ee a Se en cee rotate ete ont tt NON A tli < — D’ UNE PLACE A L’AUTRE L] VANCOUVER. @ Cours de francais pour les adultes — La Commission scolaire de Vancouver offre a ceux et celles qui, pour une raison quelcon- que, n'ont pas terminé leurs études secondaires, la possibi- lité de recevoir cette formation en frangais. Le programme D.E.G. (French G.E.D.) est préparatoire aux examens du ministére de |’Education de la C.B. et permet au candidat d’obtenir un certificat équiva- lent a un dipl6me de douziéme année. Il s’agit d’un programme individualisé qui tient compte de l’acquisition de |’expérience et dans lequel le candidat détermine son propre rythme d’étude tout en recevant |’aide d’un enseignant. Ce programme de 10 semaines sera offert le samedi a partir du 14 janvier 1989, de 9h00 a midi au Roberts Learning Centre, 1666 rue Comox a Vancouver. Coit : $30. Renseignements: 879-2554. @ Pré-inscription pour une université en France Les 6tudiants qui souhai- tent s’inscrire en premiére année dans une université en France sont priés de deman- | der un dossier pré-inscrip- tion au Service Culture! du Consulat Général de France, 1201 - 736 Granville, Van- couver, V6Z 1H9, Tél.: 681-5875 avant le 15 janvier 1989. @ «Dance Corps» Ballet pour enfants, tous niveaux et professionnels Les cours sont assurés par Josette Leboucher du Ballet de |’Opéra de Paris les: Mardi a 17h00: Cours élémen- taire Il pour 10-13 ans. Samedi a 9h30: Débutants 5-9 ans. Samedi a 10h30: Intermédiai- res 13 ans et plus, au Studio Dancecorps, 399 W. 5e Avenue. Renseignements au 434-7278. Les cours débuteront le 3 janvier et s'’achéveront le 24 juin 1988. e Bénévoles pour Rendez-Vous 89 Le Centre Culturel Francopho- ne de Vancouver est a la recherche d’un grand nombre de bénévoles, pour travailler dans différents domaines, pendant |’événement RENDEZ-VOUS 89. L’événement auralieu du 15 au 19 février 89. Du- travail pour tous les goUts a compter du samedi 10 février. Joignez-vous a l’équipe dyna- mique du Centre Culturel en laissant votre nom, vos dates et heures de disponibilités 4 Marc en téléphonant au 874-9105 a compter du 10 janvier. (NANAIMO @ Cours de francais L'Association des francopho- nes de Nanaimo offrira des cours de francais a partir du 16 janvier 1989. Des cours de conversation en frangais pour adultes seront donnés aux niveaux 1, 2, 3, 4. Ces cours Le Soleil de Colombie, vendredi 6 janvier 1989 - 3 dureront 12 semaines a raison d’un soir par semaine, de 19h00 @ 21h00. Codt: 55,00$ pour les mem- bres de |’Association, les étudiants et les gens de |’age dor et 65,00$ pour les non-membres. Pour renseignements et ins- cription: téléphonez au 754-5732 ou venez en personne au 905 rue Hecate a Nanaimo. Les francophones hors-Québec sont divisés Suite de la premiére des propos trés fermes contre la position québécoise. «Ce nest pas en enlevant des droits ala minorité anglophone, quion fait la promotion du francais» a déclaré M. George Arés, qui imagine déja les ennuis que les Franco-Alber- tains auront al’avenir pour faire progresser leurs droits. «C’est comme jeter du pétrole sur le feu. Ca enflamme le sentiment anti-frangais» a ajouté M. Arés, a propos de la décision du Québec de ne permettre que l'affichage unilingue francais a l’extérieur des commerces. «Les anglophones ont beau- coup de difficultés a compren- dre laraison d tre de laloi 101» constate encore M. Arés. Faisant référence aux conclu- sions de la Commission Laurendeau-Dunton sur le bilin- guisme et le biculturalisme, il soutient que le Québec devrait penser aux répercussions de ses politiques linguistiques sur lafrancophonie hors Québec, et ne pas prendre des décisions «comme si cétait un pays indépendant». «Les Québécois doivent arré- ter de penser a eux-mémes. || faut dépasser les frontiéres provinciales lorsqu’on parle de lalangue francaise au Québec». La réaction est plus modérée et favorable en Saskatchewan, ou le président de |’Association culturelle franco-canadienne se refuse a condamner le geste posé par le Québec. M. Rubert Beaudais dit qu’il avait espéré que le Québec protége son caractére francais, sans pour autant utiliser la clause dérogatoire. Il reconnait toutefois la légitimité du Québec de Ilégiférer pour protéger son caractére francais. Lui aussi craint une réaction négative des provinces de Quest contre la minorité francophone, mais trouve qu’il serait beaucoup trop facile pour les premiers ministres de ces provinces de se serir des récents événements au Québec pour enlever des droits aux francophones, alors que ces mémes droits ont été abolis au début de l’été par les législatures provinciales de la Saskatchewan et de |’Alberta. Tout comme M. Arés, M. Beaudais constate |'incompré- hension des anglophones de |’Quest face a toute la question linguistique. «// yabeaucoup de gens dans | ‘Ouest dit-il, qui ne croient pas que le francais est en danger au Québec, et ne croient pas que les francopho- nes de!'OQuest se font assimiler dans les écoles d'immersiony. Les Fransaskois seraient préts a échanger le droit qu’ils ont d'afficher dans la langue de leur choix, en retour de tous les droits dont jouissent présente- ment les Anglo-Québécois. De toute fagon, ils n’ont méme pas l'occasion de poser des affiches en frangais, tellement la francophonie est microscopi- que en Saskatchewan. conversation. Pacific Language Institute, Itic. ‘Cours d’anglais ‘ pour étudiants internationaux et visiteurs @ Jour: intensif et immersion @ Tous niveaux . inscriptions mensuelles TOEFL, prononciation, écriture, @ Atmosphére amicale . Anglais seulement Contactez : Robyn Inman au 688 - 8330 303-1155 Rue Robson” LES QUEBECOIS AIMENT MARCHER (ASP) Les Québécois font-ils plus d’activités physiques maintenant qu’en 1981 ? Oui, révéle une étude réalisée par le ministére du Loisir, de la Chasse et de la Pé- che. Le pourcentage des personnes «moyenne- ment actives » est passé en six ans (1981 4 1987) de 32 a 42 p. cent, et celui des sédentaires a -baissé de 15 a 10 p. cent. Par contre, le taux de gens actifs a légére- ment diminué. (Sont considérés comme « mo- yennement actifs» les gens qui font trois heu- res d’activités physi- ques par semaine, du- rant au moins neuf ‘mois de Il’année; les «actifs» en font plus, les sédentaires moins). “En 1981 comme en 1987, c’est la marche qui est l’activité physi- que préférée des Qué-| bécois, suivie par les exercices a domicile, le pelletage de la neige (!), le cyclisme et la danse. La, Fondation André Piolat’ Ba, : Encourage |’étude de la langue francaise par l'octroi de bourses annuelles aux étudiants de Colombie-Britannique. * Joue un rdle dynamique dans le développement des arts et des lettres d’expression francaise dans la province. Aidez-nous aussi a atteindre ces buts dignes d’intérét! Faites parvenir vos dons, déductibles d’imp6t, 4 l’'adresse suivante 104-853, rue Richards, Vancouver, C.B. V6B 3B4 nat Tél: (604) 669-2235 . NOM ADRESSE VILLE PROVINCE CODE POSTAL National Transportation Agency of Caneda Office national des transports du Canada AVIS DE DEMANDE Dossier no M4895-A121-4-1 Réle no 88725 DATE: le 2 janvier 1989 AIR NIAGARA EXPRESS INC. - DEMANDE POUR UNE LICENCE AFIN D’EXPLOITER UN SERVICE INTERNATIONAL A LA DEMANDE [AFFRETEMENT] Air Niagara Express Inc. de Mississauga (Ontario) a demandé a 0 ffice national des transports pour une licence afin d’exploiter un service international a la demande (affrétement) de la classe 9-4 pour le transport de personnes et de marchandises avec des aéronefs du groupe F. Une collectivité, une personne ou tout autre organisme peut intervenir pour appuyer ladite demande, s 'y opposer ou en réclamer la modification en conformité avec les Régles générales de | Office national des transports. L'intervention, sil y a lieu, sera déposée au plus tard le 1er février 1989, et une copie en sera signifiée au méme moment au demandeur. Conformément a l'article 13 des Régles générales de |’0 ffice national des transports, le dépét d'un document est réalisé lorsque celui-ci a 6té regu par! Office au plus tard a la date limite 6noncéé dans |’avis public pour le dépét des interventions. La seule exception a cette régle a lieu lorsqu’un document est envoyé par poste certifiée; son dépét est toutefois acceptable sila date doblitération du document ne dépasse pas la date limite énoncée dans l’avis public pour le dépét des interventions. Dés que la signification de | intervention a été faite, une preuve de signification, que l'Office juge acceptable, sera déposée auprés de celui-ci. Si on en fait la demande a |'0ffice, on peut obtenir plus de détails de la demande et des instructions relatives au dépét d'une intervention en accord avec les Régles générales de |'Office national des transports. Les demandes de prorogation de délai pour déposer une intervention ne seront accordées par!'Office que dans des circonstances exceptionnelles. Toute demande a! Office devra étre déposée en la remettant au Secrétaire en main propre ou en l’envoyant par messager a | Office national des transports, 15, rue Eddy, Hull (Québec), par poste certifiée a |'O ffice national des transports, Ottawa (Ontario), K1A ON9, par télex (no 053-4254 053-3615) ou par télécopieur (no 819-997-6727). Si des informations additionnelles sont requises, on peut communiquer avec la soussignée ou Gordon Kritsch au (819) 997-6226. C. Beauparlant pour W. Mercer, directeur Services et accords aériens internationaux Direction générale de |’entrée sur le marché et de l'analyse du marché Office national des transports Canada