Son hachis de dinde vous chatouillera l’estomac»! J’ai essayé de répondre avec une «farce» bien salée Mais comme les dindes, je n’ai pu que glousser. Toute la semaine de la dinde on a mangé Les plats variaient, la viande n’a jamais changé. Ce soir-la au souper nous avions tous l’air abattu Quand on nous annonga soudain que de la dinde, il n’y en avait plus. «Mais comment?» avons-nous sursauté. «Qu’est-ce que vous voulez...» - «Les os» sourit-elle, «ont été entiérement nettoyés». Libres enfin, nous avons tous poussé un soupir Mais on a vu la soupe a la dinde qu’elle allait nous servir. (Texte original de Florence Weekes traduit de l’anglais par Sylvie