivi- dun incendie, qui a fait huit morts et huit dispa- rus, de méme que de nombreux blessés parmi “Jes 63 rescapés, des nap- pes de mazout et de pé- trole ont encarssé la plu- part des plages de la ré- gion et menacent 4 pré- sent la cote de Staten Is- land et, plus bas, celles du New Jersey. Envirori 16.000 bariiz de mazout se sont déversés dans la mer et les plages polluées ont été interdites au public, hier. Les épaves des deux na- vires ont cessé de fumer et les remorqueurs s’affai- rent toujours autour des batiments qui se sont échoués 4 sept milles en- viron du lieu de l’impact. Le “Esso Bruxelles” était a l’ancre au moment de la collision qui semble avoir été causé par une panne de gouvernail da “Sea Witch”. ore : L’éperonnage s'est pro-i duit a environ un demi- mille au nord du pont Verrazano qui relie Staten Island au quartier popu- leux de Brooklyn. La collision devait étre ‘suivi d’une série d’explo- sions et les deux bateaux, accrochés l’un a l’autre, et entourés dé flammes s’étaient mis a la dérive pendant que les survivants sautaient a l’eau. Les autorités ont interdit la- circulation sur le pont Verrazano. Cherchez ‘homme. Vous ne lui demanderez pas d’étre fort, mais d’étre intel- ¢ ligent. Vous n’exigerez pas | qu’il parle vingt langues, -% mais qu’il comprenne vos problémes et s’intéresse 4 — vous. Car I’homme que vous cherchez doit 6tre bien au- tre chose qu’un vendeur, plus qu’un conseiller, pres- que un ami. Qui est cet homme? Le représentant d’assurance-vie. Le bon. C’est un homme qui connait son métier. Il a dG subir des examens et peut-étre a-t-il également poursuivi des étu- ; des avancées qui en ont fait un assureur-vie agréé. C’est un homme sympa- thique qui pourra vous poser des questions personnelles sans vous mettre .mal a |’aise. Avant d’adopter un représentant d’assurance- vie, donnez-vous un peu de peine. Choisissez quelqu’un avec qui vous vous sentirez en sympathie et en confiance. Vous voulez en savoir plus 4 long sur |’assuran- ce-vie? Nous vous offrons gratis une © intéressante bro- chure sur I’histoire de |’assurance-vie. Pour fa recevoir, il suffit de nous envoyer le bon ci-dessous. J’aimerais recevoir gratis votre brochure intitulée “Petite histoire d’une grande idée” ou évolution de l’assurance-vie Cochez ici si vous désirez recevoir une liste de nos publications gratuites. Nom Adresse Prov. L’ Association canadienne des compagnies d’assurance-vie Case postale 9900, Montréal 101 Ville ee ee Se Cae: Se