a IB vomoleieenarteee"FRnepE ae 4 - Le Soleil de Colombie, vendredi 14 septembre 1990 Un léger malentendu ll y a des années, le regretté Roger Dufrane m’a raconté la petite anecdote suivante, avec Vair malicieux qui le caractéri- Sait. ll était devant samaison et a vu le fils de ses voisins tomber de sa bicyclette. «A/e!», s'est exclamé Roger Dufrane. «Hi!», a répondu le pére de |’enfant. Le systéme métrique coiite plus cher lly aquelque temps, dans une lettre que nous avons publiée, un lecteur se demandait pourquoi les responsables dela campagne de financement de la Maison de la Francophonie avaient jugé bon de vendre symboliquement la superficie du batiment au prix de 10$ le pied carré, semblant._ ainsi ignorer que le Canada a adopté le systéme meétrique. La raison est probablement toute simple. Si le systéme métrique avait été utilisé, la vente symbolique aurait dG se faire au métre carré, qui aurait codté 110$. Jusqu’a présent, il semble utopique d’espérer convaincre g Colombiennes de donner la modique somme de 10$ pour devenir «propriétaire» de la Maison de la Francophonie. Comment pourrait-on espérer les convaincre de donner 110$? * * * * * Mme Edith Huish et le «camping sauvage» Dans le numéro .du.24.ao0t». “nous avons évoqué «la ména- gerie» de Mme Huish. Voici, cette semaine, une aventure inoubliable qui est arrivée, il y ades années, a cette résidente de Vancouver. Elle était allée camper avec- son mari et ses deux fils. Un matin, au ° réveil, elle a demandé: «Lequel de vous trois sest levé, cette nuit, et ma littéralement Son mari et. ses deux fils ont prociamé leur innocence. lls ont alors remarqué que la tente était déchirée. Ils sont sortis. Un ours pique-niquait a quelques métres. Moralité: ne laissez pas de nourriture dans votre tente, si des ours mal léchés vivent dans les parages.