As ee a, ee ve ab Vat ao Sa he a KA ENTENTE CANADA-COMMUNAUTE ier Le budget consacré a l’appui direct aux communautés de langues officielles augmente de | | 10 millions $, passant de 21,8 millions $ a prés de 32 millions $. La hausse est inférieure a its | celle qui était souhaitée par l’ensemble des communautés de langues officielles au pays, es soit 40 millions $, mais elle représente néanmoins une augmentation appréciable par rapport aux premiers rapports du Patrimoine canadien. ie ( im-j| L’augmentation annoncée par Mme Sheila Copps précéde de quelques jours seulement abe l'amorce d’un processus de négociation des nouvelles ententes entre le gouvernement (| | i fédéral, les communautés provinciales et les organismes francophones nationaux. Grace Wee a ces ententes (connues sous le nom d’ententes Canada-communautés) les communautés de ee langues officielles determinent elles-memes, depuis 1994, leurs priorites de développement et (III ii ont pour role de favoriser une concertation entre les organismes qui la composent pour assurer Wht utilisation optimale des ressources. Chaque entente prévoit une enveloppe financiere Yaq| Pluriannuelle pour appuyer la programmation et les projets des organismes. Les négociations My qui se dérouleront ce mois-ci visent la période 1999-2004. lt ‘aici La fagon dont les hausses seront réparties a travers les différentes communautés de langues fee Officielles du pays n’est pas encore connue. Le comité de négociation représentant la commu- i nauté francophone de la Colombie-Britannique a présenté en février une demande de finance- i i ment de l’ordre de 2,5 millions $ par an pour les cing prochaines années auprés du ministére du ite Patrimoine canadien. Hig 2 HI It « En Colombie-Britannique, les appuis financiers du ministére du Patrimoine canadien sont acid) vitaux pour la communauté francophone», a souligné Mme Diane Cété, présidente de la 'tfiteed| Fédération des francophones de la Colombie-Britannique. Ce sont pratiquement les seuls | Hy appuis que la communauté d’ici recoit. Le gouvernement provincial n’offre aucune infrastructure ty os pour les initiatives communautaires, comme |’accés a des services en santé en frangais ou le ae droit a recevoir un proces civil dans l'une ou l’autre des deux langues officielles. « Le gouvernement de notre province est le seul au pays a n’avoir pas signé d’entente avec le Pie gouvernement fédéral, par laquelle ce dernier alloue des fonds aux provinces pour leur per- ITT é mettre la prestation de services provinciaux dans la langue de la minorite de langue Officielle Le dans des domaines cruciaux comme la santé. II prive ainsi la communauté francophone de la \ cia Colombie-Britannique d’une part importante de transferts fédéraux indirects. » ine bP tiie Hel ta Ailleurs au pays, les ententes fédérale-provinciales pour la promotion des langues officielles ont ans | permis de mettre en place plusieurs services dans les domaines de |’administration de la justice, phates de la santé et des services sociaux ainsi que du développement économique et communautaire. [ (te Elles ont aussi appuyé la mise en ceuvre de politiques et de lois provinciales sur les services en Wiha | francais. | it Hii | A er : | bh AR Ad eR eh AR A R Ad oR ad / I eA Se et Se en een ome SS