Méme si la_ lutte anti- drogue est la responsabilité de tous les membres de la G.R.C., un nombre important de policiers est affecté exclusi- vement 4 cette besogne. Le but de la lutte active contre la drogue est de réduire la disponibilité des drogues illégales sur le marché et en particulier réduire: 1) limportation et le trafic de I’héroine et de la cocaine. 2) la possession de I’héroine et de la cocaine. © 3) l'importation du cannabis. 4) le trafic de drogues classifiées dans la loi sur les aliments et drogues. 5) le trafic du cannabis. 6) la possession d’une drogue classifiée et du cannabis. L’enquéte: la G.R.C. a besoin de l'aide publique pour réussir 4 combattre le trafic des drogues. Une partie importante des enquétes est basée sur le travail avec les informateurs. Ces derniers, en effet, permettent l'infiltration de groupes organisés et offrent souvent des informa- Commission canadienne des droits de la personne Les déficiences physiques au premier rang Par Annie Granger Depuis 1977, Rita Cadieux est vice-présidente de la Commission canadienne des droits de la personne, son mandat ayant é. renouvelé en 1981 pour sept ans. Mme Cadieux a une longue liste d’état de service a la défense des droits des défavorisés, des minorités, des femmes... La Commission canadienne’ des droits de la personne intervient dans toute discrimination 4a l'intérieur des ministéres fédé- raux, des sociétés fédérales de la Couronne, des _ agences. fédérales, des compagnies dei transports, et des banques qui. couvrent plus d’une province. Discrimination en 10 mots Les discriminations interdites os la loi et que la Commission €fend, se résument en 10 mots: race, couleur, sexe, Age, origine nationale, religion, état matri- monial, situation de famille, état de personne graciée, déficiences mentale et physique. Se réunissant tous les mois, la Commission formée de huit personnes consulte les rapports préparés par les enquéteurs des bureaux régionaux. Ces derniers recoivent a peu prés 380,000 demandes de renseignements par an; 400 sont retenues comme plaintes officielles, et ce sont -celles-ci que la Commission entrainée par son président et Rita Cadieux consultera a Ottawa. “Avant les gens ne savatent pas ot se diriger, et ils ne jent pas en termes de drott”, explique Mme Cadieux, a Vancouver en route vers Whistler ou elle devait parler aux membres d’un congrés. La Commission saisie se penche sur un cas, elle peut nommer un conciliateur ou bien rejetter la plainte qui pourra aller en Cour fédérale du Canada et ensuite en Combattre la drogue tions trés utiles sur les agissements des trafiquants de drogues. A l’échelle internationnale, la G.R.C. maintient une liaison constante avec Interpol, les forces policiéres provinciales et munici- pales, les douanes ainsi que les bureaux d’administration de. lutte anti-drogue des Etats-Unis. Faits nationaux La population d’utilisateurs d’héroine au Canada est estimée 4 20,000 personnes dont 60% sont localisés en Colombie- Britannique. On retrouve la balance, en majeure partie, en Ontario et au Québec. Les villes abritant la majorité des per- sonnes dépendant de I’héroine sont Vancouver, Toronto et Montréal. On retrouve la cocaine surtout dans les grands centres et son utilisation se fait de plus en plus fréquente. De par le fait méme la disponibilité de cette drogue a augmenté et méme sa forme a changé depuis l’apparition du “crack” sur les marchés améri- Cour supréme. Le bureau régional de Vancouver a recu des plaintes, et l’on trouve au premier rang les discriminations sur les déficiences physiques, comme par exemple porter des lunettes, étre diabétique; en second lieu la discrimination sur le sexe, plus particuliérement le harcélement sexuel et en troisiéme rang, la race et la couleur’ suivies par lage. Mais les bureaux régionaux ont un autre mandat aussi important que celui de recevoir les plaintes, les vérifier et les diriger. Lessessions de formation prennent de plus en plus de place a l’intérieur des services de la Commission: faire prendre cons- cience aux employeurs de leurs responsabilités, former les syndi- cats, par exemple on a wu des palintes logées contre 1’emplo- yeur et le. syndicat pour discrimination. cains. Augmentant la _ dé- pendance physique pour un prix moindre et une qualité ques- tionnable, le “crack” se révéle comme une drogue inquiétante auprés de notre jeunesse. Les laboratoires domestiques clandestins comptent pour la plus grande part du marché des drogues telles que, le “MDA”, “PCP”, et amphétamines la source principale du “LSD”, qui viennent de laboratoires clandes- tins américains. Les drogues les plus répandues sont les dérivatifs du cannabis et 4 peu prés aucune communauté ne s’en trouve protégée. Comme vous voyez le monde de la drogue nous apparait souvent trés complexe et seulement une étude approfondie permet de connaitre en détail l’inventaire des drogues et des _ sous- produits s’y rattachant. Une chose est certaine, c'est un probléme que l’on percoit dans tous les milieux de notre société. Gendarme Jacques Lavoie | Prévention du crime Dét. Burnaby de la Commission des droits de la personne fédérale qui couvre le personne fédérale basée 4, Vancouver et qui couvre le Yukon et la Colombie-Britan- nique, renseignent évidemment le public sur toute question touchant aux droits de la personne. Bureau 261-7291 Résidence et répondeur: 736-6809 Est-ce le temps de renouveler vos assurances générales? © fet © vol © automobile @ responsabilité civile @ personnelles ou commerciales — Pierre Lapointe Courtier d'assurances générales Fellow de |’lnstitut d’assurances du Cantata | Associé chez J.T. INSURANCE AGENCIES LID 3574 416 AVE. OUEST VANCOUVER, CB r STERN SERVICES FINANCIERS* Rapports d’impots (Canada et E.U.) : Planification fiscale Comptabilité générale Etats financiers Conseillers en gestion des entreprises Evaluations Fusions e Acquisitions (*) Une division de Jonathan Stern et Associés, Inc. 1525 rue Robson, piéce 600 Vancouver, C.B. V6G 1C5 Tél. (604) 683-9683 662-3366 _ Nous financons Nous croyons que la ' multiplication et la prospérité des entreprises sont essen- tielles au développement de notre société tout entiére. C’est la raison d’étre de la BFD. Besoin de financement? e Augmentation du fonds de roulement? e Refinancement? e Expansion? e Achat de terrain? e Construction de batisse? e Renouvellement d’équipement? e Réparations majeures? e Recherche et développement? e Acquisition d’une entreprise? Toute entreprise, si jeune soit- elle ou méme établie solidement, peut avoir besoin d’un coup de pouce. La BFD le sait et se dit préte a intervenir. Comment? Nous analysons votre projet (viabilité, risques, garanties, ren- tabilité, etc.) et ensuite nous pou- vons vous aider avec des préts a termé souples et concus spécia- lement pour vous. Les préts a terme de la BFD ne s’arrétent pas aux taux d’intérét. Voyez: ON APPUIE VOTRE ENTREPRISE ® Banque fédérale de développement Development Bank / e Préts a terme jusqu’a 20 ans e Vous avez le choix: -— taux flottant — taux fixe pour des périodes variables — combinaison de taux flottant et fixe e Un prét a taux flottant peut étre converti a taux fixe (au gré de l’emprunteur moyen- nant des frais minimes). e Modalités de rembourse- ment variéesetflexibles établies selon la capacité de paiement de Il’entreprise: — versements mensuels — versements saisonniers. En vous adressant a nous pour du financement, vous pouvez étre assuré d’obtenir des conditions avantageuses, souples, et susceptibles de sauvegarder votre marge de manoeuvre nécessaire a la croissance de votre entreprise. Appelez-nous aujourd’hui. Sans frais. 1-800-361-2126 The Bank offers its services in both official languages. Federal Business 4 Canadit}