La naissance de la turbovoile Suite de la page 1 (minéraliers, pétroliers la pro- pulsion éolienne peut se com- biner avantageusement avec la propulsion classique. Evi- demment, il n’était pas ques- tion de revenir aux temps héroiques des “clippers”: la science de la voile a beaucoup progressé, notamment grace a lessor de la navigation de plaisance intervenu depuis l'aprés-guerre. D’autre part, _ les nouveaux matériels (allia- ges légers, fibre de verre, dacron) et les techniques nouvelles (ordinateur, télé- commande, satellites de com- munication) ouvrent de larges perspectives a la créativité des ingénieurs navals. Car la réus- site de cette conversion passe par l’élimination des contrain- tes qui pesaient sur les anciens voiliers: il faut réduire les besoins en personnel, se dé- faire des gréements trop en- combrants, optimiser le ren- dement de la voilure et en simplifier le maniement... Bien que moins avancée que le Japon sur ce terrain, la France se situe dans le peloton . de téte dans cette course internationale a l'innovation. De nombreux projets y ont vu le jour, concernant - entré autres - l’application de la voile a la propulsion des bateaux de péche. Mais des chercheurs francais ont em- prunté des voies plus originales aboutissant a la construction de “voiliers”... sans voiles ni gréements, grace 4 l’exploita- tion de ‘l’effet Magnus”. De quoi s’agit-il? Dissymétrie Vers 1850, le physicien alle- mand H.€. Magnus constata qu'un cylindre en rotation placé dans un courant d’air subissait une poussée latérale dans une direction perpendi- culaire a celle du courant. Le phénoméne s’explique par la dissymétrie créée par la rota- tion. Du cété ot la paroi du cylindre se déplace dans le méme sens que le vent, les molécules d’air sontaccélérées, créant ainsi une zone de dépression, tandis que du cété opposé, le freinage de l’air par la rotation de la paroi dans un sens contraire produit une surpression. Cette répartition dissymétrique des pressions (analogue a celle qui a lieu dans une voile classique) en- gendre une poussée en yertu de laquelle le cylindre est “aspiré” vers la zone de dépression. En 1925 on songea a appli- quer ce principe a la _navi- gation, en remplacant les mats d'une goélette par des “rotors” (cylindres tournants): leur “coefficient de portance (force de propulsion utile) s’avéra supérieur a celui des voiles classiques. Mais l’énergie était, a l’€poque, abondante et bon marché: le résultat fut vite oublié. Depuis quelques années, les chercheurs frangais du LIMSI (Laboratoire d’Informatique pour la Mécanique et les Sciences de l’Ingénieur, dé- pendant du CNRS), repre- nant ces études, s'efforcent d’optimiser les “rotors”. L’un d’eux, le jeune chercheur Bertrand Charrier, remporta en 1980, avec son projet d’un catamaran miu par un cylindre tournant, le prix institué par la Marine Marchande pour la meilleure proposition de navi- re de péche é€économe et performant. En méme temps, le professeur Lucien Malavard développait une application originale du méme principe, qui supprime certains inconvé- Ne crams rien mon ami, nous ne sommes jamais seuls XI Exaltation de la vie Par Gilles St-Eloy Si nous faisons un résumé des exposés que nous avons présen- tés au cours de mes conver- sations, nous constatons pre- miérement que le processus de l’évolution de la “création” a continuellement suivi un mou- vement de développement de l’éveil et de J'intelligence. Deuxiément, ce processus a été dans l’obligation de respecter des lois, et il nous est im- ‘ys possible de les ignorer; volon- - -“tairement ou involontaire- ment nous sommes obligés de nous y soumettre. Troisiéme- ment, l’étre humain, le dernier échelon comme de cette créa- tion est doué d’une “dualité de personnalités” qui le différe complétement de toutes les autres “entités” dela création - ce qui lui permet d’étre supérieur a l’animal s'il con- sent a laisser ses deux per- sonnalités manifestes leur qua- litées particuliéres: ou, au contraire étre inférieur a l’ani- mal si l’une de ces personna- lité est refoulée par l'autre... Deux personnalités En poussant un peu plus loin notre investigation, nous nous apercevons bien vite que par- mi ces deux personnalités l’une est matérielle temporelle, pé- rissable, détériorable... a plus ou moins courte échéance, tandis que l’autre est en fait immatérielle, _caractérielle, psychique et éternelle. De fait, par ses qualités, la deuxiéme devient donc beaucoup plus importante que la premiére comme on dit, le pied est toujours plus important que la -chaussette... ; _ Considérent ainsi tous les facteurs, nous commencons a découvrir “la raison de la vie”, et de ce fait, mettre a leur propre place les événements quis’y produisent... afin de les utiliser le mieux possible, non seulement au profit de notre situation sociale et matérielle, mais aussi au développement et au bien étre de ce qui eu fait est notre réel “nous”; le seul qui restera aprés notre trans- mutation que la _ croyance populaire appelle “mort”. Sans épreuves nous ne pou- vons étre fort... et c’est pour- quoi nous ne devrions pas nous ‘affliger des adversités qui nous _ arrivent dans la vie, au con- traire. En ce qui me concerne, j'ai toujours constaté qu’aprés une difficulté, je me trouvais d’une maniére ou d’une autre plus fort qu’auparavant. C’est la “grande lecon” que la vie fournit a celui qui veut voir clair. Et ainsi, la vie vraiment mérite d’étre vécue... Ignorance Toutes les frustrations que nous accumulons proviennent non pas de nos problémes, mais seulement de l’ignorance de la réelle signification de nos problémes: le sentiment, par- fois non révélé, d’injustice... “quand on comprend, le pour- quoi de la chose, cette chose devient acceptable” C'est pourquoi il est si important de savoir... Et c’est 14 qu’entre en jeu le réle des philosophes... Ce réle, c’est de révéler les choses cachées, et par cela” atteindre la vraie connaissan- ce. Donc “la maitrise de la vie”. “L’exaltation de la viel” Il n’y a pas d’exaltation su- périeure a celle donnée par la connaissance. Tous les plaisirs de ce monde ne sont que des plaisirs d’enfants a cété de cela. Qui, c'est bien beau, vous allez me dire, mais comment atteindre cette connaissance? Pour vous apaiser encore, je vais vous siter une “loi uni- verselle” que tous les vrais philosophes connaissent sans le moindre doute: “Quand 1’élé- ve est prét, le maitre apparait” Disposition “Ne crains rien mon ami, nous ne sommes jamais seuls!” Tout dépend de la disposition - de votre coeur. Si vous étes ardemment désireux de con- naitre - “La connaissance de la vérité”. Cette vérité, tét ou tard vous sera revélée. Puis, la vérité vous “affranchira”’, c’est 4 dire vous “‘libérera”. Vous ne serez plus alors “un esclave”, mais vous serez “affranchi”. En fait, un “étre” totalement nouveau. Le nouvel homme: (suivant l’évolution). L’hom- me, quand il change, devient “fils de homme”. Plus exac- tement soumis aux ‘“vicissi- tudes humaines” mais descen- dant de l'homme, membre de la nouvelle génération, ayant gravi un échelon de plus dans l’échelle de “l’évolution”. D’autres ont déja passé 1’é-- preuve et ne perdent pas de vue les moindres de ceux qui sont succeptibles de suivre le méme chemin. :Sans se faire voir, quoique sans se cacher. Ils sont préts a aider ceux qui en ont le plus besoin. Lé “nouvel adam” est né, ouvrant la porte pour l’appari- tion du “nouvel homme”. L’homme de I'intelligence ap- pelé aussi “l’homme du ver- seau” marche déja sur la terre. Naturellement “les forces som- bres” essayent de détruire son développement dans la crainte d’étre révélées au grand jour, et de perdre ainsi leur “pou- voir d’exploitation” sur l’hu- manité. Mais rien ne peut arréter la marche de |’évolution, car le plan en a été concu depuis le début des temps et les évé- nements, méme s’ils peuvent étre retardés... ne peuvent étre arrétés. Déformation Ce message qui nous a été donné depuis bien longtemps, mais a été déformé, altére ou tout simplement escammoté par les forces précitées - est sur le point de voir son accomplis- sement dans les années qui suivent... C’est pourquoi aujourd'hui - nous “le renouvelons” 4 l’at- tention de ceux qui souffrent, de ceux qui perdent courage, sé sentant inadaptés a ce monde, évoqués par les évé- nements dont ils sont le moins ou ceux qui sont frappés personnellement par l’adversi- té. Peut-étre étes-vous inadaptés ace monde parce que vous étes différents. Et peut-étre l’étes vous réellement parce que votre personnalité contient en elle-méme le potentiel de “la nouvelle mutation”. Essayez de comprendre. Questionnez-vous vous méme. Mais surtout ne vous laissez pas aller au désespoir, car c’est pour vous spécialement que ces articles ont été réalisés et a vous que je m’adresse spécia- lement en disant “Ne crains rien mon ami, nous ne sommes jamais seuls”. Nous serions heureux de recevoir vos commentaires, et nous vous prions de nous les adresser 4: Gilles St-Eloy au Soleil de Colombie. Merci et a bientét. ‘Fin ‘nients inhérents a la rotation des cylindres: il s’agissait d’un cylindre creux, fixe, dans lequel le vent venait s’engouf- frer par des fentes, créant ainsi la zone de dépression néces- saire 4 la production de l’effet Magnus. La “turbovoile”’ était née... Cousteau intéressé Le célébre explorateur et océanographe Jacques-Yves Cousteau, désireux de rempla- cer son vieux bateau Calypso et attiré par un systéme de pro- pulsion non polluant, fut vivement intéressé par cette nouveauté. Sous les auspices de la Fondation Cousteau et des pouvoirs publics et avec la collaboration de Pechiney, on entreprit la construction d’un prototype: Moulin a Vent, un catamaran de 22,50 m de long, muni d’un cylindre creux en alliage léger de 13,50 m de haut. L’air pénétre a l’inté- rieur par des grilles qui peuvent étre obturées alterna- tivement par un volet mobile. Au sommet de cette “chemi- née” un ventilateur, mi par une centrale hydraulique, créé une dépression qui aspire l’écoulement de lair. En octobre 1983, le com- mandant Cousteau entre- prend (a 78 ans!) la traversée de l’Atlantique 4 bord du Moulin 4 Vent. Malgré quel- ques accidents, 1l’expérience confirme les avantages de la nouvelle technique et son rendement supérieur a celui des voiles. Un moulin a vent Forts de ce succés, la Fonda- tion Cousteau et Pechiney se sont associés pour la construc- ‘tion aux chantiers de la Rochelle d’un Moulin a vent II. Plus long (31 m) et muni de deux “turbovoiles”, il a commencé ses essais en mer au mois de mars 1985. En mai, il est parti pour deux années de démonstration autour du monde. Vers la fin de l'année, on installera ce systéme sur un cargo de -6 000 tonnes, pour une expérience “en vraie grandeur”, afin de frayer la voie a la commercialisation de la. turbovoile: il s’agit de montrer que, grace 4 celle-ci, un navire marchand peut faire des économies de carburant allant jusqu’a 35%. En outre, aucune main d’oeuvre n’est nécessaire: l’ordinateur con- duit les opérations. Pour sa part, le commandant Cousteau a déja pris son parti: c’est la turbovoile qui équipera Calypso II.... Priére au St-Esprit St-Esprit, toi qui éclaircis tout, qui illumine tous les chemins peur que je puisse atteindre mon idéal,. toi qui me donnes le don divin de pardonner et oublier le mal qu'on me fait, et qui es avec moi dans tous les instants de ma vie, je veux pendant cette courte priére te remercier pour tout et confirmer en- core une fois que je ne veux pas me séparer de toi a jamais, méme malgré n’im- porte quelle illusion maté- rielle. Je désire étre avec toi dans la gloire. éternelle. Merci de ta _ miséricorde envers moi et les miens. (La personne devra dire cette’ priére pendant trois jours de suite. Aprés les 3 jours, la gr&ce demandée sera obtenu, méme si cela pourrait paraitre difficile. Faire publier aussitét que la grfice a été obtenue, sans dire la demande. Au bas, mettre les initiales de la personne exaucée.) Prigre exaucée. Remer- ciements au Saint-Esprit. G.L.L. Le Soleil de Colombie. vendredi 16 aot 1985 —11 Un homme extraordinaire Suite de la page 5 membres de l’académie du Sénat, des députés présents a Paris, tous les ambassadeurs et chargés d'affaires, les socié- taires de la comédie frangaise, de l'Odéon, des hommes de lettres, Leconte de Lisle, Théodore de _ Bainville, Daudet, Zola, la grande Sarah Bernhard. Quand la famille voulut écarter un journaliste du corps du défunt, il ré- pliqua: Victor Hugo mort, il appartient a la France entiére. Les funérailles de Victor Hugo ne furent pas les obsé- ques d'un homme mort, mais celles d’un immortel. Le XIXe siécle venait d’entrer dans histoire avec un homme dont les enthousiasmes et les pas- sions ont fait écho dans le monde littéraire. I] ne recut pas les derniers rites de |’Egli- se. La mort sans l’Eglise , dit-on, est une mort sans grandeur, et pourtant Hugo trouvait dans la religion une nécessité. Arc dela gloire Le catafalque noir fut dépo- sé sous l’Arc de Triomphe ce méme Arc, ou le 2 décembre 1852, Napoléon III était entré a Paris, maintenant enterré en exil, tandis que le poéte était déposé sous ce méme arc de la gloire. Del’arc de Triomphe le corps fut porté au Panthéon, le monument du “Aux Grands Hommes la Patrie Reconnais- sante” placé entre Voltaire et J.J. Rousseau. Un brin dhistoire: le Pan- théon, du nom d’un temple dédié a tous Jes dieux, au Champ de Mars (Rome). Monument de Paris, situé au sommet de l’ancienne monta- gne Sainte-Geneviéve. La ré- volution en fit un temple destiné a recevoir les cendres des grands hommes (quoi des grandes femmes?) et lui donna le nom de Panthéon. Sous la restauration, il fut église. Temple de la Gloire sous Louis-Philippe. Sous le second Empire, église. La troisiéme république rendit le Panthéon au culte des grands hommes a l'occasion des funérailles de Victor Hugo, insigne honneur, Le dernier en date, le patriote Jean Moulin la victime du sinistre Klaus Barbie. Les protestations éclatérent dont celles de l’Archevéque de Paris, surenchérissant, Louis Veuillot, l’écrivain catholique fougueux défenseur de l'ul- tramontanisme, en déplorant la loi qui expulsa Jésus-Christ, afin que les restes de Victor Hugo puissent y étre mis 1a. Un critique répondit: Hugo était devenu un dieu, dans un temple, il ne peut y avoir deux. La Reine Victoria demanda a son ambassadeur a Paris de lui remettre un rapport cir- constancié sur la fin de Victor Hugo. Le culte d’Hugo Qu’on appela aussi “L’ivresse de Victor Hugo”. Les critiques _ furent. nombreuses, autant que les détracteurs souvent féroces, comme Paul Lafargue (1842-1911), homme politi- que francais né a Santiago de Cuba, disciple et gendre de Karl Marx, ceci explique cela. Hugo, un bourgeois ajoutant des cocardes 4 son chapeau, il fit de son exil une brillante publicité. Ce prométhée mo- derne a vécu sur une superbe ile, entouré de ses admira- teurs, il a accumulé des millions (pourquoi pas, lors- qu’actuellement la vie d’un miteux chanteur de jazz en rapporte des dizaines de mil- lions, signe des temps...) et obtenu la palme des martyrs. Et, Lafargue a ajouté: Hugo indifférent au prodigieux mouvement intellectuel du temps. Le poéte souverain passa le plus clair de sa vie a fouiller dans les catalogues, les dictionnaires historiques et géographiques, a la recherche de rimes riches... ne daigna pas percevoir Lamark ou Darwin. Charles Leconte de Lisle, qui lutta contre le romantisme, mouvement dont Hugo occu- pait la téte, a la suite de sa publication, en 1827, de la préface du drame de Cromwell de Lisle, disions-nous, fut élu a l’académie Francaise au siége devenu vacant de Victor Hugo; suivant l’usage, il de- vait payer tribut a la mémoire du défunt et le fit avec des hésitations, des restrictions, au désespoir de madame Alphonse Daudet. “Un caractére moyen” Emile Faguet, critique et professeur, €crivit dans ses études littéraires sur le XIXe siécle la réalité est que Victor Hugo avait eu un caractére moyen et ordinaire, ne savait pas pardonner, de terribles préjugés, sa vanité ne som- meillait pas: plein de vanité, comme celle d’un bourgeois. Hugo n’était pas un penseur, ses idées étaient celles de n'importe qui d’autre, tou- jours en arriére du temps. Messieurs Leconte de Lisle et Emile Faguet qu’avez-vous fait de mieux? Continuons avec © d'autres détracteurs: Adolphe Thiers, historien, homme politique, président de la République francaise, en 1871. De Hugo, détestable, l’esprit .est mauvais, l’exécu- tion mauvaise... Jules Barbey D’Aurevilly, pourtant écrivain encore de style romantique, Hugo a dégradé son talent dans cha- que page, a €pousé la vulgari- té. “Les Misérables” regorgent d'improbabilités, comme un cadavre avec des vers... Charles Baudelaire. Critique du Romantisme, dit a sa mére: je n’ai pas le courage de lire ses oeuvres, j'ai en horreur la famille Hugo et ses disciples. Oui, monsieur Baudelaire, ~ avec vos “Fleurs du Mal” vous auriez eu du mal a digérer Hugo... Vieil exhibitionniste Alphonse de Lamartine. Quoique ami, critiqua “Les Misérables”, Hugo, un cygne qui essaye de mordre. De Lamartine était un aristocrate et pieux, il mettait en évi- dence des anges et des cygnes, Hugo, des aigles et des lions. Emile Zola. Depuis le retour a Paris, Hugo n’a pas grandi, cela fut fatal: Trop haut sur son rocher, il ne pouvait plus s’élever. N’a pas été acclamé comme un chef de file, simplement un vieil exhibi- tionniste, plus tard un “Bur- grave”. N’a pas laissé un disciple pour la reléve et fonder la religion du maitre. On doit s’étonner que le peuple ait accepté avec grand sérieux la colossale masse d’erreurs et de puérilités. Lorsque Julian Osgood Field, lauteur de “Things I should not tell” demanda a Hugo a quoi il pouvait comparer la littérature de Zola, d’une voix de stentor; comme un seau de toilette peut ressembler 4 une rose. Andre Gide: €écrivain de talent, Prix Nobel (1947), a un journaliste qui lui deman- dait, vingt cing années aprés la mort du grand homme, qui était, d’aprés lui, le supréme poéte francais? Sa réponse panachée: “Victor Hugo, hé- las’!” Jules Lemaitre: fin critique, dans son quatriéme volume “Les Contemplations” ex- prima un verdict dévastateur: les cymbales sonores de Hugo Suite page 12