Lae EXPOSIONS - ta, du 31 mai au 19 juin. WAREICK GALLERY 3211 rue Granville (263-4711) GOODRICK ROBERTS Peinture. F.S. COBURN - Peinture. JEAN-PAUL LEMIEUX Peinture. ROBERT PILOT - Peinture. EXPOSITION GALLERY 151 rue Water (685-2619) THEODORE POLLOS Aquarelle et gouache. KLASS VERBOOM - Pein- ture. VERNE SIMSON - Sculpture. ALBERT DE VILLEROUS , Peinture, huile,- jusqu’au 31 mai. DOWNSTAIRS GALLERY 1425 Marine Dr. W. Van. (926-3525) Jusqu’au 31 mai: CAREL VANBENBOSCH gravures sur bois et litho- graphie. TOLLER CRANSTON, litho- graphie. SIMON FRASER GALLERY Université Simon Fraser (291-4266) Exposition sur des études en communications par des étudiants de 1’Université Simon Fraser. Du 7 mai au 31 mai. MIDO GALLERY 936 rue Main (688-2813) ART SCHOOL EXHIBITION. Du 14 mai au 31 mai. ATELIER GALLERIES 2267 W. - 41 th. | (263-4710) A partir du 15 mai: Sculpture et graphisme. DIMENSION GALLERY 3739 10e. O. 3739W. - 10th. (224-5311) STEPHANE SUBLETT Sculpture et modelage. ADRIANNE SAUNDELS Sculpture de métal. Jusqu’au 31 mai. RICHMOND ART CENTER 767 Minoru Gate (278-1755) Du 21 mai au 9 juin: ISLAND ARTISTS Majorité de Richmond. BURNABY ART GALLERY 6344, Gilpin (291-9411) S.H. VARLEY, Group of se- ven. du premier au 26 mai. SEVERINO FRINCA et PE TER HAMILTON, sculpture. CENTENNIAL ART SURREY | 13750 88 th (596-7461) Du 7 au 31 mai: KARSWELL SIMPSON, huile et aquarelle. VANCOUVER PUBLIC LI BRARY , 750 Burrard (682-5911) MICHAEL STRUDY, Photo- graphie. DE VOOGT GALLERY 761 rue Dunsmuir (685-3115) ART CANADIEN jusqu’au 31 mai. IMAGO GALLERY 1504 rue Robson (688-7911) Du ll mai au 25 mai: CLANCY GIBSON, dessins, crayon et encre de Chine. BAU-XI GALLERY 3003, rue granville (733-7011) . Du 28 au 31 mai: DONALD-HARVEY, Peinture et Pastel. GALLERY OF PHOTOGRA- PHIE. 3619 W. Broadway (731-2210) BANF SCHOOL OF FINE ARTS, école de photographie STONE FOUNDATION, par sept photographes d’Alber- VANCOUVER ARTGALLERY Affithes suisses A partir du 15 mai. ROLLAND BRIENER, sculp- ture a partir du 23 mai. HOUSE OF CERAMICS 565, Hamilton (684-4019) ONLY VERY USEFUL POTS, CAROL SOUTHWARD, jus- qu’au 24 mai. BURNABY ART GALLERY *Samedi, 1 juin13h30 et 16h30 Un aprés-midi de chants et méditaions avec Lyn Serada *FREDERICK HORSMAN VARLEY Du | mai au 2 juin : Tours: Mercredi et Jeudi avec Nancy Townshend. Varley est un excellent co- coloriste. [1 utilise le rose, magenta, orange et vert de de plusieurs et intéressan- tes fagons. Quelques travaux donnent l’impression d’étre saturés de teintes spéci- - fiques. Quelques touches de rose saumon et de mauve changentparfois tout le ca- ractére de sa peinture. TOI Toi qui ne voit pas, qui ne sait pas Toi 1A-bas qui m’attend Depuis ce jour ton coeur est triste Et tes yeux cherchent le vent La peine allourdit le bruit de tes pas Tu comprends pourtant — Qu’il suffirait d’un jour, d’une Pour que reprenne vie 1’instant Qui fut pour nous qu’un souffle déja trop court’ Comme les nuages gris Encerclent nos vies d’idées tristes Yvon Rivest 3215 CAMBIE La ee —————————— lamaison de la parole Sa & ~ 8 = eve © ee re @& = a « - Cod a e we Fi 4 Set Bt 3 LA 5 on: re “ey Hy a: PAYS wee: SS G2 a ~~ vw e es eae as VIDEOGRAMMES pu QUEBEC ET DE LA FRANCE | Posie - ELECTIONS Etre au gouvernement, Diriger la nation, et voir devant son nom le ti tre d’ ‘*Honorabie’”’ Membre du parlement quelle que soit la faction, C’est le but espéré, l’hon neur incontestable. Ah comme ils sont parfaits avant les élections, les beaux politiciens qui gui gnent un ministére! Chacun est plein d’attrait, de bonté, d’attentions, brillant d’intelligence, et ne cherchant qu’a plaire. Ces étres supérieurs Ppleins de bonnes intentions, aux enfants, aux vieillards, prodiguent des caresses. Leur parti (le meilleur) est plein de séduction et généreusement, distribue des promesses. Le régnant fera mieux, - quant a l’opposition, le parti qui toujours ne don na que critiques, Il sera merveilleux! Pour toute situation, Il garde dans son sac un re : méde magique! Berthe de Tremaudan. minute avec toi CAFE. CHANSONNIERS FILMS GRAPHISME MUSIQUE VIDEO TEL:874-7523 22 hrer.. aN cles = : ° Aujourd’hui, mille souvenirs décorent mon coeur Mes pensées ne sont que pour toi. TRELAWNY. Angleterre. Adaptation musicale de ‘© Tre- of the Wells’? de A. W. Pinero. Musique de Julian Sla- de. ; Une jeune actrice de théatre, Rose Trelawny tombe amoureuse d’un jeune homme de bonne famille, Arthur. La famille de ce dernier accepte de prendre pose ‘‘a l’essai’’, A Cavendish Square, ayant des doutes sur la moralité des ‘‘filles de theatre’’. C’est ainsi que la jeune actrice se retrouve bientot sous la surveillance étroite d‘un couple de sexagénai- res irascibles et d’une future belle-soeur et futur beau-— frare revéches sur lesquels elle est sensée prendre modéle. La malheureuse, habituée 4 l’ambiance libre et fantaiseiste du tréAtre, ne tardera pas 4 se sentir . a létroit! Elle se plaint: ‘*1 can’t sneeze, I can’t caugh, I can’t’ breeze, I can’t walk!’’ ‘Je ne peux pas éternuer, je ne peux pas tousser, je ne peux pas respirer, je ne peux pas marcher’’ Car il ne faut pas troubler le repos des deux vénérables aieulx qui, repas, obligent toute la maisonnée 4 faire une sieste— de deux heures... ‘Les deux jeunes gens ne peuvent quasiment pas se — parler et, lorsqu’ils ont Jl’ occasion ‘J ie faire, c’est- toujours en présence d’un membre de la famille. Il va sans dire qu’aprés quelques jours passés 4 Ca- vendish Square, Rose s.’est attirée une indistructible . réputation de ‘‘romanichelle’’; ceci est effectivement qualificatif dont on se sert désormais pour la désigner- Heureusement pour notre hér dine, ses anciens amis de la troupe de théAtre viennent la: dre de ses nouvelles: Rose fond en larmes et leur avoue qu’elle ne peut plus supporter l’atmosphére asphysian-— te de Cavendish Square, sur quoi ses amis, touchés, — la décident A repartir avec eux, au grand désespoir d’Arthur... Toutefois, de retour au tréatre, Rose s’avére Etre de- venue une bien piétre actrice: Elle ne croit plus 4 ce qu’elle dit, trouve les rdles qu’on lui donne ridicules, en un mot, elle n’est plus capable de monter sur une réduit son salaire, la congédiera. _ err eee Tout cela finirait trés mal si, comme dans un grand~ nombre de comédies musicales, il n’arrivait un mira Vaieul ‘‘male’’, Mx. Telferm, fait irruption au — théatre et apprend. bientét de la bouche d’une des ac- Arthur! Finalement son directeur de théatre, aprés avoiri: t aprés chaque. )\ Wi ret a visiter un soir pour pren- » scéne. Tout cela parce qu’elle ne peut pas vivre sans _ trices les changements survenus chez Rose depuis son © séjour & Cavendish Square. Saisi de remords, il accep-. tera de financer la production d’une piéce écrite pare un des acteurs de la troupe, Tom Wrench, dans laquel- le on A réservé a Rose un role qui lui irait 4 la per-_ fection’, et, de ce fait, lui redonnerait goft au theatre. Miracle numéro deux: la raison pour laquelle ce rdle est fait pour Rose est que son partenaiee rera oosAT- thur! Arthur qui s’est échappé de Cavendish Square pour venir rejoindre sa bien-aimée et adopter son style — de vie! La piéce se termine sur une scéne d’embrassade: ~ pleine d’effusions sous l’oeil humide de Mr. Telfer... En somme, un intrigue assez simple dont le dénoue- — ment satisfait tout le monde; on n’en demande pas plus © A une comédie musicale. : ery Les voix sont bonnes pour la plupart, en particulier — celles de Judy Armstrong (Rose) et de Robert Underwood (James Telfer). En ce qui concerne le jeu des acteurs, © Bridget O’ Sullivan, dans le r6dle d’Avonia Bunn (une actrice) Edgar Hanson (Tom Wrench ) et Robert Under-- wood se distinguent par le style qu’ils impriment a leurs rOles respectifs: Bridget, vive, enjouée, amusante; Edgar Hansen , plein de feu et de conviction; Robert ~ Underwood, grave, digne. On le verrait trés bien dans ~ le rdle d’un monarque shakespearien! Judy Armstrong et Bob Sibson (Arthur), héritant de — toutes les tirades sentimentales, ont beaucoup de diffi- cultés A éviter la miévrerie’. Mais c’est public, composé en majorité de couples ayant passe la cinquantaine apprécie...Judy a toutefois quelques rares — occasions de révéler son talent, révoltées, au cours de son séjour 4 Cavendish Square. — Elle donne alors & sa voix des accents tout-4-fait — inattendus, situés A mi-chemin entre le cri et le chant, — qui rendent le spectateur désireux de la voir dans un ~ role un peu moins larmoyant... a “TRELAWNY” posséde en somme toutes requises pour faire un bon spectacle de variétés: Su- — perficiel, sentimental, reléve de quelques pointes amu- ce que le — lors de ses tirades les qualités = santes mais inoffensives, Trelawny représente un diver- — tissement agréable et facile qui ne nécessite aucun ef- — fort intellectuel de la part du spectateur. Ceci expli- — que certainement son succés relatif auprés du public. Trelawny se joue au tréAtre ‘*Métro” au coin de Grand-_ ville et de Marine Drive, les 21, 25 et 27 mai, ainsi que — le premier juin. | Se ee Ariéle MARINIE