Le Soleil, page 3 PROPOS EN L'AIR DU GONDOLIER DU CIEL. par Jacques Baillaut. : ate ote peeeeeoeeseeCeeoseeeoee ee 808 & OO Os ; 2 Gondole.- Signifie nacelle - gondolier, la personne qui prend soin de la nacelle et des passa- gers, c'est mon emploi, a , bord de la nacelle d'un‘ ‘telépheéri- que Id' ou "gondolier du ciel". De sa gondole le gondolier a une vue d'ensemble sur les é- tres, les choses et les évéene- ments. Les petits et les grands de BS la terre se confondent....puis i disparaissent a ses yeux alors BY qu'il s'éléve dans le ciel par- mi les nuages. - TO BISE OR NOT TO BISE, Voila la question !!! « « * re te * * * AY * e * * * = ° * e °. Sd 2 Sd tk °. Sd Ne Sd Ne Sd ee sy ree a Sa 3 ee. Se, se. se, ‘i 08 Sa ° °. .. e Potetette! Les coutumes des politiciens semblent gagner en charme Sars qu'elles perdent en austérite. Les poignees de mains solennel- -les du passé, firent place aux accolades frangaises. puis aux embrassades a la Krutchev. BY Les canadiens, 3 coins du pays, "étaient habitu- és & des politiciens portés a Ro mordre., Ils semblent @tre sur- pris par l'attitude de leur nouveau premier ministre qui BS gagne une réputation de char- Be meur national au risque de les décevoir. Le respect de la veri & -te m'oblige a révéler une in- BY formation de haute importance By pour l'honneur de la Colombie 3 Britannique. Bien avant 1'elec- tion de M. Pierre Elliot TRU- -DEAU, M. W.C. BENNETT, chef du gouvernement du Texas Cana- ; -dien avait ddja inauguré la Bs coutume charmante en embrassart Nancy GREENE lors de sa visite 2 a Vancouver. Je fus honoré d'é -tre témoin de ce fait histori- que, Rendons a César ce qui revient a César. Mieux vaut rire que pleurer La grimace est plus belle. ats pen ate eee en rr 3 % 4+ ABONNEZ-vous Au '-SOLETL!! SPU IE DCS OP Cie Pex Re a Dt 2D DR OO * & ' me de la rue Pender, °°. “er etee "eee" oo atatanctat ota” aux quatre . ze ® COUP DE SOLEIL (Rubrique mor- Série noire ou le cri- le drame se deroule entre les rues Ren- frew et Rupert tout au long de la rue Pender et de plusieurs rues voisines, une production a grand spectacle sous la di- dante.) rection des services de la voi--& rie municipale financee par les ;: contribuables dont certains sont également les victimes et les spectateurs. Les repetitions sont nombreu- ses depuis de longs mois et beaucoup se demandent quand ap- ; paraitre le mot de la fin ou la % fin des maux. ACTION: Toujours la meme. Des machines montrueuses et bruyan- } -tes se succédent, entamant les trottoirs. Tracteurs, niveleuses, camions de graviers, citernes de gou- -dron liquide. Conducteurs, balayeurs » terras- -siers, chefsd'équipe, contre- -maitres surgissent de la pous- -siere dans un bruit d'enfer. Des marques de pas noirs sil- -lonnent les tapis des salons du voisinage. Puis c'est le grand calme.Jus- ®qu'au prochain assaut. ' CRITIQUE: La critique est una -nime et ‘provient des contribu. -ables qui sont aussi''Les co- -chons de payants. Leur opinion est: que les repe- tions co@tent trop cher et que 1l' argent aurait dG, depuis lon -gtemps, étre utilise a termi- -ner " canivauxet chaussees ", chef d'oeuvre qu'ils applaudi- raient chaleuresement. Ils as- sistent tous les étdés a un au- tre drame '' La rende infernale du P. N. E. '" celui-la est ac -cepte sans plainte. Il fait partiede la vie. Toutefois, ils considérent qu'il § serait juste que le producteur de ces autres drames a grand spectacle, participe a iS amena -gement des acces du theatre. Cela semblerait @tre une juste compensation aux inconvenients tels que: bruit, poussieére et trafic. La veritique craint ega -lement qu'un jour, le scena- 7 rio soit change et que les con % -tribuables soient accables de taxes speciales pour finalement * avoir des rues propres, alors que pendant tout ce temps, ils supportent tous les inconvéni- ents et que le P.N.E, empoche les benefices. Monsieur le mai -re devrait comprendre, bien que ce secteur soit dans lL'est .de la cite, que des milliers de visiteurs sont chaque annee temoins d'un etat de chose de- plorable dont la honte retombe sur toute la ville. - FIN DE _ L'EPISODE - &.Maire Tom Campbell, # viendrait Nancy Terrific..... ® sans que pour cela notre Mai- % -re devienne Green le 17 mai, 1968 = LA CAISSE '' TROP "' POPULAIRE, tea st ‘ , % LA CAISSE POPULAIRE a ete en- -core victime des mefaits de cambrioleurs sans scrupules. Cette fois, le coffre-fort a % disparu. Rien d'étonnant si le % tresorier, Monsieur Beauregard * qui est toujours aimable et souriant, pour une fois, lan- -cait des ' méchants regards ™. *, OO) Pe%e*. SSIS IIS IO Il faut savoir rire de soi- meme autant que l'on rit des s autres, % Le sens de l'humour n'est pas | Sa sens unique. = Jeu de mot bilingue a la ma- % -niere de Rowan and Martin. Le jeu de mot a la mode est & d'imaginer le nom que prendrait ss telle personne connue, si elle BS épousait une autre personne ré- ss putee, Si Nancy Greene épousait le elle de- Wo eee sees eee” "ove "e"e"e"e"ee"e"e"e%e"e"ete%e"ee%e%ee%e%eTe%e%e%ete%e%ete", I HIPPY VOILA ! a ¥ 8 : De source " presque sure ' j'ap- | -prends que le scenario ecrit par un _de nos amis Belge, resi- #-dent a Vancouver, va @tre tour- #-ne dans notre bonne ville. Su- — BS jet: les hippies et les dangers de la drogue. SS RK I OS EVIVE :....les vacances. /_par PARIS. L'assemblee Nationale Francaise a approuve un projet de loi accordant un mois de va- : ‘-cancesaux ouvriers Francais, #auparavant pres de deux millions Bq" ouvriers employes dans l1' ins. e-dustrie et L'agriculture n'a- : z-vaient que 3 semaines de con- i-eés payes par an. Ne laissez pas passer votre chance d' établir votre pro- pre commerce. Debutez chez-vous sans bu- reau en permanence ou a temps perdu. Occupation ideale pour un couple. 3) Mapelec | S89=69S1 = sans obligation de votre part Aucun renseignement par te- 1éphone. Nous bavarderons en prenant le café...