bel et 09 ——— # + Réciprocite D'aprés .un psychologue, les maris qui lavent leur voiture le dimanche “souffrent d’un complexe d’infériorité et ont une envie folle de courtiser leurs femmes”. Il serait beaucoup plus simple de se rendre a l’auto-lave mais... “les maris se sentent coupa- bles d’étre oisifs tandis que leurs femmes travaillent a preparer le diner du diman- che”, a déclaré ce psycholo- gue a la Division du Service Publique de British Leyland Motors Canada Ltd. En faisant des recherches sur le. commerce de lauto- lave, le psychologue a inter- prété des données enregis- trées par un ordinateur comme: suit: A Tlinstar du paon qui déploie ses plumes pour attirer !a femelle, 93 p.cent des maris_ essaient d’amadouer leurs femmes avec un voiture éblouissant> de PA shed “Les hommes,” dit-il, “veulent l’extérieur de let* voiture immaculé et brillant comme un miroir. Par contre, les femmes ai- ment leurs maisons propres et 4 ordre, et attachent plus d’importance aux conditions de l'intérieur de la voiture. Ce qui est dans l’ordre de la nature. La femme veut que sa maison soit invitante comme un nid, pour son homme’’. A Alors, qui fréquente l’auto- lave? Les voyageurs,. ven- deurs et chauffeurs profes- sionnels qui considérent |’ap- parence de leur voiture comme un facteur essentiel a leur travail. Ceux-ci vont a l’auto-lave deux fois la se- maine, mais jamais le di- manche; ce jour-la eux aussi lavent leur voiture pour s’at- tirer les bonnes graces de leurs femmes. Le mari qui lave sa voiture le dimanche est comparé par les psychologues au paon qui se pavane devant la fe- melle...Mais dans le salon Tout de mémel... Emancipation OTTAWA—Le ministre des Communications, M. Robert Stanbury, annonce la forma- ition, ‘au sein de son minis- tére, d'un comité spécial chargé d’étudier Jes moyens de favoriser l’avancement des femmes. Ce comité de neuf mem- bres, seul comité du genre” créé jusqu’ici par un minis- tére fédéral, recueille déja depuis quelques semaines les opinions et stiggestions d’hommes et de femmes de ‘ tous les services du Ministére. Ce comité sur la situation de la femme doit soumettre son rapport vers le 30 octobre. Soulignant le mandat du comité, M. Stanbury décla- rait: “La Commission royale d’enquéte sur la situation de la femme au Canada,’ qui présentait son rapport au uvernement l’an dernier, a montré trés clairement la ‘nécessité d’une action immé- diate au sein de la fonction publique. Je suis heureux de voir que le ministére des Comminications a été si ra- pide a prendre Jinitiative dans ce domaine. Mon sous- ministre et moi attendons avec impatience les recom-: mandations du comité, auix- quelles nous porterons une attention immédiate.” 30 p. cent dy personnel Moins de 5 p. cent des ca- dres du ministére des Com- munications sont du sexe fé- minin, alors que les femmes forment 30 p. cent du person- nel, d’environ 1,200 employés. Le comité sur la situation de la femme étudie surtout les moyens de changer les attitudes et d’ameéliorer les méthodes de recrutement, de formation et d’avancement. C’est ainsi que la participa- tion des femmes 4 toutes les activités du ministere fera preuve de la détermination du ministeére doffrir des ‘chances égales aux personnes des deux sexes désireuses de faire carriére dans la fonc- tion publique. _ Un conseil FREDERICTON _ Personne n’empéche les femmes d’aller de lavant, sinon elles-mémes, déclarait a Fredericton, la présidente du Conseil national des fem- es. Mme John Hnatshyn, de Saskatoon, qui voyage ‘actuel- lement dans l’est du Canada, a précisé que les femmes doivent exercer une plus grande influence dans l'opi- nion publique. Elle ‘se_dit_étonnée de con- stater que certaines femmes manisfestent tant d’enthou- Siasme pour le mouvement d’émancipation, alors que la majorité demeure silencieuse face a -l’érosion: des stan- dards de moralité et les tolé- rances qui se miultiplient dans la sociéte. Mme Hnatshyn trouve cette apathie étrange, considérant qu’en général, les femmes ont une meilleure instruction, possédent plus de compe- DCO sblus de temps —wer Pour aller A l’encontre de l’hiver, on vous propose deux modéles de la collection d’Anne - Marie Perron. Pour les soirées plus habillées, une robe longue, en soie et laine, fendue sur le devant. Le manteau, qui couvre le genou, est entiérement semé de plumes, un rappel de la bordure au bas de la jupe. Pour les longues promenades dans les bois, le ‘*Ruana’’ en loden trés épais, frangé, galonné et ceinturé. Il se porte avec ou sans pull, sur une jupe, un pantalon ou des collants. DAUVIN ROOFING LTD. Votre couvreur commercial et domestique Service complet Tél.: 936-19