| “~ ae ee) Me ne ee ee ee? Me ee ee ee eee ae ee ee we, a oe lO a a eA E i tie >. > he a : ; * . z ‘ ; , é 4 Le Soleil de Colombie, vendredi 26 octobre 1979 Avis d’Audience Publique Conseil de la radiodiffusion Canadian Radio-television 3 et des telecommunications and Telecommunications canadiennes Commission PRINCE GEORGE [COLOMBIE-BRITANNIQUE] LE 3 DECEMBRE 1979, 09:00 Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes tiendra une audience publique 4 compter du 3 décembre 1979 au Simon Fraser Inn, 600, Quebec, Prince George (Colombie-Britannique) afin d’étudier ce qui suit: REGION DU PACIFIQUE ET DU NORD Q@ BROADCASTING LTD., 1134, RUE BURRARD, VANCOUVER [COLOMBIE-BRITANNIQUE]. CKPG TELEVISION LIMITED, 1220-46IEME AVENUE, PRINCE GEORGE [COLOMBIE-BRITANNIQUE]. RADIO STATION CKPG LIMITED, 1220-6IEME AVE- NUE, PRINCE GEORGE [COLOMBIE-BRITANNIQUE]. Vancouver, Prince George, Mackenzie, Quesnel, Hixon, Fort Fraser, Fort St. James [Colombie britannique]. Demandes en vue d’approuver le transfert du contrdéle effectif ou le transfert indirect du contréle des compagnies titulaires de licences suivantes: 1] @Q BROADCASTING LTD., TITULAIRE DE CHQM ET CHQM-FM VANCOUVER [COLOMBIE-BRITAN- NIQUE] -791685100 -791686900 2) CKPG TELEVISION LIMITED, TITULAIRE DE CKPG-TV PRINCE GEORGE, CKCQ-TV-1 QUESNEL, CKPG-TV-1 HIXON, CKPG-TV-3 FORT FRASER, CKPG-TV-4 MACKENZIE ET CKPG-TV-5 FORT ST. JAMES [COLOMBIE-BRITANNIQUE] -791691900 3] RADIO STATION CKPG LIMITED, TITULAIRE DE CKPG, CHPG, CIOI-FM PRINCE GEORGE ET et cela par le transfert de e 1,000 actions communes votantes (100%) eet 204,385 actions de classe A non-votantes (48.1%) de la Q Broadcasting Ltd. en provenance de William E. Bellman (500 actions ordinaires - 50% et 54,285 de classe A — 12.8%), de la Bellman Investments Limited (150,100 de classe A — 35.3%), de Ronald L. Cliff, George B. McKeen, John E. Stark, Alan F. Tatum et la succession de Arnold B. Cliff (100 actions ordinaires de 10% chacune) a la Q.V. Holdings Ltd. Les actionnaires proposés de la Q.V. Holdings Ltd. sont: Actionnaires Actions %du_liére 2iéme ordinaires vote préférence préférence R.L. Cliff 100 20% — = G.B. McKeen 100 20% — = J.E. Stark 100 20%. — _ AF. Tatum 100 20% — =F Estate of 100 20% — = A.B. Cliff : Bellman Invest- = — 150,100 _ ments Limited (100%) Morrison Steel & — == 40,000 Wire Co. Ltd. (100%) TOTAL 500 100% 150,100 40,000 = (100%) (100%) Endroits ot lon peut examiner les demandes: 1134, rue Burrard Vancouver (Colombie-Britannique) 1220-6iéme Avenue Prince George (Colombie-Britannique) CKMK Radio 3, Edifice CTW Boulevard Mackenzie Mackenzie (Colombie-Britannique) Bureau de poste 348, rue Reid Quesnel (Colombie-Britannique) Bureau de poste Hixon (Colombie-Britannique) Bureau de poste Fort Fraser (Colombie-Britannique) Bureau de poste Fort. St.. James (Colombie-Britannique) ._ ._. RENSEIGNEMENTS Comment intervenir — Quiconque désire formuler des commentaires 4 propos d’une demande doit présenter une ‘intervention écrite comportant un exposé clair et succinct — des faits et des motifs pour lesquels l'intervenant appuie la demande, s’y oppose ou propose de la modifier; on doit aussi indiquer si l’on désire ou non comparaitre a l’audience. Date d’échéance pour la réception des interventions au’ Conseil et chez le requérant: le 13 novembre 1979. — Les‘ interventions doivent étre envoyées par courrier Recon Bet dé ou par messager au requérant et au CRTC, Ottaw (Ontario) K1A ON2 avec preuve de signification. A remarquer qu’elles doivent étre regues a la date susmention- née et non simplement postées a cette date. ° locale indiquée dans cet avis et au Conseil, Edifice Central, Les Terrasses de la Chaudiére, 1, promenade du Portage, Piéce 561, Hull (Québec) et au bureau régional de l'Ouest, suite 1130, 701 ouest, rue Georgia, Vancouver (Colombie- Britannique). On peut obtenir de plus amples informations en se procurant une copie des Régles de procédure, disponible au cofit de 35 cents au: Centre d’édition, Centre d’imprimerie, Impri- merie et édition, Ministére des Approvisionnements et Services, 270, rue Albert, Ottawa (Ontario). Rensei- gnements: Ecrire au Conseil ou téléphoner a 819-997-1027 ou 997-1328. Ottawa, le 12 octobre 1979 J.G. Patenaude Seerétaire général intérimaire et des telecommunications and Telecommunications canadiennes Avis Public : E x Conseil de la radiodiffusion Canadian Radio-television Commission Depuis un an le Conseil profitait de ses audiences publiques pour donner aux gens des régions visitées l'occasion de se faire entendre sur tout question d'intérét local ou régional _qui est de son ressort mais qui ne se rapporte 4 aucune demande inscrite a l’audience. On invitait alors les groupes jet les particuliers désireux de comparaitre, 4 se présenter ‘devant le Conseil la veille de la convocation de l’audience a. publique, au cours d’une session du soir. - Par le présent avis, le Conseil désire informer le public que, sauf en de rares occasions, il ne tiendra plus de sessions du Fira ce curaleh Slots on denicbalee docuimeniec. Achad teas = soir. Dorénavant, les observations générales que le public -aimerait soumettre au Conseil seront entendues au début des audiences, plutét que la veille comme c’était la pratique . depuis un an. Toute personne ou tout groupe intéressé 4 comparaitre ‘devant le Conseil en vue de présenter des observations générales devra le faire en tenant compte de l'article 37 des Régles de procédure et sera entendu au cours de |l’audience publique, habituellement dés l’ouverture des audiences. L’article 37 précise que le Conseil peut permettre a des groupes communaittaires ou a des particuliers de présenter leurs observations au sujet de questions d’intérét 'ocal ou régional dans la région ot doit étre tenue |’audience lorsqu’on soumet ses observations au moins deux jours francs avant la date fixée pour l’ouverture d'une audience me CKMK MACKENZIE ee doberatena had ae CRTC — Avis public 1979-133 . Ottawa, publique. le 15 octobre 1979. ’ J.G. Patenaude, Secrétaire général intérimaire. | Economie axée sur l'homme: la coopération perspective communautaire, set, habituellement,-en ré- par Roméo PAQUETTE, Conseil de la Coopération de la Colombie britannique. ARTICLE N° 16 LA COMMUNAUTE COOPERATIVE Le sens de la commu- nauté est probablement l’élément le plus important de la vie sociale. Pourtant, il est présentement en grave danger. Comme nous avons tenté de le décrire dans nos arti- cles précédents, le totalita- risme de notre société capi- taliste porte les individus 4 se voir isolés et réduits a leurs propres moyens, a cause de l’anonymité des milieux de vie. D’autre part, nous avons aussi vu que l'instinct gré- gaire de l'homme le pousse a se retrouver en communau- té. Il serait probablement intéressant de savoir jusqu’a quel point ce processus est analysé par l’individu, et méme par les leaders de ces manifestations communau- taires. 1 Autrement dit, jusqu’a quel point homme, quand il adhére a un groupe social, le fait-il pour satisfaire un be- soin 4 court terme ou a long terme? Adhére-t-il 4 tel ou tel groupe dans le but de réaliser la communauté, ou, tout simplement pour parta- ger un service? Je serais porté a croire que seuls les sociologues ou les historiens voient le processus dans la ~ trospective. Pourtant, ce ne sont pas les sociologues et les histo- riens qui voient |’évolution sociale actuelle comme étant anti-communautaire. Les ré- actions de toutes sortes, a travers le monde, —— que ce monde souffre du totali- tarisme capitaliste ou du totalitarisme socialiste —— - endisent long sur les inquié- tudes des gens. Méme les nouveaux accents des égli- ses sont orientés sur les em- biches de la société maté- rialiste actuelle, sans ména- ger ni le capitalisme ni le socialisme. _ La formule coopérative, elle, offre le moyen de ré- soudre les aspects économi- ques de la communauté a créer. Mais, ce qui est essen- tiel, en ce qui concerne lalternative coopérative, c’est justement la posses- sion de ce sens de la com- munauté. Non seulement faut-il que l’individu réponde a un besoin instinctif, mais il faut surtout qu'il soit conscient du défi communau- taire comme tel. Si, par exemple, la Caisse Populaire de Maillardville, se donnant l’objectif de réali- ser la communauté, se dit qu'il est insuffisant d’offrir | uniquement des services d’épargne et de crédit, elle se dira: “mais, qu’est-ce qui arrive ala communauté fran-. cophone de Maillardville?... Pourquoi tend-elle a se di- luer? Pourquoi les jeunes doivent-ils s'installer dans d’autres localités environ- nantes? Comment se fait-il qu'il n’y a plus de services francophones dans la munici- palité? Pourquoi n’avons- nous pas un représentant au Conseil Municipal... a la Commission Scolaire?... etc.” Elle trouvera toutes les _ réponses a ces questions dans le sens que nous abor- dons. Sila communauté se désagrége, c’est qu'elle est emportée par les conditions actuelles du marché: marché du logement, marché du travail, etc. Pour renverser la situa- tion, il faut établir des poli- tiques favorables ala reprise — du sens communautaire. Autrement dit, il faut éta- blir un leadership qui dépas- se l’objectif institutionnel. La communauté de Mail- lardville ne peut dépendre que d’elle-méme. Ses outils institutionnels sont a revalo- riser. Ceci comprend les deux paroisses, les organismes lo- caux, mais, particuliére- ment, la Caisse Populaire, puisque celle-ci posséde la clef économique de la situa- tion. Le Conseil de la Coopé- ration de la Colombie britan- nique est de plus en plus convaincu de l’opportunité d’étendre la formule coopé- rative dans les secteurs de habitation, de la consomma- tion, et, par conséquent, de la production. La formule coopérative a cette qualité particuliére de mettre en situation des per- sonnes qui, au cours de leurs rapports, acquierent le sens Ces ‘personnes assumen des responsabilités a partir de décisions prises démocra- tiquement et intelligem- ment. Sices rapports sont suffisamment fréquents et dynamiques, il en sortira une conscience collective de la nécessité de choisir des alternatives 4 ce qu’offre la société de consommation. Vu la puissance actuelle de l'économie, il est facile de se laisser conditionner par ses agents. Les agents ac- tuels de l'économie capitalis- te, par exemple, ne sont pas au service de la communau- té, en tant que telle, mais ils se servent des faiblesses des individus pour les convain- cre de se mettre a leur service. C’est-a-dire de les aider a construire leur propre empire. La solution consiste done 4 pouvoir rationaliser le marché de l’offre et de la demande de sorte qu'il ne soit pas manipulé a l’avanta- ge des grands entrepreneurs du systéme, mais qu'il ré- ponde aux objectifs collectifs de communautés conscien- tes de leurs vrais besoins. La semaine prochaine, nous commenterons les ini- tiatives dans le domaine des coopératives d’alimentation. Alain Vaugier, organiste Eelise St-Raphael [Catholique du rite Libéral] 715, E. 5lieme Avenue {Coin Fraser] Sainte Messe: 11h00 tous les nanrees: “Le Christ est ressuscité” Rév. Gérard Laplante, eae Tous sont bienvenus. Shei tie = tomy ie} S ES ea, PR aS a Si AB os ie RATS SS ¥ Dein OR ants