16 - Le Solezl de Colombie, vendredi 9 octobre 1987 Travaux publics Public Works Canada Canada 1166, rue Alberni Vancouver, C.B. PREAVIS D’APPEL D’OFFRES PROJET DE L’'AUTOROUTE SHAKWAK CECI N’EST PAS UN APPEL D'OFFRES mais seulement un préavis qu'un appel d’offres sera peut-€tre lancé pendant les mois dhiver 1987-88 concernant le projet repris ci-dessous. Les spécifications et quantifications ne seront pas disponibles avant la publication de l’appel d’offres réel. Les entrepreneurs intéressés doivent s’efforcer d’étudier le projet maintenant afin que les caractéristiques s’y rapportant soient bien comprises si les appels d’offres sont lancés pendant les mois d’hiver. L’entrepreneur doit se mettre en rapport avec le Chef de Projet avant la visite du site, pour tous détails qui pourraient étre disponibles. Route Haines, Yukon du Km 150 au Km 181 Construction d’autoroute * Chef de Projet : P. Knysh Travaux publics Canada 201 Route Range Whitehorse, Yukon Téléphone : (403) 668-2181 Canada ge Travaux publics PublicWorks - Canada Canada 1166, rue Alberni Vancouver, C.B. PREAVIS D’APPEL D’OFFRES CECI N’EST PAS UN APPEL D’OFFRES mais seulement un préavis qu'un appel d’offres sera peut-étre lancé pendant les mois dhiver 1987-88 concernant le projet repris ci-dessous. Les spécifications et quantifications ne seront pas disponibles avant la publication de l’appel d’offres réel. Les entreprises intéressées doivent s’efforcer d’étudier le projet maintenant, afin que les caractéristiques s’y rapportant soient = comprises si les appels d'offres sont lancés pendant les mois -d’hiver. L’entrepreneur doit se mettre en rapport avec le Chef de Projet avant la visite du site, pour tous détails qui pourraient étre disponibles. Entretien de l’autoroute 1988-1989 du Km 428 au Km 460 Autoroute de |’Alaska, C.B. D-Chef de Projet : B. Dowd Travaux publics Canada Case 510 Fort Nelson, C.B. VOC 1R0 Téléphone : (604) 774-6956 NC Les voyageurs du rail sont parfois obligés d’amener leur animal favori dans leur déplacements. VIA Rail Canada offre le mo- yen du le faire sans souci. (NC) — Durant |l’age d’or des chemins de fer voyageurs, les chiens qu’on voulait amener avec soi devaient étre muselés convenablement et retenus au moyen d’un collier et d’une laisse a toute épreuve. Les individus particuliérement vig- oureux étaient quant a eux confinés 4 une cage. Ces mesures visaient a protéger’ les bagagistes contre les assauts éventu- els de la gent animale (surtout durant la guerre, ou le personnel se faisait rare). On pouvait par ailleurs prendre avec soi, dans un panier ou un autre réceptacle, les petits chiens, les chats et autres animaux peu encom- brants, 4a la condition d’occuper un espace fermé. Toutefoi, le réglement stipulait que les bétes devaient étre dociles et ne pas dégager d’odeurs trop fortes. De nos jours a deux ou a quatre pattes! Dans sa cage VIA, minou voyage en tout confort et en toute’ sécurité. tures ol prennent place des voyageurs (y compris les voitures—lits et les voi- tures—restaurants) sont les chiens—guides qui accom- pagnent les clients ayant un handicap visuel ou au- ditif. Ces chiens voyagent sans frais et peuvent rester aux cétés de leur maitre n’importe oii dans le train. La petite histoire main- tenant centenaire des che- mins de fer nous apprend que les voyageurs faisaient preuve d’une ingéniosité raffinée pour éviter pen- dant le trajet d’étre séparés de leurs animaux favoris. Un entraineur célébre du Canadien de Montréal, qui aconduit son équipe a trois coupes Stanley, aurait ainsi réussi a faire passer la frontiére américaine a de bavards petits poussins, en les cachant dans son com- partiment. Pour les réduire au silence, il devait faire fonctionner sans arrét son rasoir électrique. A la frontiére, |’entraineur réussit a les soustraire a Vattention du douanier en parlant a celui-ci, rasoir a la main. Amateur de hockey, le douanier profita des formalités d’usage pour prolonger la conver- sation pendant plus d’une demi-heure. Aprés s’étre rasé trois fois le visage, Ventraineur dut se résoudre 4 se raser le poil des bras ! On raconte également cependant, les seuls ani- maux admis dans les voi- qu’une effeuilleuse qu’on ne nommera pas, fit ie abe Travaux publics Public Works Canada Canada APPEL D’OFFRES Les SOUMISSIONS CACHETEES pour les projets et-ou services énumérés ci-aprés, adressées au Gestionnaire régional, Politique et administration des contrats, région du Pacifique, département des Travaux publics Canada, 1166 rue Alberni, Vancouver, C.B. V6E 3W5, seront recues jusqu’a l’heure et la date indiquées. ci-dessous. Les documents de soumission peuvent étre retirés aupres du département des Travaux publics, bureau de Vancouver, a l’adresse ci-dessus. PROJET PR 707185 - PECHES ET OCEANS. Remise en état du systéme électrique, port de mouillage, Ne Saltspring, Ganges, C.B. Date limite: le 29 octobre 1987 a 11h00 (11 a.m. PDST) Les documents de soumission peuvent étre consultés a Amalgamated Construction Asscn., of B.C., Vancouver; MSM Construction Plan Services Ltd., Burnaby et les Associations & Victoria et Nanaimo. PROJET Pr. 827012 - Remplacement des tentures, bureau frontalier de Douglas, C.B. Date limite: le 22 octobre 1987 A 11h00 (11 a.m. PDST) Les documents de soumision peuvent @&tre consultés a Amalgamated Construction Assn., Vancouver et MSM Construction Plan Services, Burnaby, C.B. L’offre la plus basse ou toute autre ne sera pas nécessairement acceptée. Canada Voyager en train au Canada... connaitre la frousse de sa vie a un préposé de voi- ture—lits. Alors qu’il soule- vait le siége de toilette au cours de sa_ ronde d’entretien, ce dernier se retrouva face a face avec un énorme boa con- stricteur. Le reptile, qui faisait partie du numéro de Veffeuilleuse, s’y était réfugié... question de se tenir au frais. Sans étre aussi extrava- gants, certains voyageurs ont toujours cherché a faire monter clandestinement leurs petits «compa- gnons», les cachant dans des sacs d’emplettes, dans leurs poches ou encore dans leurs sacs a main. Avant que VIA ne prenne en charge les ser- vices ferroviaires voya- geurs, nombreux étaient les incidents de ce genre. Profitant de |’ arrét du train dans une gare de |’Ouest canadien, un chien réussit un jour a se dégager de son collier et 4 s’échapper du fourgon a bagages pour prendre la clé des champs. Astucieux, le bagagiste descendit du train, mit la main sur un quelconque chien errant et lui posa le collier de l’ex—titulaire. A Varrivée a Vancouver, le maitre du chien disparu, constatant la métamor- phose, protesta de facon véhémente. Le bagagiste n’étant plus de service, le préposé aux réclamations fit valoir, en toute inno- cence, que le nom du voya- geur figurait bel et bien sur le collier du canin non désiré. Aujourd’hui, il est assez facile de voyager en train avec un animal familier, pourvu qu’on prenne des dispositions. I] faut d’abord se rendre dans une gare de VIA et y acheter une cage de la dimension appropriée. Ensuite, on doit s’assurer que le train prévu comporte un four- gon a bagages. Enfin, il faut se rappeler de mettre de la nourriture et de l’eau dans la cage lors de l’enregistrement a la gare de départ, car les bagagis- tes ne peuvent assurer ces services pendant le voy- age. Les chiens doivent étre munis d’une museliére et d’une chaine ou encore d’un collier et d’une laisse bien solides. Lors de cer- tains arréts de ravitaille- ment, on peut faire sortir son animal pour le pro- mener et le nourrir. En général, ce répit profite tant 4 l’animal qu’a son maitre ! Sur les parcours moins longs, les chiens peuvent voyager retenus par une laisse, mais il est plus sécuritaire de les mettre dans une cage. Tous les animaux fa- miliers que VIA transporte font Vobjet d’un supplément, établi en fonction de leur poids et de la distance 4 parcourir. Au moment de faire vos réservations, assurez— vous que vous arriverez a destination avant votre animal, ou tout au moins en méme temps. Si celui— ci n’est pas réclamé dés son arrivée, VIA peut en disposer 4 sa discrétion. Rappelez—vous que les animaux familiers ne peu- vent voyager a bord de tous les trains de VIA; en plani- fiant votre voyage, consul- tez—nous. J