chez soi a ih | ( j \ 1 Sas Hat] BEA TOTNES S électromeénagers. points clés a observer. LA LESSIVE Choisissez, une machine a laveren fonction: de Pimpor- tance de votre famille, de la nature du linge, de vos apti- tudes a vous adapter a une technique trés avancée. Une machine a laver de capacité moyenne est souvent prati- que. Elle permet de grouper le linge selon le degré de salissure et selon les diffé- rents textiles. “Pensez”’ emplacement de la machine 4 laver. Situez- la a proximité de I’endroit ott yous accomplissez habituel- lement vos taches ménagéres. Vous éviterez des allées et venues inutiles. Séparez le linge délicat du blanc, les couleurs des piéces qui peuvent bouillir, les arti- cles qui déteignent, les chaus- settes, etc. dés que le linge est mis au sale, sans attendre le jour de la lessive. Pour cela, disposez des sacs différents en plastique aéré, en toile. Si votre machine ne com- porte pas de cycle ““prélava- ge”, faites tremper le linge a Yeau tiéde avant de le laver. Vous éliminerez déja un Gagner du temps, cest en fait, rechercher un art de vivre. Il faut savoir organiser, exécuter certaines taches a temps pour que la suite des opérations soit facilitée, et mettre a profit toutes Tes ressources offertes par les appareils Adoptez les nouveaux produits. En partie déchargés des travaux meénagers les plus pesants, vous vous sentirez plus disponible pour tous les votres. Voici pour quelques taches ménageres essentielles, des pourcenlage non neghigeable des salissures ct ne fixerez pas les taches d’albumine. Ne chargez pas immodeéré- ment la machine a laver. Plus le linge est tassé, plus il se froisse et plus le moteur de la machine fatigue. Que ce soit 4 la main oua la machine, n’essorez pas le linge au maximum. Etendez-le bien tendu sur le fil, en tirant, sans le défor- mer sur les ourlets. Les che- mises, les blouses s¢cheront sur un cintre qui ne risque pas de déteindre ou de provo- quer des traces de rouille. Etendez les lainages a plat. Dépendez le linge a peine humide, encore frais, si vous pouvez repasser de suite. LE REPASSAGE Pliez le linge en attente du repassage dans ses plis défini- tifs. Rassemblez les piéces par espéce: les torchons en- semble, les serviettes de table, etc., pour les plier toutes dans le méme-sens. Vous les repasserez de la méme facon et obtiendrez des piles nettes. Classez, en outre, le linge selon la nature des textiles. Vous réglerez le fer une seule fois pour chaque catégorie et n’atten- drez pas, a tout moment, que de fer refroidisse ou chauffe. Humectez le linge trop sec quelques heures avant le repassage de telle sorte que Vhumidité se répande unifor- mément. Utilisez une table a repas- ser assez grande pour pouvoir étaler convenabdlement le linge. Autant que possible, repassez assise. Sila hauteur de la table est fixe, sur¢levez au besoin votre siége. Servez-vous d’accessoires qui faciliteront le repassage: jeannette pour les emman- chures, fer 4 encoches pour les boutons par exemple. Tirez les arcles en mailles (slips, tricots de corps) dans le sens de la longueur, ainsi que les coutures. Repassez le linge dans le sens de la chaine, les chemi- ses, toujours dans le meme sens, en commengant sur Venvers, par les ourlets du bas et du devant. Ayez toujours 4 portée de la main la pattemouille et un récipient contenant de l’eau, pour humecter les faux-plis formés lors du repassage et les éliminer. Nettoyez réguliérement la semelle de votre fer a repas- - ser avec un produit spécial pour l’entretien des fers ou avec un coton imbibé de vinaigre blanc. N’attendez pas que le linge blanc de votre table a repasser soit constelle de taches de roussi pour le laver. Lavez-le de toute fagon regu- litrement et chaque fois qu’une piéce repasste aura déteint et laissé des traces de couleur. LA CUISINE Etalez un journal sur de plan de travail avant d’éplu- cher les legumes. Effectuez cet épluchage dés votre retour du marché, surtout si vous entreposez les légumes dans le réfrigérateur; vous éviterez ainsi au maxi- mum de salir celui-ci. Epluchez et lavez la salade pour plusieurs repas. Peu essorée, elle se conservera au réfrigérateur, enveloppée dans un torchon, ou enfer- mée dans un récipient plasti- que hermétique. Utilisez des sacs en plasti- que pour la poubelle, son nettoyage s’en trouvera sim- plifie. Prévoyez des menus pour la semaine. En organisant vos achats et la cuisson, vous pourrez utiliser le meme Jégume pour deux repas. Agissez de méme pour les plats cuisinés: les restes seront conservés au réfrigéra- teur ou au conservateur. Vous ne lasserez pas Vos convives en leur servant deux fois le méme plat mais a quelques jours de distance. Adoptez, pour le soir, une ou deux fois par semaine, des repas trés légers: jambon, omelette, salade. C’est excel- lent pour la santé et ne nécessite qu’un minimum de préparation. Utilisez de temps a autre des mets préts 4 cuire ou a étre consommés: potages, légumes en boites, sauces, aliments surgelés, tels que filets de poisson panés, et des pates a patisserie, des plats tout préparés comme cous- cous, paella, raviolis, des en- tremets instantanés. préts a glacer, etc. Servez-vous de tous les petits ustensiles ménagers qui ne cotitent pas cher, et qui remplacent parfois avan- tageusement les robots au maniement plus subtil. Mais avant l’achat vérifiez qu’ils sont d’un entretien facile. Employez les nombreux moules en papier d’alumi- nium; ils se jettent aprés usage et évitent de salir les plats. Faites cuire les legumes, les plats cuisinés, dans l’auto- suiseur. Vous économiserez votre temps et la consomma- tion d’énergie sera moindre. Protégez de toute projec- tion de graisse, des déborde- ments intempestifs des souf- 1és, les parois et la sole du Jour avec du papier d’alumi- nium ménager. Prévoyez l’utilisation ra- tionnelle du four: des cuis- sons peuvent s’effectuer l'une aprés l’autre, ou simul- APPRENEZ A GAGNER DU TEMPS tanément. Vous ne ferez ainsi préchauffer le four qu’une fois. LA VAISSELLE Débarrassez les assiettes des reliefs du repas et faites la vaisselle immédiatement aprés, pour que les traces d’aliments ne séchent pas. Si cela n’est pas possible rin- cez-les al’eau chaude. Faites tremper a l’eau chaude les casseroles, les poé- les, dés que vous avez fini de vous en servir; les aliments attachés s‘enléveront plus fa- cilement. Rincez abondamment la vaisselle a l’eau chaude; vous lessuierez alors sans peine. Utilisez des torchons adaptés 4 chaque sorte de vaisselle: en fil pour les verres, en coton doux pour les assiettes, en métis pour les casseroles, une chamoisette pour |’argenterie. La porcelaine, la faience, peuvent sécher sur 1’égout- toir. Les verres, les couverts doivent étre essuyés sans retard pour ne pas conserver les traces de gouttes d’eau. Si vous laissez 1a vaisselle égoutter, recouvrez-la d’un torchon pour empécher la poussiére de s’y déposer. Il existe de nombreuses facons d’apprécier un artiste, surtout quand il s’agit d’un artiste véritablement talen- tueux, et non d’un person- nage de papier monté a grands coups de trucs publi- citaires, comme le sont la majorité des “vedettes” du Québec. Vous les connaissez tous, ce sont ces personnages préfabriqués que l’on entend 4 toute heure, sur les disques et surtout sur les disques dun “Palmarés”, une opéra- tion commerciale 4 100 o/o. Par ailleurs, les vrais artis- tes, ceux et celles qui ont un talent capable d’étre appré- cié, n’importe of au monde, et méme par des gens qui ne comprennent pas la langue de l’artiste, sont plutot rares. Il en existe quelques uns au Québec, et on peut les compter sur les doigts des deux mains. D’abord, 4 tout seigneur tout honneur, et coté opéra, il y a quelques noms presti- gieux -tels que Pierrette Alarie, Maureen Forrester, Louise Lebrun, Colette Boky et Teresa Stratas, ainsi qu’André Turp, Leopold Simoneau, Richard Ver- reault; ces artistes sont d’une classe trés particuliére et ce sont véritablement des noms de calibre international. Dans un domaine plus populaire, on 7€trouve au Québec quelques artistes de la variété tels Monique Leyrac, Ginette Reno, Pau- line Julien, Claude Valade, chez les femmes et chez les hommes, Robert Charlebois, Jean-Pierre Ferland et Gilles Vigneault, ainsi que quelques autres trés rares artistes de Dans vingf ans. on chanfera Parmi les nombreux plai- sirs que l’on peut avoir en écoutant chanter un artiste, il en est un tout particulier que l’on a occasionnellement l’opportunité d’apprécier. C’est d’entendre, au tout début d’une carriére, une jeune voix, Ou encore une personne qui fait littérale- ment ses débuts dans la pro- fession et dont on peut suivre le travail, ainsi que les succés progressifs. Parmi les noms précités, nous avons eu le plaisir d’en- tendre, pour la grande majo- rité, les débuts des personna- lités mentionnées ci-haut. Il est d’autant plus impression- nant de se rappeler, par exemple, les débuts d’une Pierrette Alarie, aCKAC, ily Jean-Pierre Ferland! aj\une vingtaine d’années, mais qui possédait déja cette étincelle qui la distinguait de tant d’autres. Il en est ainsi de ‘Colette Boky et de Louise Lebrun, lesquelles, a des au- ditions sérieuses, montraient déja des possibilités remar- quables. Dans le domaine populai- re, il est également agréable de se rappeler les débuts d’une Monique Leyrac, d’une Pauline Julien, d’une Claude Valade et dune Ginette Reno; toutes ces per- sonnes, parmi des céntaines d’autres artistes populaires se sont fait remarquer par un talent vocal et aussi une grande volonté de réussir. Chez les hommes, dans le domaine populaire, l’on peut dire la méme chose d’un Robert Charlebois, excellent musicien qui utilise tous les trucs publicitaires; et l’on se demande méme si Charlebois est meilleur publiciste que chanteur. L’on se pose égale- ment la question dans le cas de Gilles Vigneualt dont les chansons révélent un excel- lent compositeur mais que le public ne tolérerait pas, si chantées de la méme facon, par un autre avec une voix comme celle de Vigneault. Il reste un Jean-Pierre Ferland le plus international des trois; Charlebois écrit pour un public trés spécia- lisé, genre hippy, satisfait de ~ musique électronique, bi- zarre et dont le son est poussé a outrance. Vigneault écrit, lui, pour un public bien québécois, et dans une lan- gue savoureuse que d’autres francophones comprennent avec difficulté, parfois. Jean- Pierre Ferland,. c’est le Jacques Brel de la chanson canadienne et ses chansons et ses textes peuvent étre enten- dus et appréciés autant en Belgique, qu’en France, et en n’importe quel autre pays francophone. Les oeuvres de Ferland seront chantées dans 20 ans, alors que Charlebois sera un nom associé a des noms identifiant certaines phases de l’évolution de la chanson québécoise. Vignault sera encore apprécié par les qué- bécois dans dix et vingt ans, mais les oeuvres d’un Jean- Pierre Ferland, seront chan- tées et appréciées partout plus encore qu’aujourd hui. MOTS CROISE 12345678 910Nn12 wonoerurwr =~ HORIZONTALEMENT 3—Etrangeté. — Préfixe. Et le reste. 7—Sortira d'un logement. 4—Excédé. — Petite main. 8—Pont parisien. — Arbre. 9—Sujet a se casser. 10—Presseras. bryon. 1—Sorte de fruit rouge. aigrelet. —- Continent. 2—Joueur de pelote basque. — Nommé. 4—Pays montagneux. — Sans activité. 5—Derniére impératrice d’Autriche. 6—Adv. de lieu. — Note. — Cargaison. 8—Ville de Chaldée. — Prendras des notes. 5~—Enleviez. — Chanter les louanges de quelqu'un. 6—Fatigué. — Homme dédaigné. — Dialecte. 7—Maison champétre et solitaire. 11—Petite ile. — Général américain 12—Du verbe avoir. — Couche.celluliare extérieure de l'em- 9—Porcherie. — Symb. chim. — Largeur d'une étoffe. 10—Publiée. — Endommager. ; 11—Préfixe. — Jumelles. - Eminence. 12—Enforme de croissant. — Engendrer. VERTICALEMENT 1—Art d’élever les abeilles. - 2—Zénon. moins une lettre. — Epais. serre. touffu. 3—Fleuve codtier de Bretagne. — Poss. TORT BS NOVEMBRE 1972 ’ + Sa i } hE ~¢