procédure de réglement desconflits pré- vue dans la premiére entente. Lors des négociations qui ontsuivi, lesdirigeants de la province ont décidé de se retirerdujeu des contribuables ne se rendraient pas parce qu’ils n’en aimaient pas les régles. compte des possibilités d’économies. Pourtant, tous lesautres intervenantsju- Quant aux entreprises de la Colombie- geaient celles-ci é6quitables. Britannique quipourraient profiter de cette Enfait, désles débutsdumouve- occasion pour étendre leur marché, elles mentvisantaréduirelesentravesaucom- _ neseraientpasassuréesd’y parvenir ouen merce interprovincial, la Colombie-Bri —mesured’évaluerles ventessuppémentai- tannique s’était opposée alinclusion de —_resqu’ellespourraientréalisergracea cette réglements. Tous les autres traités de mesure. commerce prévoyant des régles de com- Appelés a trancher dans une si- portementetdes procédurespourlerégle- uation oii certaines personnes subiraient ment des différends, la position adoptée —_ des pertes a cause de Tinstauration de par la Colombie-Britannique avait parue 6trange auxyeuxdes autres provinces. Detoute évidence, lessyndicatsde du point de vue d’un particulier, mais considérabies si l'on considére fensem- bledela population. Parailleurs, la plupart nouvelles mesures, lesquelles seraient pourtant bénéfiques pour ensemble dela population, les politiciens ont générale- MATERIAUX POUR JARDIN POUR BRICOLER SOI-MEME GARY POCHA mesdames et messieurs ! Cela n’a rien d’étonnant puisque nous avons toujours eu plus qu'un grain de bon sens en matiére de confort. Et servir du vrai bon café s‘inscrit dans cette tradition. sous l’effet de la caféine, nos grands statisticiens ont fait une étonnante constatation. Chaque année, nous ne servons pas moins de 20000000 de tasses de café. Ca en fait de la tasse Soyons honnétes, si notre café avait été disons... carrément meilleur, nous en aurions sirement Derniérement, frémissent déja. Imaginez-vous confortablement installé dans votre siége tout en sirotant une tasse de café bien chaud fait d’un savoureux mélange spécial Air Canada. Un café constitué de grains du Costa Rica et de la Colombie, torréfiés juste A point, et qui peut vous étre également offert décaféiné. Rien que d’y penser, vos papilles Dorénavant, Air Canada vous versera une, voire méme deux trés savoureuses tasses de café Second Cup. Rien de moins! Car le Le Soleil de Colombie-Britannique, vendredi 7 mars 1997 5 Pourtant les données relatives ala Aller contre le vent période de faprés-querre démontrent hors Ce Bulletin économique, qui detoutdoutequefexpansiondeséchanges | &st rédigé parM. David E. Bond, vice- Sis = aconstituéle principalmoteurdelacrois- | Président, affaires gouvernementa- PAR DAVID E. BOND cette province craignaient que la participa- sance économiquearéchellemondiale. La | '@s et relations publiques, et écono- tion de la Colombie-Britannique a une reprise que nous connaissons actuelle- miste en chef @ la Banque Hongkong ° Les gouvemementsfédéraletpro- —_entente élargie n’entraine la perte d’em- ment au Canada résulte dans une large du Canada, exprime I'opinion per- vinciauxontfaitdeseffortsconsidérables —_plois au profit des autres provinces. De mesurede fimportante augmentation des sonnelie de l'auteur sur les demiers afind’éliminerlesbarridresaucommerce deux choses'une, ou bien les syndicats exportations destinées aux Etats-Unis. Or fienmanle: Soonepias: ate interprovincial. lls ont ainsi conclu un —_ estiment quelesentreprisesdeleur provin- lahausse des exportationsest aitribuable, n’est pas nécessairement celle de la premier accord, dont les mesures sont ce seraientincapablesde soutenir la con- dansunelarge part, Fentréeen vigueurde Banque Hongkong du Canada et de entrées en vigueur en 1995. Cetaccord —currencedansun marché plus ouvert, ou PALENA. son consell d'administration. Ce devait étresuivipard’autresvisantaélargir _ bien ils pensent que les entreprises, une La position adoptée par la paleta ne Seep arent eee la portée des mesures déja instaurées. Il fois qu’ellesauraient|a possibilité de ven- Colombie-Britannique en ce quia trait au sie —— = vrei était question notammentdemodifierles — dreleursproduits dansd’autres provinces, commerce interprovincial pourrait avoir de Be foumir = finan- poliiquesdesgouvernementsprovinciaux — neseraient plusounepourraient plusétre ~menttendancedaccorderplusimportan- tristesconséquences. lisembleeneffetque | clers. Nous recommandons aux lec- enmatiéred’approvisionnement. Rappe- _syndiquées. Commentlesdirigeantssyn- ceauxquelquespersonnesquiensoufir jesneufprovincesetlegouvernementfédé- | teurs de communiquer avec un ex- lons que les dépensesacechapitres’6lé- _dicaux en sont-ils arrivés A ces conclu- _raient. ralsoient prétsAabandonnerlesprincipes | pert-consell avant de prendre toute vent a environ 50 milliards dedollarspar sions? L’on nen sait trop rien. : Partoutdansle monde, lespoliti- de funanimitérelativementautraité régis- | décision que ce solt, fondée sur les année. : Depuisau moins deuxsiécles, la ciens répugnent a apporter des change- sant jes échanges interprovinciaux. Sice | commentaires de notre économiste Tousdevraientserendrecompte — question des avantages et des inconvé- mentsAunepolitiqueAmoinsd’étreassu- deyaitétrelecas,cenesontpasseulement | en chef. desavantagesquecomportel’élimination _nientsde lalibéralisationdeséchangesfait és de recevoir fappui du public. La jeg habitants de la Colombie-Britannique, Cette etre des barridres commerciales au Canada. objet de débats publics. Lesopposants _ibéralisation des échanges ne jouit que mais tous les Canadiens qui sortiraient eA permis Unetellermesure permettraliderédureles ce mouvement envolers qusles tail: “rareinent, sinonjamale,Guntelappulce: _-perdentsdielnskustion.C? coe faseieabon colt dot Sang co(itspourlescontribuablesetdedonner —_vais cotés et comme ceux-ci sont facile- qui explique pourquoi il est si difficile de Hongkong du Canada accésaunplusgrandmarchéauxentrepri- mentidentifiables, tandisquelesavanta- _réalisercet objectif. ses canadiennes. Elles seraient ainsien gesrestentgénéralementdiffus, illeur est mesurederéaliserdeséconomiesd’échel- —_faciledecommuniquerleurscraintesaux ° leetd’accroftre leur compétitivité. milieux politiques. Par exemple, dans Alaveille dela signature defac- Angleterredu 19sidcle, lesgrands pro- cordsurlapolitiqued’approvisionnement _priétairesterrienss’étaient prononcés con- des provinces, le gouvernement de la _trefabolition destarifs douaniers sur les ‘ Colombie-Britanniqueadécidédesereti- _ importationsde bide peur queleursterres Un savoureux grain de café solitaire rerdel’entente. Leministredefindustrie, et leurs récoltes ne perdent toute valeur. M. Miller, aurait indiqué quesongouver- —_Leurscraintes étaient injustifiées puisque /, nement ne voulait pas que le syst8mede —_leprixdesterresest demeuré fermeetque santédecette provincesoitlemoindrement — les nouvelles récoltes leur ont permis de compromis parleschangementsquecet _réaliserdes profits plus élevés. accord pourrait entrainer. En d'autres Autant il est facile d’identifier les termes, M. Miller étaitdavantagepréoccu- quelques perdants éventuels de la : péparleseffetsnégatifsquepourraitavoir —_libéralisation des échanges, lesquelsnese ° cet accord surla politique d’achatdeson génentpasd’ailleurspourfaire connaitre . + gouvernementauprésdesentreprisesdela _Jeurmalheur, autantilest difficile de déter- A ie L | province que sursesavantageséventuels. — miner ceux quien bénéficieront. Dans le - no ord, Sa aeebabar reads neti cas particulier delaréduction des barri¢res province seraiteneffetenmesuredese _relatives aux politiquesd’approvisionne- 1 9 z 1 1 1 Z Toca enfied BEreRRne sSaVSEMINGHEE? Att tdacG ota napeniteceericaae 1s y a que le ale qui soit bien: fassé. moindreetlesentreprisesdelaColombie- —_contestetouslescontribuables quiprofi- : pred pourraient élargir leur mar- _teraientd’unetelle mesure. IIn’esttoute- . fois pas possible d’évaluer importance de Plustét, laColombie-Britannique asec avait exprimé son désaccord quant a la Elles seraient sOrementmodestes LANDSCAPING KARTAGE up. SABLE ET GRAVIER PAILLIS D'ECORCE TERRE VEGETALE meilleur café sur terre est maintenant servi a 35000 pieds d’altitude, et seulement a bord d’Air Canada, tous les jours, sur tous servi quelques millions de tasses de plus. Oups! Avouons que cela est quelque peu troublant. Aprés des semaines et des semaines de réflexion, de recherches et de discussions les vols et A tous les passagers. Avec le café Eivraison gratuite fumantes, pendant lesquelles chacun Second Cup & notre bord, nous 581-5457 882-9598 y a mis son grain (en fait, quelques pouvons affirmer, le sentez-vous minutes ont suffi pour faire le venir, que nous sommes vraiment : tour de la question), nous la compagnie aérienne du bon sommes maintenant fin préts 4 godt au Canada. Comptabilité, gestion, impéts [ WA oo . pour petites et moyennes entreprises EURO-WEST CONSULTING Ae é Accounting &tax Gérard G. Darmon Président AIR CANADA @& 325, 1130 rue Pender ouest, Vancouver C.-B. V6E 4A4 *P.S. Méme si cette annonce commence & étre tassée, nous ne pouvions résister & vous offrir le double du millage Aéroplan™ sur tous nos vols pour les Etats-Unis jusqu'au 14 mars 1997. Tél.: (604) 688-9903 Fax: 688-9961 Cellulaire: 240-5810