MAMAN Lorsque je sammeillais en tei je sais bien que deja tu m’aimais tu m’avais tant espéree qu’un beau jour, je suis née Maman que d’heures... gue de jours tu as passes ame Sscigner... a me caresser... tu ne dermais que tres tard et souvent sans quiétude si j’avais des gestes ou pleurs d’ inquiétude Maman J’ai grandi... j’ai vieilli... auprés de toi tu m’as pratégée... tu m’as aimée puis un jour, j’ai quitté le foyer coh maman! comme je pense a tout ce que je te dois! Chere maman, Je t’ai souvent fait de la peine mais toi, tu m’aimais toujours quand méme que de fois, je t’ai vue scucieuse et tremblante & cause de moi oh oui! quand j’y réfléchis, je comprends mieux tan émeai Maman, chere maman, Je voudrais tant qu’en ce jour toute ma pensée te soit tendresse pour te faire oublier les moments de tristesse et te preuver tout mon amour... Maman. Poeme tiré de "Fleurs des champs, fleurs de nuit" Marielle Ferland, auteure (lg Heuréuse ae Fee des meres