{ ! FF | | } } ; : Ht Vancouver Messes de minuit Visite de Nouvelle-Guinée Les messes a l’église Vieille catholique sont les suivantes pour Noél: © a minuit le 24 décembre au soir © et a 11h00 le jour de Noél L’église St-Raphael est située au 715 E. 51éme avenue au coin de la rue Fraser. Mgr Laplante, évéque de l’église, vous souhaite un joyeux Noél. Tél. 325-9193. L’église St-Raphael a _ recu récemment la visite de deux missionnaires canadiens-francais de Nouvelle-Guinée: le frére Gilles Paquette, un Franco-- Veillée québécoise, ‘une vraie de vraie Le COIN (Centre d’orientation et dinformation pour les nouveaux venus) organise le 14 décembre un souper québécois- bénéfice. qui sera suivi ‘d’une veillée québécoise. Au menu, des féves au lard, du ragout de poulet, de la tourtiére, de la salade de choux et du pudding au chémeur. La veillée sera animée par les Danseurs du Pacifique. Dimanche 14 décembre, 17h00 au Centre culturel colombien, 795 W. 16éme Ave (874-9105). Les billets sont en vente au CCC au prix de 12$ pour les membres et de 15$ pour les non-membres. Dépéchez-vous, il n’y aura que soixante-quinze places! ontarien, pilote de brousse, et le pére Richard Beauln, natif du Nord de Montréal et ancien gymnaste. De passage 4 Vancou- ver ils cherchaient une église pour dire la messe en francais et Mgr Laplante leur a prété la sienne. En congé pour plusieurs mois, ces deux missionnaires devaient repasser a Vancouver sur le chemin de retour vers leurs missions. ill Dune place a | Le recrutement de jeunes stagiaires et d’employeurs pour le programme “Jntégration profes- stonnelle” se poursuit. Si vous désirez acquérir une expérience de travail valable pour briser le cercle vicieux “pas d’expérience, pas de travail... pas de travail, pas d’expérience” ou si vous étes préts a aider un jeune a faire la transition entre les études et le marché du travail, contacter: Paulette Bouffard au 669-5264. Carnet Félicitations 4 M. et Mme Emmanuel Parent qui ont célébré 53 ans de mariage le 13 novembre, et a M. Francis Poulin qui va célébrer son 95éme anniversaire le 3 décembre. M. et Mme Poulin célébreront leur 68éme anniversaire de mariage le 31 décembre. Décés: Mme Ramsey, le 18 novembre 1986. Mini franco-fun A cause du manque de participation, ce groupe de jeux ne se rencontrera pilus. Dommage... Sainte-Catherine Nous avons eu un bon nombre de participants a notre Féte de la Sainte-Catherine tenue au Foyer. Les Echos du Pacifique ont fait le vin-fromage ainsi que fourni l’aprés-midi avec des chants, de membres de la FFC. janvier 1987. De la publicité gratuite sur l‘annuaire des Francophones L’édition 1987 de l’annuaire des commercants professionnels et organismes francophones de la Colombie-Britannique. vous offre gratuitement une demi-page de publicité aux associations Pour tirer profit de cette offre exceptionnelle, vous devez nous faire parvenir votre calendrier d’activités 1987 avant le 10 Faites-nous parvenir les renseignements que vous avez (méme s'ils ne sont pas complets) quant a la date, l’heure, le nom de Vactivité, le coat, l’endroit, le nom de la personne responsable et le numéro de téléphone a composer pour plus d'information sur l'activité. Il est préférable de nous envoyer quelques informations que rien du tout. Ne serait-ce que le nom de I’activité et le mois ov elle sera réalisée. Et ce n’est pas tout! Economisez du temps et de l’argent en nous faisant parvenir les noms et adresses de votre exécutif et de vos membres. Ceux-ci recevront, chez-eux, une copie de la 5éme édition de l’annuaire des commercants. P.S. Pour ceux qui possédent un sigle, envoyez-nous-en quelques exemplaires (une carte d'affaires ou papier entéte) . Nous allons le reproduire avec votre annonce. Ne manquez pas cette offre! C’est une occasion unique d’annoncer vos activités a travers la province. Vous avez jusqu’au 10 janvier 1987 pour répondre a cette invitation. Ca vaut le coup! Pierre-Gilles Pilette Agent communautaire Faites parvenir vos renseignements a: La Fédération des Franco-colombiens, 104 - 853 Richards, Vancouver, C.-B. V6B 3B4. : la musique et de la danse. Les Dames Auxiliaires se sont occupées de la tire. Les gagnants de la raffles sont: ler prix - Mme Quenel (afghan et coussin). 2éme prix - M. McMichael (deux poupées). Tous se sont amusés, dans l’esprit canadien frangais. Danse La danse d’Amitié du 15 novembre dernier fut un véritable succés socialement et financiérement. Ne la manquez surtout pas l’an prochain . Des remerciements aux Kamsok, le comité de Parents et au district de la Colombie-Britannique. Réunion Le mercredi 19 novembre, la Société Maillardville-Uni a tenu son assemblée générale dans Vauditorium du Foyer Maillard. Il y avait de nombreux délégués des 15 organismes qui la compose, et parmi eux, Huguette LeClerc (Secrétariat d’Etat) et Pierre-Gilles Pilette de la FFC. Au début de la réunion, les délégués ont visionné«un film réalisé 4 Maillardville durant le 75€me anniversaire. Pierre Gre- nier, réalisateur de ce film, a voulu projeter son chef-d’oeuvre en avant -premiére a Maillardvil- le pour les gens du milieu, qui ont beaucoup joui de ce qu’ils ont vu. Aprés le compte-rendu des activités de l’année en cours, les délégués se sont divisés en groupes dirigés par un-e anima- teur-trice pour discuter de la situation actuelle a Maillardville. Les résultats de ces discussions ont révélé l’enthousiasme et les attentes des gens qui y ont pris part. Emilienne Bohémier a remercié de la part de l’assemblée, M. Robertson (directeur du Foyer) pour son hospitalité (le Foyer ayant fourni le café et le goiter) ainsi que son support pour le bureau. Le Foyer nous loue un bureau 4 coiit raisonnable. La réunion générale annuelle fut un véritable succés démontrant Yenthousiasme et l’intérét qui se trouve parmi les géns de notre communauté. Un lieu qui en dit long [Maillardville] La grande premiére du film sur Maillardville a eu lieu le vendredi 28 novembre ’86. Ce film de Pierre Grenier, relate l’histoire des Canadiens-Francais venus s'installer 4 Maillardville au début du siécle. Pierre Grenier tente mainte- nant de faire diffuser son film sur les ondes de Radio-Canada. Les groupes intéressés a louer le film sont priés de communiquer avec Odette Brassard a la FFC. Se Le Soleil de Colombie, vendredit 12 décembre 1986 - 3 tre Inscription _ université francaise Les étudiants de premiére année désireux de s'inscrire dans une université francaise 4 la rentrée 1987, quelle que soit la discipline choisie, peuvent retirer des dossiers jusqu’au 15 janvier 1987 aux Services pag vig Si 1127 - 736 Granville, Vancouver. Tél. 681-5875. La Fédération des Francophones Hors Québec Inc. 1404-1, rue Nicholas, Ottawa (Ontario) KIN 7B6 Tél.: (613) 563-0311 La F.F.H.Q. son histoire, ses activités. La Fédération des francophones hors Québec — F.F.H.Q. — commence aujour- d'hui une série de cing articles 4 paraitre mensuellement dans les journaux de l'association de la presse francophone hors Québec: il y en vingt-trois a travers le pays. Nous avons réservé cet espace dans I'intention de rejoindre le plus de franco- phones possibles pour les informer. D'abord, il faut dire que des associations francophones exis- taient dans la plupart des provinces dés le début du siécle. Notamment, l’Association franco-culturelle de la Saskatchewan (1912), la Société Nationale des Acadiens (1881) et l'Association canadienne-francaise de |'Ontario (1910). Au début des années ‘70, neuf associations provinciales se rencontrent pour mettre en commun leurs préoccupations relativement a l'anglicisation des francophones. On examine l'état des chose — plutdt fragile, merci — et on décide de se doter d'un porte-parole national qui mettrait en lumiére la situation des francophones vivant a l'exté- rieur du Québec. C'est alors que fut créée, en 1975, la F.F.H.Q., pour planifier et organiser une action politique concertée. Deux nouvelles associations se sont jointes 4 nous depuis, celle du Yukon et celle des Territoires du Nord-Quest. En ce qui concerne nos activités, pour l'instant, les énergies de la fédération sont orientées vers trois principaux dossiers dont les prochaines négociations constitutionnelles Québec/Ot- tawa/les provinces. Nous voulons absolument profiter de ces négociations pour améliorer le statut de la langue francaise. au Canada. Nous procédons également a une analyse des programmes du gouvernement canadien destinés aux communautés de lan- © » gues officielles, programmes qui semblent avoir dévié, d'une certaine facon, de leurs objectifs initiaux qui étaient de venir en aide aux communautés de langues officielles en situation minori- taire. Or, depuis quelques années, ona été témoin d'un dévelop- pement considérable de programmes consacrés a rendre la majorité anglophone bilingue. Ceci, en soi, n'a rien de déplora- ble, sauf que les gouvernements puisent maintenant a méme les sommes d'argent initialement prévues pour les francophones et les affectent, en partie, au développement de programmes d'immersion francaise pour les anglophones. Nous posons la question: comment le gouvernement fédéral peut-il justifier cette contribution financiére alors que les francophones hors Québec n'ont pas encore le minimum requis par la Constitution ? Finalement, nous intervenons a !'heure actuelle dans le domaine des communications, en vue de sauvegarder, d‘amélio- rer et d'augmenter les services en francais a l'extérieur du Qué- bec. A titre d'exemple, le nord-ouest de l'Ontario recoit le signal Radio-Canada de Saint-Boniface et n'a donc accés 4 aucune information provinciale en francais. Le Yukon et les Territoires du Nord-ouest n‘ont aucun service en francais, la Nouvelle-Ecosse est mal desservie, les provinces de l'Ouest réclament un accrois- sement des services régionaux. En cablodistribution, la problé- matique est la méme partout au Canada, soit la différence entre les services en milieu urbain et les services en milieu rural. Nous nous penchons en plus sur les aspects de la presse écrite, du cinéma, du vidéo, de |'édition. Ceci étant dit, il importe de préciser que la F.F.H.Q. ne méne pas seule les dossiers de front. Les associations provinciales et territoriales sont aussi constamment en contact avec les élus de leurs. milieux, de sorte que les actions locales sont inter-reliées aux dossiers nationaux. Par ailleurs, la F.F.H.Q. rencontre régulié- rement une dizaine d’associations nationales avec lesquelles elle collabore a |‘avancement de certains dossiers. Prochain texte: la révision de la Loi sur les langues officielles. v. NE ACO