ACTUELLEMENT AFFNO AVRIL 2018 BT Page 3 C’est le temps pour des changements Le mot du Directeur Général onnes nouvelles, mauvaises nouvelles, et d’autres nouvelles ... ll y a beaucoup 4 discuter aprés les premiers trois mois de 2018. Mais une chose est extrémement évidente: c’est le temps pour des changements dans nos conseils scolaires. Si vous demandez ‘pour- quoi’, a) vous habitez a Prince Rupert, b) vous venez d’arriver au nord-ouest de la C.B., ou c) vous ne vous souciez pas de l'éducation frangaise. Nous commencons avec les bonnes nouvelles: le budget fédéral 2018, et particuliére- ment, les fonds pour la langue francaise en situation minori- taire (hors du Québec). Oui, ¢a veut dire que des associations comme la nétre recevront plus de soutien, et aussi, le montant de 31.29 mil- lions va étre disponible pour le recrutement et la rétention des enseignants pour le frangais, langue seconde (FLS - immer- sion mais aussi Core French). A la fin de février 4 Van- couver, Danielle Dalton, la présidente d’ AFFNO et moi avons eu la chance de faire une présentation au Comité des langues officielles au sujet du FLS, et oui, on a parlé de nos défis dans le nord-ouest. On a aussi parlé des langues au- tochtones, et que nous voulions voir la protection et la promo- tion de toutes nos langues of- ficielles: l’anglais, le frangais, et les langues autochtones de nos régions. Les mauvaises nouvelles? Malheureusement, le Conseil Scolaire Francophone (CSF), a la réunion du 24 février, a refusé la proposition pour une école francophone a Smith- ers pour 2018. Il y avait plus d’une raison, mais les deux qui ont été publiées : le CSF était inquiet du nombre d’éléves (environ 10 pour commencer l’école), et aussi, que ce n’était simplement pas le bon mo- ment, avec en plus le fait que les élections des Conseils Scolaires auraient lieu en novembre. Une raison qui n’a pas été notée, mais qui a probablement AFFNO photo Patrick Witwicki, Directeur Général, avec la gagnante du prix ‘AFFNO’ au Franco-fun Festival a Kitimat. joué un réle dans la décision, c’était que les parents fran- cophones de Smithers n’ont jamais eu le support de leur conseil scolaire locale (CS 54 -Bulkley Valley) pour l’école, considérant que |’autre com- munauté qui a été acceptée pour une école avait le soutien de le leur. Voyez “le mot” a la page 14. It’s about time to make some changes! ood news, bad news, some other news ... there is a lot to discuss after the first three months of 2018. But one thing is fairly obvious: it is time for change with our local School Boards. If you are asking ‘why’, a) you live in Prince Rupert, b) you have just arrived in northwestern B.C., or c) you don’t care about French language education. So let’s start with the good news: the federal budget for 2018, and specifically, funding for the French language in a minority setting (outside of Quebec). Yes, this means that associations like ours will be receiving more support, and also, 31.29 million has been allocated to help with the recruitment and retainment of French as a second language teachers (FSL — Immersion as well as Core French). At the end of February in Vancouver, Danielle Dalton, President of AFFNO, and I had the chance to make a presentation to the Committee of Official Languages on the subject of FSL, and yes, we talked about our challenges here in the Northwest. We also talked about First Nations languages, and that for us, we wanted to see more done to protect all of our official languages: English, French, and the First Nations languages of our regions. As for bad news? Sadly, the Francophone School Board (Conseil Scolaire Francophone — CSF) at their meeting on February 24 turned down the proposal for a Francophone School in Smithers for 2018. There were various reasons, but the two that were made public: the CSF was a bit worried about the number of students (approximately 10 to start the school) and that it just wasn’t the right time, with the notation of the upcoming School Board elections in November. One reason that was not given, but likely played a role, was that the parents of Smithers never received any support from their local School Board (Bulkley Valley School Board 54 — SD 54), considering that the community that was accepted for a Francophone School had support. Surprise surprise. See “Time for change” on page 7.