eee? r, mais quand fie et la crasse de méme. Je me fou légout, mais je n’ au pied de la T¢ r Eiffel parisienne. “Je piétine sur mon annéau, mes espoirs découvert que l'une des activités touristiques proposés - Jen m'étais moqueée de cette idée qui m'apparaissait tot mai, je me retrouve la téte a lenve des €gouts. Les deux pieds en | cho de mon accent québécois qui qu'intimidante. Victor prend plaisi€ ; ation des cartes d'appel, des porte- résonne comme dans un microphont clefs, des bouchons de biére et des 'p; Victor me tient maintenant par un p pour lui demander une escorte a la spectateurs autour de ’égout. Je me a surprise. Glacée par les regards d en bas. En redescendant dans les vi tout, c'est bien ta bague qui a dispa autanb>. Juste en finissant ma priére mére m'offre une deuxiéme fois. S serrée puis moi j’ai pleuré. montée, je remarque un cercle de e un clown qui rebondit d’une boite et d'amusement, je veux retourner huchote 4 ma mére défunte : «Aprés toi de décider si je dois m'‘attacher orange cueille l'anneau d’or que ma capitale de France, ma main s’est Je crie 4 Victor de me remorter en Haut. Malgré que mon anneau soit les bornes des taches d'un genda sincére d'une jeune touriste et aussi: émue. Et pour boucler le lacet, Vict kiosque boire un café. Aujourd'hui, saveur, je pense au gendarme de la Tot sur votre chemin vous croisez un géan merci. sté pour que nous retournions a son Wsquéje sirote un expresso qui déborde de uf Eiffel. Si un jour vous étes 4 Paris et que ommeé Victor, je vous en prie, dites-lui 11