AFKO, Vol 26, N° 4 — Hiver 2011 La nature s’est revétue de son manteau blanc. Le vent, fougueux et tourbillonnant, A forme de long bancs Au tour des batiments. La mésange ne nous a pas quitté. Elle continue de nous égayer De son chant doux et cajoleur. L’hermine, sournoise et avide. Autour d’elle, seme la peur. Malheur au mulot insouciant et timide. Partout, des volutes de fumée, s’échappent des cheminées. Dans le silence de la nuit, les enfants se sont endormis. La forét et les prairies engourdies se reposent. De s’éveiller tét elles n’osent. Elles attendent |’ équinoxe, De méme que la marmotte. Ainsi, le cycle des saisons se termine. De Vivaldi, chantons le grandiose hymne. ‘a Jien Dupui > Aurélien Dupuis ibe