= ee Soirée francaise — a Maillardville A Maillardville-Soirée fran- caise : Soirée frangaise 4 (7h.30) dix neuf heures trente le mardi 15 juin au sous-sol de l’église N.D.de Fatima, sous la présidence du Rev. Pére guy Michaud, o.m.i. Sous la direction habile de Soeur Thérése Michaud des prix seront octroyés aux éléves les plus méritants en frangais. Une expositions de livres et bouquins sera donnée 4 la joie des assistants par M. et Mme Francois Ismert, dont la librairie frangaise est située au 1141 rue Davie M.Jean Riou, conseiller de la Fédération des Franco- Colombiens adressera la pa- role. Mme Myriam Bennett, directrice et rédactrice en chef du Soleil, sera 14 nous faisant le plaisir de venir encourager par sa présence tous nos jeunes. La Fédération saisit cette occasion pour remercier Sr. Suzanne Baron, laquelle quittera définitivement ‘Maillarville. Professeur de francais et animatrice sans pareille quant au chant et a la peinture, votre départ sera regretté de tous. Bonne Chance dans la poursuite de tous vos objectifs. numéro: Je veux servir sur le ou les comités dont j’ai cerné le 1. LE COMITE CULTUREL ecccseseee 2. LE COMITE. DES TECHNIQUES DE DIFFUSION -«sccscceee 38. LE COMITE FINANCIER ecccceeeee 4. LE COMITE DES QUESTIONS SCOLAIRES csscoceeee Je voudrais plutot servir sur un comité qui s’occuperait def NOM: PYEVUTETE OTe ADRESSE: Pee COUPE IEC VILLE: COC CO SECO LOOSE SOSH SEOE SSE SEOESEOSSOS EEE ESEE TOL ESE OL OE SE SOT OSES OES: TELE PHONE: COO CO EEC OEE OSH OEESESOEEOT OES O SOS ES EES ELE ESOLOOO SS OETOSEEES Le recensement AVEZ-VOUS ETE RECENSE (E)' EN FRANCAIS : Combien parmi nos lec- teurs, ont-ils pensé 4 invo- quer leur droit de citoyen francophone de ce pays dit ‘*bilingue’’, avant de rem- plir leur formule de recen- sement ? Combien y en a- t-il qui ont réagi de la fa- gon normale des indigenes de tous pays colonisés; en disant aprés tout, pour- quoi compliquer les choses nous savons l’anglais!... Nous avons tous été pris par surprise. Nous antici- pions des formules bilin- gues, peut-étre, donc nous n’avons pas pensé 4 avertir les francophones dupié- ge commode qui leur a été tendu. ' Par ailleurs, il en a été de méme pour les formules de recensement qu’il en est tous les ans pour les for- mules d’impdt, et comme il en est pour les centaines de pamphlets, en frangais, qui sont disponibles dans les bureaux fédéraux, les parcs nationaux, les musées, etc... Les fonctionnaires de langue anglaise, les plus 4gés sur- tout, - et c’est genéralement ces derniers quisont en pos- te de commande, et c’est eux qui sont les plus déter- minés A causer la faillite de toute politique de bilin- guisme au Canada,- ont une méthode trés astucieuse pour faire avorter l’introduction du frangais dans les ser vices publics. | La méthode consiste 4 ne pas déballer les formules frangaises, 4 les empiler dans les entrepdts, 4 ne pas méme en mettre quelques- unes sur les comptoirs, 4 sembler tout-a-fait perdus si on leur en demande une, et A dire ensuite, 4 l’impri- meur de la Reine :‘‘vous n’avez pas A nous envoyer- ces formules en: frangais, elles occupent de l’espace pour rien, personne ne nous en demande.’’ Et le tour est joué! C’est ce qui vient d’arri- ver en ce qui concerne les formules frangaise du re- censement. Trés peu d’agent se sont préoccupés d’offrir des formules en frangais aux francophones. Méme 4 Mail- lardville, od sont nombreu- ses et bien connues les fa- milles francophones, nou avons été témoin de ot des personnes ne par lant méme pas l|’anglais dQ se débrouiller avec wu agent unilingue anglophone sans méme la courtoisie é- lémentaire, qui aurait été, au moins, de se faire of- frir une formule en fran- ¢ais. tard pour recommencer, serait encore temps d’écri au Commissaire des Lan- gues officielles, Ottawa, 2 de le mettre au couraai -les difficultés que vous ooo rencontrées. Maintenant qu’il est mt il og Canadian Folk Society © Samedi dernier, j’avais le plaisir d’étre parmi les in- vités de Mme Frances Frid- ge, présidente du Canadian Folk Society, qui ont assis- té A leur Folk Festival 71. Quelle magnifique soirée ! Et pensez bien, si cette Da- me ne m’avait pas fait par- venir une invitation je dou- te fort que j’y serais allée. Mais ne graignez rien, ma _ | résolution est prise, jamais, désormais, jene manquerais ces concerts, depuis que je les connais. En nous demandant de ser- rer la main A notre voisin de droite, de gauche, d’ar- riére et de devant, Mme Fridge ouvrit tout simple- ment, mais en créant un lien de détente ce spectacle, qui nous permit en 3 heures de faire le tour du Monde. La pologne avec ses 36 danseurs environ, et detous les ages, apporta dés le dé- but un air de frafcheur et de jeunesse. Ensuite 1’An- gleterre et ses Sailor’s Hornpipe aux pas rythmés, nous amenérent a4 apprécier l’élégance toute caractéris- tique de nos compatriotes Madame Fridge, Presidente américains dans Medley of Latin American Dance. L’ Espagne avec sa danseuse vétue d’un costume multi- colore qui glissait d’un ga- lant A un autre avec une souplesse A laquelle répon- daient éloquemment ses compagnes. L’Irlande sut nous faire oublier, la guerre sanglante qui la déchire intérieure- ment; par le sens artisti- que de ses nombreux dan- seurs, délicatement elle présenta aussi deux chants folkloriques, une dance in- dienne exécutée par 1’India Cujurati Danse Group. Deux yeux noirs..plusieurs grands yeux noirs!.... L’Allemagne vint par deux fois, deux cho- rales différentes, successi- vement The Alpen Club et le Berlin Club. Voix males puissantes avec un controle si efficace que des lied de Schubert , au style Wagné- rien, le tout se mariait. De la Yougoslavie, une fan- fare slave, puis des danses croates précédérent la Hon- ‘grie et sa chorale de 25 voix féminines et 15 mas- culines. L’Ecosse vint aussi par deux fois, aprés l’intermis- sion, ils firent une entrée assez spectaculaire ‘‘d’en arriére-en avant’? la fan- fare!... Un vestige de 1’Ar- ménie, une chorale aux cos- tumes trés richement déco- rés et aux femmes portant le voile blanc, de 1’Estonie un groupe de danseurs. Le ‘¢Hula-Hula’’- la petite Ha- waienne n’avait qu’une di- zaine d’années, mais dans son cas, la valeur n’a pas attendu le nombre des an- nées... Ses ainés avaient ex- écuté trés habilement une danse On The Bench. De charmantes danseuses japonaises suivirent, mais l’influence américaine leur a fait perdre sans aucun doute le rythme des petits pas saccadés et on vit 4]’ammu- sement du spectateur nos jeunes danseuses nous quit- ter assez rapidement. Un autre. sifcle, dWaitre moeurs... Un bref au re voir 4 Mme Fridge. GO BRITISH COLUMBIA..f ~ God save the Queen... Une belle soirée, de la mu- Ssique et des danses... 1 tout revivait sur chaque vi sage, exprimant la joie l’on connaft en quittant u spectacle of tout était fait pour nous charmer. Finale pour le Canadian Folk Society : Durant l’intermission, dai le vestibule et les corri- position des travaux que dif- férents pays offrent au tou- risme. Merci 4 Mme Frangoise Marchand, c’est par son en- tremise que nous avons eu le plaisir d’étre au nombre des invités. Pierrette Paquette. Congres Le Congrés annuel de 1’ INA OY BIL ales ° A Winnipeg, aussi, se tien- dra cette année le congrés de 1’Association d’Education de Langue Frangaise. _ Cette association a la mé- me importance pour le Ca- nada frangais, que la Cana- ‘dian Education Association peut avoir pour le Canada d’expression anglaise. La C.E.A. a une section de lan- gue francaise, mais elle ne peut prétendre défendre ou promouvoir l’avenir du fran- ¢gais, dans les domaines re- latifs A l’éducation, de la méme facgon que 1’A.C.E.L.F qui, elle, est une initiative canadienne - francaise, fon- dée sur la nécessité d’éta- blir des rapports entre tous les groupes francophones du pays, afin de découvrir des formules €ducatives qui puissent s’appliquer A tous ceux qui prétendent A une culture canadienne-fran- -Excuses Mes excuses 4 M.J.B.Di- caire pour sa nouvelle au sujet du ‘*Centennial Din- ner’’ offert par la munici- ‘sionnés de la branche 86, dont il est le président. La nouvelle m’est arrivée trop tard... J’en profite par la méme occasion pour avertir les gens que toute nouvelle de- vant paraftre dans Le So- leil doit étre remise au se- crétariat ou A Mme Paquet- te neuf# jours avant la date désirée. Soit pour le 11 juin elles doivent nous ar- river les 1, 2, ou 3. Merci de votre collaboration. Le Secrétariat, . Mme Pierrette Paquette caise authentique d’un océan palité de Coquitlam aux pen- | Maintenant déménagé & 709 Como Lake Ave. Aussi prés de vous que ' votre téléphone Appelez 939-7287 RENEE'S CAPE 812 Brunette, Maillardville le seul restaurant licensié 4 Maillardville “Nous faisons et vendons des tourtiéres” 4 l’autre. LE SOLEIL, 11 JUIN 1971, V