du lac ou les pentes de ski... Ona bien aimé |’épluchette a Kaslo et on planifie s’y rendre encore. 30 octobre: A Crawford Bay, on veut une piscine, il y a une dame qui veut que son mari vienne au bibliobus et lise en francais, on veut une féte champétre, une section francophone a _ la bibliothéque municipale et des logiciels d’apprentissage en frangais. La piscine, bien oui, ce serait bien I’fun, on passera le message... Oui, la participation du conjoint aux activités francophones est trés importante, car le francais a la maison, c’est en famille que ca se perpétue, il faut y travailler. La bibliothéque Roch Carrier pourra d’ici peu, monter des succursales en région avec ses doubles. Aidez- nous en nettoyant vos sous-sols et greniers. Féte champétre? Pourquoi pas, c’est magnifique a Crawford Bay. 4 novembre: A Castlegar nous avons quelques jeunes familles bien déterminées a vivre en frangais et a participer au projet école francophone dans les Kootenays. On aimerait bien aussi motiver les jeunes 4 non seulement parler en frangais, mais aussi a l’écrire. l’école anglophone, perdent vite cette habileté qui ne fait pas partie de la communication a la maison. Clubs littéraires, de création de bandes_ dessinées, de journal étudiant sont quelques suggestions. imariche, parce que le dimanche, aprés la messe ies francophones est” a priorité. On parle aussi d’une troupe de théatre amateur, pour Ces jeunes, inscrit-es a _ jeunes et moins jeunes, de soirées cabarets, livres-lus a4 ajouter a la collection Roch Carrier, de méme que des films étrangers avec sous- titres en frangais. Pour enfants, des vidéos du Québec ou d’ailleurs dans la francophonie... pas de Walt Disney. 5 novembre, Grand Forks: « nous sommes trés satisfait-es du bibliobus, nous aimerions cependant ajouter a sa collection plus de vidéos, des manuels d@écoles pour les enfants, du materiel d’ apprentissage du frangais pour les débutant-es et des logiciel d’apprentissage en général ». L’identification des francophones est aussi trés importante pour ce tout nouveau groupe, et les suggestions pour s’y prendre ont jaillies! A nous de jouer maintenant! La aussi, les soirées de rencontres et de variétés en francais sont ressorties. Puis on a découvert que le propriétaire du théatre de Grand Forks est francophone et qu’on pourrait, peut-étre, faire venir des films de répertoire, en francais. On profiterait de occasion pour prendre un café ensemble, aprés le film. Je connais quelques personnes de Castlegar et de Nelson qui se déplaceraient pour occasion, et quelques gens de la région ont méme offert Phébergement. pour améliorer de blé_ d’Inde: ion des talents locaux, ns a répondre, danses folkloriques, prix a gagner (Paul a généreusement offert des CD d’ artistes francophones qui chantent en anglais et que l’ AFKO ne voulait pas dans sa collection). Les gens de Kaslo étaient aussi trés enthousiastes a l’idée de participer a l’organisation de la féte. En général: Jeanne et moi avons remarqué combien les gens des différentes régions veulent la méme chose et partagent la méme bonne volonté d’organiser des rencontres et de s’entraider. A chaque ville, ou nous nous sommes arrétées, les gens ont offert de nous héberger. Ils et elles ont aussi offert I’hébergement aux autres membres de 1l’AFKO lors des activités dans leur région. PAFKO travaillera sur ce réseau d’hébergement et fera en sorte que toutes ces bonnes intentions ne soient pas perdues. L’association devra étre plus présente dans ses régions. Cela pourrait peut-étre aider les gens a mieux participer aux fétes régionales et 4 mieux se connaitre. Autres besoins majeurs partagés par beaucoup de régions : publicité informative et identification des francophones. Et ce n’est attendons On n’a pa compiler! pas fini, nous estionnaires... hiver pour les vents glactals, pour travailler ensemble a I!’épanouissement de nos cultures francophones. Maintenant, il s’agit de tout mettre en action! Chantal AGS