CO ne ne ee ee al Oe a eT Be ee tothe tect cee Tenet a en eV a ee | ee Jatin. 2 Le Soleil de Colombie-Britannique, vendredi 8 novembre 1996 an acter majede du camp Baker Quisera le prochain Maire de Vancouver? CarmelaALLEVATO ou Philip OWEN? Voila, selon Frances BULA du Vancouver Sun, l’alternative a laquelle font face les vancouverois pour les élections mu- nicipales du 16 novembre prochain. Amo NEUMANN, chefd’en- treprise et piéce maftresse du camp BAKER, estime que cette vision est réductrice, partielle et partiale. Pour lui, les candidats du VOICE (Vancouver Organized Independant Civic Electors) et leurchef Jonathan BAKER peuvent raisonnablement penser qu’ils seront 4 la téte de la Mairiede Vancouver le 16 novembre 1996. Les atouts du VOICE? Son programme et |’expérience de ses candidats dans des secteurs impor- tants comme |’environnement ou le travail communautaire. Une opposi- tion catégorique a toute forme de jeu d’argent (casino, keno, etc.), une stra- tégie Economique soucieuse de l’émergence et du développement de nouvelles entreprises, une place cen- trale 4 ]’environnement... Tels sont les €léments qui constituent 1’épine dorsale du programme du VOICE. Ce programme sera conduit par des gens de la trempe de Connie FOGAL, uneavocate de Vancouver trés expérimentée en matiére de tra- vail communautaire, ou d’Anthony MARR quis’est fait connaitre grace a ses prises de position d’ordre environnemental. Anthonny MARR se bat de- puis quelques années contre la chasse de l’ours et pour Ja sauvegarde des arbres. Aujourd’ hui, il ménesoncom- bat, jadis solitaire, auseindu WCWC (Western Canada Wilderness Commitee). L’organisation, en septembre 1999, d’un référendum pour]’inter- diction de la chasse 41]’ours demeure lun deses principaux objectifs. Mais pour ce faire Monsieur MARR doit recueillir, avantle 9 Décembre 1996, la signature de 10% des électeurs inscrits dans chaque district électo- tal de la Colombie-Britannique. La popularité grandissante d’Anthonny MARR est unatout con- sidérable pour 1’équipe que dirige Monsieur BAKER. Mais ce coup de pouce suffira-t-il pour faire de ce dernier le prochain Maire de Vancouver? ALLEVATO, OWEN ou BAKER? Vivementle 16 Novembre 1996. Libasse Mang Correction Une malencontreuse erreur s’est glissée dans 1’article de Madame Odette Morin, en page A-3 du Progrés d’ octobre demier. “Devrais-je faire un testament?” A la fin du premier paragraphe,une parenthése a été ajoutée par erreur (Le gouvernement prend presque tout) et nous nous en excusons. ce arate La Rédaction HANGEREMT M. Roch Carrier Directeur Conseildes Arts du Canada Cher Monsieur, Personnenem’incite a écrire cette lettre, je le fais de mon propre gré suite a certaines informations fa- cheuses et dangereuses qui me sont parvenues. Je vois qu’on songe sérieuse- ment, au Conseil des Arts du Canada, a larguer les maisons d’édition fran- cophones de!’ Ouest. Trouvez-vous que deuxmai- sons d’édition frangaise ouméme une, c’est trop pour le Manitoba? Lors- qu’il en existe de nombreuses en Ontario, deux en Acadie, et que vous avez subventionné la toute derniére (bravo pour elle!), au rythme de 28 000$ pour la parution de 4 titres. Est-ce leur rentabilité? Vos propres chiffres indiguent bien quede facon générale les Editions du BIé, par exemple, essuient des pertes par titre inférieures 4 la moyenne natio- nale. Serait-ce la qualité des sé- lections? Certains des écrivains hors- Québec, bien cotés, ont été publiés au Manitoba. Soulignonssimplement lenom de Paul Savoie, récipiendaire du Prix du Consulat général de Fran- ceremisauSalondu Livrede Toronto le 18 octobre 1996, quia fait paraitre Mains de péreau Manitoba, il y aun an. Ce qui me trouble au sujet des derniéres réductions sévéres ap- portées aux subventions accordées auxmaisons d’édition de]’ Quest (qui font face 4 des problémes de diffu- sion et de réception bien plus aigus que dans]’ Estdu Canada), c’est qu’el- les recélent un discours intempestif que j’ai entendu trop souvent depuis quelque temps lors de Festivals et de Salons du Livre tantau Québec qu’en Ontario, provenant méme d’instan- ETTE TRIBUNE LIBRE VOUS APPARTIENT ces «fédérales». Un discours qui re- joint celui que tient depuis bien des années maintenantle parti Québécois, a savoir que les seules communautés et cultures franco-canadiennes nota- bles et viables sont celles del’ Acadie, parce qu’on doit lui reconnaitre son ancienneté, et sa vitalité, et de ]’Ontario eu égard a ses nombres, et qu’ onest prét a relégueraux oubliettes les autres francophonies canadiennes. Que cela fasse l’affaire de souverainistes, ca s’entend, mais il est incompréhensible que des organismes fédéraux comme le vitre pratiquent une politique qui fait de nous des mi- noritaires chez les minoritaires. La guerre, «yes sir!» L’oubli, «nosir!» Agréez, Monsieur, |’expres- sion de mes sentiments distingués, mais des plus inquiets. J. R. Léveillé Winnipeg, Manitoba 22 octobre 1996 A qui de droit, Assis au volant dema voiture louée ot j’attendais le retourde mon ami handicapé qui était entré 4 phar- macie une voiture de police m/’interpella et me donna une contra- vention de 50$. Méme étant touriste et expli- quant la difficulté de mon passager 4 se déplacer, le policier reprit la route sans rien me dire. L’arrét d’autobusesta 20 pieds en face de moi et aucune affiche ne m/indique ]’interdiction d’arrét. Donc, ottest la diplomatie et le bon accueil au tourisme quand on peut lire en grosses lettres devant le parle- ment, «Welcome to Victoria». Pierre Mercier, Québec, QC aN Nom: Adresser sans timbre-poste a : Citoyens, Citoyennes francophones sauvons Radio-Canada! Aprés les dialogues de sourds tenus dans divers médias par les vice-présidences et autres officiels de Radio- Canada, vous ne pouvez compter que sur vous-mémes pour conserver vos droits en matidre de radiodiffusion. Rien ne sert de se plaindre, il faut agir. Ecrivez, téléphonez, “faxez” votre indignation a votre Député, au CRTC et surtout 4 Madame Sheila Copps, Ministre du Patrimoine canadien. Seule une communauté active se fera respecter! Agissezdésaujourd’hui. Je, soussigné, demande que l'on arréte dese moquer des francophones hors Québecet qu'on leuraccorde les droits garantis par la Constitution canadienne, 4 commencer par |'information locale sur les ondes (radio et télévision) de la Société Radio-Canada. eee eee eee ee eee eee eee eee nn sp | | Vile: sume e eee eee POVINC ee | Madame Sheila Copps, Ministre du Patrimoine canadien, Chambre des Communes, Piéce 509 Est, Edifice Centre, OTTAWA, (ONT.) K1A 0A6 | | | | | | | Adresse: a we | | | | | | | | a ee i a ee dy Le Saleil so t Anns TET Toute correspondance doit étre adresséeau Soleil. 1645, 5° avenue Ouest, Vancouver, C.-B., V6} INS. Tél: (604) 730-9575. Fax : (604) 730-9576, E-Mail: 102627.2172@compuserve.com grre sr OPSCE = AREx:- Tél. (613) 241-5700 | Membredel'Association Téléc. :(613) 241-6313. delapressefrancophone Fondation Donatien Fremont, Inc. 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