es wh. ca pana sae Pipes abhceene a we (Suite de la p.1) Cherry Ruckin aux Etats-Unis. — En juillet, i] donne un specta- cle 4 la Place des Arts dans le cadre des “Concerts Populaires” avec l’orchestre symphonique de Montréal; le spectacle est diffusé a la télévision au réseau francais de Radio-Canada. — En juillet, i] participe au Festival Pop Express dans l'Ouest avec Janis Joplin, The Bird, Ten Years After. — Au mois d’aoiit, il est délégué par Radio-Canada pour repré- senter le Canada au 10e Festival international de Sopot. Il rem- porte le ler prix avec la chanson “Ordinaire”. — Tlenregistre un 33-tours avec ses derniéres chansons dont: “Ordinaire” et “Demain.Vhiver”. — En septembre, il participe au Festival de Venise avec Patty Pravo, vedette italienne et fait enregistrer ses chansons en italien. — Aprés I'Italie, i] part pour la France pour faire une tournée de promotion de son 45-tours “Ordi- naire”, lancé 4 Paris par Gamma. — En septembre, il donne un spectacle 4 la Place des Nations a Terre des Hommes. — IJ est choisi pour représenter le Québec a l’exposition d’Osaka en 1970. — ATl’automne, il fait. une grande tournée dans la province de Québec, plus de 40 villes. “ 1971 — En janvier, il est en vedette a la salle Wilfrid Pelletier de la Place des Arts. Le titre du spectacle : “Le jour et la nuit”. Il interpréte de nouvelles chan- sons dont “I.e mur du son”. — En France, i] participe au Festival de Midem, spectacle télévisé dans toute l'Europe. — Le 15 janvier, i] fait !’émission “Studio 11” 4 CRF. — Le ler janvier, 4 CBFT, il fait l’émission ‘Donald Lautrec chaud”. © — En mai, i] enregistre 1l’émis- sion “Zoom” 4 CBFT. — En juin, il donne un concert a la salle Wilfrid Pelletier de la Place des Arts dans le cadre des “Concerts Populaires” avec OSM. — En juin, il donne.un spectacle dans quelques villes de la provin- ce. — Du ler au 14 juillet, ilest la vedette d’un gala québecois pré- senté au cours du Festival de Spa en Belgique. — Le 7 juillet, on le voit au canal 7 a l’émission “Avec André Guy”. — Il enregistre un nouveau disque: “Piscou”, “Terre Love”, “Mont-Athos”. — A l’automne, il écrit la musique du film “Bulldozer”. — Il écrit la musique d’un spectacle de la Nouvelle Compa- gnie Théatrale “Opération Théa- tre”. — A J’automne, 4 Toronto, il est vedette et écrit ]a musique du film “Hanger”. (I] passe un mois a Toronto). 1972 — En février, il donne un spectacle 4 ]’Olympia a Paris. — En mai, il donne un spectacle au Casino 4 Cannes. — En juillet, i] donne un specta- cle a la salle Wilfrid Pelletier de la Place des Arts avec OSM. Il chante “Le mur“du son”: -' Robert Charlebois — Il participe au Festival de Longueuil a I’été. ~— Au mois d’aofit, il est a Toronto ot il enregistre son premier 45-tours en anglais “The greatest Idea”. — En septembre, il donne un tour de chant au CEGEP du Vieux-Montréal. — Du 2 au 9 octobre, il est en vedette a l’Olympia de Paris. — Du 10 au 17 octobre, il fait une mini-tournée 4 travers |’Europe (Belgique, Suisse). —.En novembre, il est a la salle Wilfrid Pelletier de la Place des Arts; ily chante “Hallowen in Hollywood”. ~ A l’automne, il fait une tournée a travers le Canada (jusqu’a Vancouver), tournée qui se termine en décembre. 1973 — En janvier, il enregistre un 33-tours. ~ En février, il repart pour la France. II fait une tournée avec Léo Ferré. I] parcourt la France, la Belgique, la Suisse. (avril, mai). — En juin, ala salle du Plateau a Montréal, il recoit le trophée du chanteur le plus populaire. ~ Le 28 juin, il donne un spectacle a l’Autostade avec Félix Leclerc, Gilles Vigneault, etc. ~ Au mois d’aofit, il enregistre un 33-tours: “I.a solidaritude” chez Barclay. On y retrouve les chansons: “I.e révolté”, “Le pia- no noir”. — En aoit, il donne un spectacle a la Bastille, A Québec. — Il devient producteur de disques pour “Solution”. — Al'été, il participe au Festival d’été de Longueuil. ~ En septembre, il passe 3 semaines 4 ]’Olympia de Paris. Il fait ensuite une tournée en Belgique, en France, en Suisse (jusqu’en janvier 1974). — En septembre, il chante a la féte annuelle de |’'Humanité, organisée par le Parti commu- niste. 1974 — En janvier, il fait une tournée de 2 mois en Guadeloupe. — En mars, il donne des specta- cles dans les CEGEP et fait une tournée en province. Nouvelles chansons: “Tendresse et amitié”, “Trop belle pour mourir”. — Du 22 au 27 mai. il donne un spectacle a la Place des Arts, a la salle Wilfrid Pelletier. Deux spectacles ont été ajoutés en juin a cause de la grande demande. CRITIQUES Spectacle Comédie Canadienne, juillet 67: - “En général, ses compositions ne manquent pas de saveur, mais il excelle avant tout dans humour en tant qu'interpréte”. Echos-Vedettes, 22-7-67. Esquire Show Rar, juin 1969: “Sur le plan musical, il faut bien que la pensée décortique — c’est le délire. Jamais, 4 mon sens, Charlebois n’a autant exploité les possibilités de ses ‘“‘musi- ques”. Montréal-Matin, 4-6-69 Salle Wilfrid Pelletier, janvier 1970: “Pour le reste, c’était: encore une TELE-SOLFIL, Vendredi 9 Septembre 1977, 7 La Machine a images C'est en vue de trouver la plus belle image des 25 années de la télévision que se réuni- ront plus de 50 personnages de la télévision Jeunesse, dans le cadre d'une promotion. spéciale signée Hubert Blais. Cette émis- sion intitulée la Machine & ima- ges prendra l'affiche le samedi 10 septembre a 19 h 30. Bobino, qui entreprend une vingt et uniéme saison ‘au petit écran, assurera la bonne marche de cette grande féte a laquelle assisteront prés de 1,000 télé- spectateurs de tous Ages, as- sis dans les gradins du studio- théatre de la Maison de Radio- Canada. Rassemblés tout spécialement pour l'occasion, les personna- ges qui ont habité le petit écran des jeunes depuis 25 ans cher- cheront les grands. titres de imagination, passeront en re- vue les candidats a la plus bel- le image... Pour la premiére fois dans "histoire de la télévision, an- ciens et nouveaux personnages se retrouveront sur la grande scéne des plus -belles images ol! nous retrouverons aussi les marionnettes en congrés et mé- me quelques. extra-terrestres pour qui la recherche de la plus belle image de la_ télévision constitue un sujet de réflexion Tous les intéressés pourront regarder cette émission spécia- le sans autre forme d'invitation. Guy Sanche, Bobino Christine Lamer, Bobinette Gérard Poirier, Sadhu Bidishah, le Gre- nier Yvon Bouchard, Dollard Desbouleaux, le Grenier Yvon Dufour, Bouton, Ia Boite a Sur- prise Roland Lepage, Bedondaine, la Riboul- dingue Denise Morelle, Madame Plume, la Ri- bouldingue Marcel Sabourin, Mandibule, la Riboul- dingue Jean-Louis Millette, Paillasson, la Ri- bouldingue Le major Plum Pouding (voix), les Car- nets du major Plum Pouding Elisabeth Chouvalidzé, Fanfan, les Car- nets du major Plum Pouding Gaétan Labréche, Cassoulet, les Car- nets du major Plum Pouding Janine Sutto, Dame Pénélope, les Car- nets du major Plum Pouding < Bobino Jacques Létourneau, le Pirate Maboule, le Pirate Maboule H Uguay, Mad Pirate Maboule “ Edgar Fruitier, Loup Garou, le Pirate Maboule Claude Lafortune, Claude, Du soleil a cing cents Pierrette Boucher, Pierrot, Au jardin de Pierrot Pierre Curzi, Pierre, You-hou André Cartier, André, You-hou Louise Laprade, Louise, Tam-Tam 7 ae Chartrand, Jean-Pierre, Tam- am Robert Gravel, Robert, la Boite a lettres Dorothée Berryman, Dorothée, la Boite Bec Sec, le é lettres Francine Ruel, Francine, la Boite a let- tres sovel ye Goyette, voix de Nic, Nic et Pic Louise Matteau, voix de Pic, Nic et Pic Linda Wilscam, Picotine, Picotine Suzanne Garceau, Minute Moumoute Alain Gélinas, Minute Moumoute Antoine Durand, Alexandre, Alexandre et fe roi Claude Préfontaine, un vizir, Alexandre et le roi Jean-Louis Paris, un vizir, Alexandre et le roi Pépinot, Capucine, Monsieur Blanc, Pan Pan, Ourson, Pépinot et Capu- cine Héléne Loiselle, Antoinette Orthographe, le Grenier Robert Duparc, Etienne, le Grenier Marielle Bernard, Frimousse, le Grenier Yvan Ponton, Yvan, Une fenétre dans ma téte Louise Gamage, Virginie, Virginie André Cailloux, grand-pére, Virginie Danielle Schneider, Chantale, Virginie Paul Buissonneau, Picolo, Picolo Yves Massicotte, Pantalon, Picolo Guy L’Ecuyer, docteur Macaroni, Picolo Christine Olivier, Colombine, Picolo Giséle Mauricet, Délicat, Grujot et Dé- licat Manion Joly, Chatonne, Grujot et Dé- icat _ it Girard, Sourdine, Grujot et Dé- icat Lise LaSalle, Grujot, Grujot et Délicat Jacques Lavaliée, Hyperlos, le Guten- berg Gilbert Sicotte, Hyperfarceur, le Gu- tenbe rg Louisette Dussault, Hypercocktail, le Gutenberg Louisette Dussault, Souris verte, la Sou- ris verte gee Lafontaine, Hyperfleur, le Guten- Claude Gai, Hyperviolon, le Gutenberg Michel Cailloux, Miche! le Magicien, la Boite 4 Surprise fois extrémement. intéressant, varié, coloré, et bien fait jusque dans le moindre détail.” La Presse, 31-1-70. Place des Nations, 8 septembre 1970: “Ca clique parce que Robert Charlebois parle A des citadins québecois dans une langue de citadins qui ont appris leur langue a la TV: frangais, joual, anglais, tout ca ensemble. Ca clique parce qu'il a Vironie cinglante de la langue.” Le Devoir, &-9-70 Salle Wilfrid Pelietier, janvier 1971: : “A la salle Wilfrid Pelletier, il n’y a pas de nouveau Charlebois. Il y a mieux: un eréateur plus solide, un interpréte plus déga- gé, un musicien plus sir de lui. Tout ca probablement. constitue le vrai Charlebois.” La Presse, 28-1-71 Olympia, février 1972: “Tl a gardé de son Canada le bon accent de chez lui et le gofit des f€tes du village avec les violo- neux. Salut 4 Charlebois poéte et musicien génial: c’est bien dom- mage qu’il s’en retourne au Canada.” Critique parue dans La Presse, février'i9725" =" rhe o as Place des Arts, juillet 1972: “De ce spectacle, j'ai envie de dire ce qu’on peut dire de son récent microsillon: i] est un peu la pose ou le calme avant lessentielle offensive qu’il va livrer cet automne sur le front parisien.” Montréal-Matin, juillet 1972. Olympia, septembre 1973: “Mais l’originalité de Charlebois — personnalité puissante et pas encore épanouie — est dans la nature méme de I’artiste: un homme vrai c’est-a-dire un hom- me de terroir avec la santé, I’équilibre du corps et. de l’esprit, la solidité du roc ou de l’arbre. Une communication permanen- te, par les racines, avec l'essen- tie] et le substantiel, “La Terre”. Figaro, critique reproduite dans La Presse, 25-9-73. 1974 ~— En mai, il est en vedette a l’émission “Tour de chant” au réseau F.M. de Radio-Canada. — “Je vous parle d’un temps”. Reportage de Gary Plaxton, sur Robert Charlebois et Charles Aznavour, a la télévision de Radio-Canada. — En aot, il participe a la “Superfrancoféte” A: Québec. — En septembre, i] enregistre son 10e microsillon. — En octobre, i] triomphe dans un spectacle a ]’Olympia de Paris. 1975 — Il écrit la musique de “Som- bres vacances” un film de Gé- rard Pirez, oti i] tient un rdle aux cétés de Catherine Deneuve et Jean-Louis Trintignant. — Il signe un contrat de trois films avec le grand cinéaste italien: Sergio Leone. 1976 — Il enregistre un nouveau © microsillon.: — Lancement du film “Un génie, deux associés, une cloche” de Sergio Leone. — Il participe au spectacle des Fétes nationales de la Saint Jean a la montagne du Mont-Royal. Le_ spectacle de Robert Charlebois se tiendra au théatre © Centennial de Vancouver Nord, le dimanche 18 septembre, a 17h30. Ce spectacle étant enre- gistré, les spectateurs devront étre assis 4 17h00.