ey 6, Le Soleil de Colombie, 14 juin 1974 ego La Société Franco-Canadienne de Calgary organise un BARBECUE au PARC BEAUCHEMIN | le dimanche 7 juillet 1974 de 16a 18 heures billets: $3 adultes $1 moins de 12 ans D. Danis 971-9930 secrétariat 269-5366 Inv: Les programmes que le gouvernement fédéral entend mettre en oeuvre pour sou- ligner 1’Année internationale de la femme, en 1975, vise- ront A promouvoir l’égalité des femmes dans tous les secteurs de la société et. 4 informer le grand publicsur l’évolution des attitudes A l’égard du role de lafemme. Les divers programmes a comprennent: Une réunion internationale des spécialistes, quise tien- dra A Ottawa, du 4au20sep- tembre 1974, dans le cadre du programme de services con- sultatifs des Nations Unies relatifs aux droits de l’hom- me. Les spécialistes s’oc- cuperont de définir les structures d’un organisme = _ .. » national permanent, destiné 4 améliorer la situation de CONGRES DES JOURNALISTES ET DE LA PRESSE DE LANGUE FRANCAISE Le 14°® Congrés de I’Union Internationale des Journalistes et de la Presse de Langue Francaise (U.I.J.P.L.F.) s’est, tenu. récemment a La Nou- velle-Orléans (Etats-Unis). Cent-vingt participants se sont réunis 4 cette occasion et ont examiné la situation de la francophonie en Louisiane. Cet Etat a maintenu depuis 1803 — date a laquelle Bonaparte le céda a I’Amérique — ses traditions et (Nouvelle - Ecosse). 500.000 personnes utilisent encore le- francais quotidiennement; cette sa culture d'origine francaise et acadienne langue connait actuellement en Louisiane un renouveau action culturelle qui est largement soutenue par les qu’elles soient anglophones ou francophones. Ces opérations sont menées principalement par I’Université louisianaise et par le Conseil pour le développement du francais en Louisiane. M. Charles Rebuffat, rédacteur en chef du quotidien belge,“Le.Soir”, et VUAJ.P.L.F., a fait remarquer, dans son allocution d’ouverture, qu’ “en favorisant sur son sol I’épanouissement de deux lan- gues, y compris celle de la minorité de langue frangaise {un habitant sur quatre), la Louisiane est fidéle 4 son histoire méme. Elle nous indique aussi, président de pour l’avenir, une voie a explorer”. Au cours des séances de travail, les congressistes ont pu définir un certain nombre de recommandations qui visent a souteni faveur de la francophonie : = — |'envoi d’un plus “grand nombre d’enseignants venant de France, du Québec et. aussi d’autres pays francophones; — l’octroi de bourses permettant aux enseignants louisianais de se per- fectionner dans les pays francophones; — |‘augmentation des cours du soir qui favorisent la promotion du frangais écrit; — I'édition et la diffusion dans les écoles élémentaires de manuels scolaires adaptés au parler acadien et a la langue actuelle; — la généralisation des rubriques en langue frangaise dans la presse écrite qui est en totalité anglophone. LE CENTRE CULTUREL FRANCO MANITOBAIN demande UN DIRECTEUR pour le fer juillet 1974 FONCTIONS: : Concoit, élabore, coordonne, anime, et administre les activités du Centre SALAIRE : A négocier. SOUMETTRE : Curriculum a/s Comité du personnel Centre culturel Franco-manitobain 340, boul. Provencher St-Boniface, Manitoba R2H 0G7 : Tél. : 257-3340 a 4 BE intéressant grace a autorités locales, r l’action locale en Vitae. . $13,000.00 PAR DETENU Savez-vous que nos détenus dans les divers péniten- ciers fédéraux a travers le pays coitent chacun la som- me de plus de $13,000.00 par année? Or voila que justement I’on a examiné, a Ottawa, la possibilité de per- mettre a ces personnes de travailler et cela aux condi- tions autorisées par le Ministére du Travail, c’est-a-dire a raison de $2.00 de I’heure, soit le salaire minimum national. Et il existe un total de plus de 9,000 détenus dans les divers établissements pénitentiaires au Canada, dont une proportion importante est intéressée 4 apprendre un mé- tier et 4 travailler, tout comme le commun des mortels soit ceux qui gagnent leur vie a I’extérieur. Et il faut reconnaitre tout de suite qu’un certain pour- centage d’inatviaus, hommes et femmes, ne veulent, comme le dit I’expression, “rien savoir’. Ils ont été trou- vés counabies de crimes commis contre-la société et ils doivent payer leur dette 4 cette société. Par malheur, il fau« reconnaitre qu'il existe, parmi ces détenus, des per- sonnages qui ne veulent aucunement améliorer leur si- tuation, en apprenant un métier ou une profession, pen- dant la période de temps qu’ils sont détenus. Chez cer- tains d’entre eux, i! n’est aucunement question de retrou- ver fe droit chemin ou d’agir en citoyen honnéte et de Pe! tenir 4 la question de Ia loi, dés leur retour a la vie ibre. Mais i! existe heureusement un trés grand nombre d’in- dividus lesquels cherchent 4 s‘améliorer soit en appre- ‘nant un métier, une profession ou quelques méthodes artisanales, pour gagner leur vie dés leur retour dans la société, Et le gouvernement fédéral est prét 4 dépenser une somme de plus de $25 millions par année, durant les dix prochaines années atin d’aider les détenus 4 améliorer leur situation. Cette excellente initiative permettra en plus d‘inviter le détenu 4 apprendre un métier trés uti- le, devant lui servir éventuellement, 4 réduire le coat d’en- tretien de ces individus qui codtent une somme énorme a la population. L‘on sait qu’il faut évidemment cons- truire des institutions de diverses catégories selon qu’on les appelle maisons de détention, 4 sécurité maximale, minimale ou de sécurité medium. Il y a l'entretien de ces établissements et aussi le nombre imposant de person- nel qu’‘il faut préparer pour s’occuper de surveiller ces détenus. : /1 convient d’aider dans la mesure du possible un tel projet car il améliore une situation difficile. Les sommes d’argent que les détenus pourront gagner serviront, soit — en permettant aux détenus eux-mémes de se procurer _ certains avantages (cigarettes, etc.) ou en gagnant des sommes pour remettre a leur famille des argent utiles et nécessaires. ‘ ‘ Dans de nombreux cas, lorsqu’un détenu est placé dans une telle institution, sa famille, femme et enfants, se trouve 4 retomber généralement sous les services des agences dites de hien-€tre social. Plusieurs détenus vou- dront travaillet et remettre une partie de I’argent 4 leur ” famille; alors que dans d’autres cas, ces sommes seront conservées par les détenus. Quoiqu ‘il en soit, cette question mérite que I’on étudie avec attention tous les détails concernant la possibilité pour les détenus de recevoir des sommes d’argent pour leur travail. ils oourront ainsi littéralement. mettre en banque des montants qui peuvent devenir importants et lesquels seront fort utiles lorsque les détenus, ayant terminé leur stage sortiront et retrouveront la société avec ainsi pour dire, un compte en banque. la femme. La réunion com- prendra également un atelier de formation 4 l’intention des représentants des pays qui désirent instituer des pro- grammes de ce genre. Une série de conférences “nationales et régionales et une campagne d’information et de sensibilisation du pu- blic. Une aide financiére accrue aux organismes bénévoles pour la réalisation de pro- jets spéciaux relatifs 41’An- née internationale de la femme. Une revue des instruments internationaux touchant 4 la situation de la femme, sus- ceptibles d’intéresser la Canadienne. Nomination d’un plus grand nombre de femmes Atitre de déléguées aux conférences internationales. Des mesures spéciales a- doptées par les ministéres et organismes du gouverne- ment fédéral pour promou- voir l’égaliteé des chances pour les femmes dans les programmes touchant et le grand public et les fonction- naires fédéraux. La présentation d’une lé- gislation , ou de modifica- tions 4 celle qui existe dé- ja, pour assurer l’égalité de traitement pour les hom- mes et les femmes. L’a- doption d’une loi créant la Commission des intéréts et des droits de l’homme et =~ assurant l’interdiction de toute discrimination fondée sur le sexe et l’état civil. Au nombre des lois devant étre modifiées, figurent cel- les sur le Régime des pen- sions du Canada et le Régi- me des rentes du Québec, les lois concernant les pen- sions et les allocations aux anciens combattants, la Loi sur la citoyenneté canadien- ne, la Loi électorale du Ca- nada, la Loi sur l’immigra- tion et la Loi sur la pension de la Fonction publique. CARRIERES A U'ETRANGER Si vous désirez faire carriére dans le développement inter- national, voici quelques postes qui pourraient vous intéresser. ACDI: @™ Ingénieur technico- économique, ingénieur en tech- nique portuaire, pour le port de Douala, Cameroun, deux ans, frangais. m Ingénieur principal des aéro- | ports, ing énieur d’aéroport, (mécanique des sols), techni- cien-arpenteur, géométre, pour projet d’aviation civile au Con- go, Brazzaville, deux ans, fran- Gais. ' @ Coordonnateur de la forma- tion, conseiller-instructeur en entretien des routes, pour un projet de voirie en Tanzanie, Morogoro et Mbeya, deux ans, anglais. : FCCT (Fonds du Common- wealth pour la _ coopération technique) ™ Un agent et un spécialiste de la formation en télécommunjeations, Lesotho, un an, anglais. ONU: @ Conseiller senior en statistiques, Bangladesh Bu- reau of Statistics, Dacca, un an, anglais. : AVEZ-VOUS VERIFIE LA DATE D’ECHEANCE | © =2DEAVOTRE. 3 ABONNEMENT ? Maseru, — Hi ak 8 ~