INFO-PARENTS COLOMBIE-BRITANNIQUE Bey Les jeunes font du theatre a Prince George Plus d’une trentaine de jeunes francophones ontparticipé activement aux ateliers de théatre offerts parle Cercle des Canadiens frangais de Prince George pendant la saison printaniére. Sous loeil attentif de Francoise Durham quia déjatravaillé pourle theatre La Seiziéme, les 19 enfants de sixiéme, septiéme et huitieme année ainsi que les 15 enfants de neuviéme, dixiéme et onziéme année ont appris a communiquer leurs sentiments en frangais. La créativité est l’un des facteurs sur lesquels les futurs artistes ont passé beaucoup de temps. Travailler en équipe, comme on le voit sur la photo ci-dessus, a aussi fait partie des apprentissages des participants. Le programme aconnu un veritable succés autant par le nombre d’inscriptions que par la présence des enfants tout au long du printemps. Plusieurs éléves du Programme cadre de frangais ont participé a ces ateliers théatraux. Aprés le festival théatre jeunesse de Sechelt, la releve est presque déja préte dans cette partie de la Colombie-Britannique. En Region Parksville: la reponse se fait attendre Des parents de Parksville ont officiellement fait la demande alacommission scolaire pour obtenir une classe de Programme cadre regroupant tous les ayants droit au programme de francais langue premiére. Depuis plusieurs années, les éleves d’immersion et du PCDF sont mélangés. Les parents francophones sont insatisfaits de la qualité d’éducation en francais que recoivent leurs enfants. Cependant d’autres parents dont les enfants bénéficient de ce programme «d’immersion enrichie» résistent a ce changement car ils considérent que la commission scolaire doit continuer d’offrir le Programme cadre tel qu’il a été offert auparavant. Lacommission scolaire n’a toujours pas donné de réponse mais les parents vont rencontrer le surintendant sous peu. Les parents francophones espérent une décision avant la fin du mois de juin pour obtenir leur classe en septembre 1995. Les parents francophones font aussi face al’opinion publique. Le journal local a traité la nouvelle a la une en titrant FRENCH SEPARATISM RAISED. Campbell River: la tenacité porte fruit Alami-avril, les parents francophones de Campbell River entendentune bonne nouvelle; les deuxclasses du Programme etles services offerts ne seront pas touchés par les coupures budgétaires de la commission scolaire. Deux semaines plus tard, on leur dit qu’un seul enseignant sera engagé a temps plein etun autre atemps partiel. Les protestations commencent. Le directeur et le coordonnateur aux langues leur disent que le budget de l’école ne permet pas l'engagement de deux enseignantes. Budget en main, les parents présentent différents scénarios mais exigent que les deux enseignantes demeurent enposte. Apres de nombreux appels, tous les deux jours pour étre exact, le comité de parents obtient finalement une réponse de la commission scolaire : le maintien de tous les services au niveau actuel. C’est une grande victoire pour le comité de parents parce qu’elle assure une certaine stabilité pour le développement du Programme et surtout cela évite d’avoir une classe avec six niveaux différents. Squamish : un nouveau bébé pour septembre Des parents de Squamish ont officiellement demandé ala commission scolaire de Howe Sound|’ouverture d’une classe de Programme cadre de francais pour septembre 1995. Ala suite d’appels téléphoniques et d’une rencontre a Whistler en avril, les parents ont recruté les dix enfants nécessaires pour ouverture d’une classe dans cette ville. Si le programme ouvre en septembre, ce sera la deuxiéme fois qu’une commission scolaire offre le programme cadre dans deux écoles différentes. Dans ce cas-ci, l’autre école est I'école communautaire Myrtle Philip de Whistler. La seule autre commission scolaire quia deux écoles élémentaires offrantle PCDF est Surrey.