PRINCE GEORGE S Le cercle canadien-frangais de eS See ae Prince-George, de jour en jour, apparaft comme l'un des plus actifs de la province. Les présentations mensuelles # des films Faroum (principale- % ment destinées aux enfants mais “on y voit du grand monde & chaque fois") connaissent un succés grandissant. Par ailleurs, 1'émission_ radio- phonique que Diane Carriére anime sur les ondes d'un poste anglais local connaft, elle- aussi, un succés remarquable. Elle nta pas encore, certes, la meilleure "cote d'écoute" cde la région, mais les auditeurs (tant francophones qu'anglopho- nes) se manifestent nombreux. Une initiative de ce genre pourrait facilement étre prise dans d'autres localités. Le cas échéant, la musique enregistrée que diffuse Diane pourrait cir- culer au profit d'autres commu- nautés francophones. VICTORIA Pour les cercles et associa-~ tions qui doutent de la possi- bilité dtobtenir la collabora- tion des orqanes anglais d‘in- formation, ltexemple de Victo- ria vaut d'8tre cité. Quand le cercle canadien fran- cais de la capitale souhaite ' promouvoir l*tune ou l'autre activité, il fait appel & la T par c&ble. Celle-ci, comme chacun sait, diffuse & lon- queur de journée, l'image d'une horloge, d'un barométre et de quelques autres instru- ments. A la fin du panoramique de ces cadrans, une ou deux affichettes apparaissent & Ltécran annongant généralement des activités d'oeuvres chari-~ ‘tables ou autres. Le cercle de x As. Pa be ‘ af ‘ er Victoria, dans ces cas, Con~ fectionne, selon les crittéres techniques imposés par la TV par cable, un carton rédigé en francais. Cette méthode a le double avan- tage d'informer les Francopho=- nes et de manifester, aux yeux des Anglophones,, une “présence culturelle" nullement négligea- ble. Un exemple & suivre. TERRACE Les responsables du cercle de Terrace ont commencé de faire circuler parmi la population francophone de la région, une pétition réclamant la radio frangaise. Si l'on s‘'en tient aux termes de la loi, la dé- marche de nos amis de Terrace (comme du reste celle des cer- cles de Kamloops et de Prince- George) devrait, au moins en théorie, porter fruit. Il ne faut en effet "que" 500 signa- tures pour qu'une demande de relais soit prise en considé- ration par le C.R.T.C. "Lachez pas, Terrace!". MAILLARDWILLE Le Foyer Maillard, qui abrite % présent plus de 130 pension- naires, célébrait, fin avril, son quatriéme anniversaire. A cette occasion, les dames au~ xilieires ont tenu leur thé dimanche 29 avril, pour réunir les fonds nécessaires & leur oeuvre. Comme le dit Mme Ma~- renger, il stagit dtapporter aux personnes de 1'&ge d'or,un "surplus de confort™ au titre notamment des loisirs. Le Foyer Maillard étant une maison provinciale, il est évident que toute l'aide pos- sible en provenance de tous . les coins de Colombie serait vivement appréciée par les dames auxiliaires. * ar 4 sais meee A P