La Voix des Kootenays Lors du _ premier forum francophone rural de la province, j'ai présenté un plan historique et stratégique de notre Association. L'AFKO miimpressionne! Au fil des années de programmations et de projets, notre Association a réussi a se forger une place bien solide dans nos vies et nos communautés. Suivant une croissance intelligente, nous avons su offrir des réponses innovatrices aux défis francophones kootenays. Les défis auxquels nous devons faire face aujourd'hui ne sont pas plus complexes ou plus grands; mais notre capacité d'y répondre est maintenant plus adéquate. Ceci nous permet une analyse plus profonde des phénoménes communautaires envers lesquels nous aimerions avoir un meilleur impact. Dot’ nos explorations d'entreprises sociales assurant un service continu 4 la petite enfance et aux familles; notre recherche envers la création d'infrastructures d'accueil et de permanence des jeunes travailleurs migrants agricoles francophones, des jeunes familles et des nouveaux arrivants francophones; notre extension du bibliobus dans les Kootenays Est; et méme notre déménagement. Mot de la direction générale Une meilleure compréhension de l'AFKO et de ses défis nous encourage a mettre un peu moins d’énergie non renouvelable dans la livraison de services et d'activités, plus d'intelligence sur nos rapports dynamiques avec nos partenaires et évidemment (ce n'est pas la premiére fois que j'en parle), plus d'énergie sur la création d'outils adéquats 4 la continuité et le développement de nos services (vous voyez que nos services n'en sont pas réduits, bien au contraire). Le jumelage que |l'AFKO facilite entre Nelson et Baie-Saint- Paul vise principalement 4 créer cette structure de partenariats et de focalisation de nos activités. J'ai aussi assisté en début novembre, au Rendez-vous des présidents et présidentes de la Fédération des francophones de la CB (RVPP) et ensuite, au BC Entreprise for Non-Profit Summit (ENP). Ce n'est pas seulement la francophonie en milieu minoritaire qui est affectée par un manque de ressources et une fatigue de ses directions générales, mais bien tout le secteur caritatif. Les fonds nécessaires au roulement de base d'une Association comme la notre, quelle soit francophone ou autre, ne sont pas suffisants; les climats politiques peu rassurants. Nous devons redoubler d'effort et d'imagination malgré nos conditions déja affaiblies