VOLUME 8 Une si belle ville Est poésie, Parler de Vancouver, C’est vancouversifier. Du haut des montagnes De vancouverdure, Admirer la ville Y jeter les yeux En plongées Vancouvertigineuses. L’air toute l'année Vert et doré Vancouvermeil. Ses parfums, ses peuples. Parler ses langues, Vancouvernaculaires. Ses cuisines du monde. Vancouvermicelles D’Asie ou d'ltalie ; Ses tables a la francaise ; Vancouversailles. Face aux vents de Vancouver, Courtoisie, cordialité, Constance et sérénité. Ici regne l’universalité, Pas la vancouversatilité, Non, la vancouversalite. Ronde des saisons. Au Printemps : Vancouvert, tres vert. L’été peau nue : Vancouver a découvert, oh si ... En automne : Les érables vancouvermillons. Tout lhiver : Au chaud Sous la vancouverture. ° EDITION- ISSN Vancouver Centre ville, Immeubles de vancouverre Et d’acier Les beaux tissus du quartier Chinois, Vancouver a soie. Partout, la mer irisée Belle comme un vancouvermeer Et par-dessus tout cela. A hauteur d’aigles, De leurs vancouvernids, Au flanc de parois Vancouvernissées Chahutent de longues cascades Vancouverticales. Parfois trop grand, le cadre Pour des étres en perdition, overvancouver. De petite vancouvertu, Vancouvervice et vancouversa Deux ou trois rues, * Vancouverrues. Dire le pleuvoir Aussi, A cieux et mots couverts ; Vancouverser des perles De lumiére mouillée. Prier a Vancouver Ou le ciel est si grand. Réciter a Dieu, A mon, ton, son Dieu Et tous les Dieux, les vancouver- sets Des livres sacrés.