it Cont aye sake icetanesenagan “ , es * tement fles parents criminels existent dans toutes les ‘classes et'sont rarement poursuivis ‘Le syndrome de l’enfant battu’’. G’est par ces termes pu- diques que les profession- nels medico-sociaux cer- nent l’hallucinante réalité de milliers d’enfants mal- traités, torturés, mutilés A vie ou blessés 4mort par leur famille. Un ancien magistrat, Mme Eviunder- hill, dans un dossier publié par la ‘*Revue Internatio- nale de 1’Enfant’’ tente de mesurer l’ampleur du phé- noméne. eo Aux Etats-Unis, plus de 60.000 enfants seraient volontairement brolés, é- touffés, battus ou privés de nourriture chaque année. - Estimation certainement en dessous des faits car, pour chaque enfant mal- traité qui regoit des soins médicaux, on en compte au moins 100 qui ne sont pas soignés. Un faitest certain: la folie meurtriére des pa- rents tue davantage, aux E- tats - Unis, que la tuber- culose, coqueluche, polyo- myélite, varicelle, le dia- béte, rhumatisme articu- laire et l’appendicite réu- nis. On ne connaft pas d’au- sur tre calamité quifasse au- tant de petites victimes de moins de 5 ans que __les blessures infligées délibé- rément par les adultes. Méme tableau au Canada, ov l’on recense 5.000 cas de mauvais traitements par an: proportion énorme pour une population de 21mil- lions d’habitant, dont 100 4 150 provoquent la mort de l’enfant. En Grande - Bretagne, 700 enfants sont battus 4 mort _chaque année: 2 meurtres par jour. Sans compter les 400 bébés qui se trouvent avec des lésions irréversi- bles du cervedu. Et ~ les 4.000 autres avec des bles- sures non accidentelles. En Allemagne Fédérale, plus’ de 1.000 personnes sont condamnées chaque année pour avoir cruelle- ment maltraite des en- fants. Plusieurs d’entre elles. sont poursuivies pour meurtre. Les cas signalés ne représentent d’ail- leurs que 5% de la réalité. Peu ou pas de statistiques les enfants martyrs des pays latins. Ce qui ne prouve nullement que _ les Lacaféeineetles | WASHINGTON - Affirmant que la caféine est 4 l’ori- gine de malformations con- génitales chez les ani- maux, une association a- méricaine de consomma- teurs - le Centre pour la science dans l’intérét pu- blic - a adressé audépar- de la Santé, de 1’Education et du Bien-étre “une lettre qui réclame que les femmes enceintes soi- ent mises en garde ‘‘fer- _—~- futures mamans mement mais avec tact’’, contre la consommation de café. D’aprés l’association des animaux, A qui l’on a ad- ministré une quantité de caféine équivalente, pour l’homme, Alltasses. de café, ont donné naissance A des petits avec des dé- fauts du palais, de doigts manquants ou des malfor- mations craniennes.- et a la machoire; et revenir. d'urgence. LA CRISE CARDIAQUE — ses symptomes — La crise cardiaque occupe le premier rang de toutes les causes de morta- lité. Elle cause chaque année, au Canada, 48,000 victimes. // faut étre attentif aux signes avant-coureurs suivants: @ une pression ou une douleur étouffante prolongée au centre de la poitrine, sous le sternum; @ il se peut que la douleur soit irradiee a l’épaule, au bras, au cou e@ le malaise ou la douleur, s'accompa- gne souvent ce transpirations et, a l'occasion, de nausées, de vomisse- ments et d'essoufflements. @ les symtémes peuvent disparaitre La moitié des déces surviennent avant que le malade ne se rende a /hopital. Planifiez et sachez quoi faire en cas LES TORTIONNAIRES = ~ D’ENFANTS parents - bourreaux y soi- ent moins nombreux. Mais le magistrat insiste sur la propension 4 la répression violente des enfants dans les cultures anglo - sa- xonness et germaniques. Les traditions de disci- pline et de rigueur y fe- raient plus de victimes qu’ailleurs. Observation maintes fois vérifiée: les mauvais trai- tements ne sont caracté- ristiques ni d’une classe sociale spécifique, ni d’un type particulier de pa- rents. Leur niveau d’édu- cation varie entre l’école primaire et le doctorat, leur quotient intellectuel oscille entre 70 et 130. Seul’ dénominateur com- mun de ces parents cri-- minels: le fait de considé- rer l’enfant, méme le tout petit, comme un adul- te. Pour eux, ce n’est nullement une créature qui a besoin de soins et de protection, mais un @tre capable de percevoir les choses comme s’il avait 20 ans de plus. Les exigences de ces pa- rents n’ont rien de commun avec les facultés de com- préhension des enfants. Ils réclament approbation et obéissance et s’étonnent .que les enfants ne puissent pas répondre 4 leurs be- soins impérieux. D’ot ten- sions et explositions. d’une charge émotionnelle dis- proportionnée par rapport aux ‘*bétises’’ 4 réprimer. Tout se passe comme si ces parents, c’est généra- lement ltun des deux qui frappe, avec l’approbation de l’autre, voulaient dé- truire en leur enfant ~ une image qui ne corres- — pond pas A celle qu’ils se sont fabriquée. Les responsables ne sont pas les seuls parents. Mais aussi toutes les personnes chargées de prés ou de loin, de la sécurité de l’enfant. Les médecins qui renvoient les petits mal- menés chez eux, dés qu’ils vont mieux et qui, liés par le secret professionnel, répugnent A porter ces sa- les affaires devant la justi- ce. Les travailleurs so- ciaux qui, soucieux de ne pas perdre la confiance des parents désespérés, forts du principe: ‘‘Une mauvai- se mére vaut mieux qu’u- ne étrangére’’, s’opposent a toute dérogation aux droits parentaux. Les en- seignants qui n’aiment pas intervenir dans les affai- res familiales. Mme COLLINS Mme Colins, diseuse et conseillére sur tous pro- blémes, vie, bonheur et succés. Strictement con- fidentiel. Une visite vous convain- cra - Téléphoner pour rendez+ vous,. entre 9h00 et 21h00 au 876-1977 - ; Le Soleil de Colombie, 20 Février 1976, 13 se de Fromage rapé lait) chaud. ner. - sil ou cresson - Du Beurre et du Persil - quet de persil - LA BONNE CUISINE Asperges a la sauce au fromage 1 Bofte d’Asperges, 8 Croftons, 3 quarts de tas - 1 Tasse de Sauce blanche (farine délayée dans du 4 Oeufs durs, Persil ou Cresson - Chauffer les asperges, lesdisposer au centre d’un plat Beurrer les crofitons et les dorer au four; les placer autour ~- des légumes; poser sur chaque crofton deux quartiers d’oeufs. Méler le fromage ra- pé & la sauce blanche (dans laquelle on peut ajouter de la créme pour la rendre plus moelleuse) et assaison- Verser une cuillére de sauce sur les quartiers d’oeufs et servir le reste dans une sauciére. Décorer de per- Sandwichs roulés aux asperges 20 tranches de pain, 20 pointes d’asperges ou plus - Manier le beurre en créme,puis 1’étendre ment sur les tranches de pain. Enlever les croftes. Rouler, en s’aidant d’un linge humide, chaque mor- ceau de pain sur lequel on a mis, au préalable, une pointe d’asperge et maintenir le sandwich dans linge mouillé quelques minutes. Couper les bouts et décorer chaque rouleau d’un bou- légére- ce deces la célébre vient Lily Pons, chanteuse d’opéra, de mourir , 4 l’age-de 71 ans, aprés une maladie. longue LILY PONS Lily Pons naquit en France et devint plus tard une citoyenne américaine; durant la 26me Guerre Mondiale, elle chanta au front pour les troupes al- liées. Elle était hospitalisé 4 St-Paul, A Dallas et la nature de sa maladie n’a pas été dévoilée. Sa longue carriére dé- buta A Mulhouse, en Fran- ce A l’Opéra de cette vil- le, en 1929. Elle se produi- sit au Metropolitan Opera de New-York en 1939, od elle obtint 16 rappels et une publicité élogieuse. Lily Pons.a été considé- rée, pendant plus de 30an- nées, comme la meilleure vocalisatrice soprano. El- le fit sensation, en 1931, quand elle débuta avec le ‘*Met’’, chantant Lucia dit Lammermoor. Elle fut la premiére chanteu- se de la premiére moitié du siécle 4 atteindre le Fa aigu du Chant de Léo Delibes et le Maestro Gat- ti Cazazza a dit de — Lily -Pons qu’elle était la seu- chanteuse jamais en- le véritable d’opéra qu’il ait entendue ou espérer tendre. Lily Pons prit la natio- nalité américaine en 1941. Elle se retira dela scéne en 1960. Elle restera toujours dans les pensées et dans le coeur des vrais ama- teurs du ‘‘bel canto’’. - A Eastspourng, en Angleterre, les contraventions sont envoyées aux automobilistes dans des enveloppes qui portent cette mention : « Eastbourne, une ville qu’on finit par aimer. » } Salon Lucien | Bellin COIFFURES DE STYLES Créations modernes Tél.:683-4622 1212 rue DENMAN VANCOUVER er he ae