a ee gné... et ca fonctionne! Se A LM A 7. OC # *< En 1892, a la suite les comtés Sullivan, (HANNE Ad d’abus, le gibier dut King, Queen, Suffolk étre protégé et des et Long Island Sound réglements édictés, CHEVREUTL du 1] septembre au ressemblant étran- 10 octobre. Cett for- gement a ceux me de chasse est que nous interdite avons de FN {84? dans St. nos jours. Law- Les voici. rence, «Dans les ~~ Delawa- comtés de re, Greene et King, Queen, Ulster, mais il est Suffolk et Long Island Sound, chasse permise du 10 au 16 novembre; permis d’abattre les chiens errants dans ces régions. Seule- ment une carcasse de ailleurs du 16 aofit au 31 chevreuil a la fois octobre; com- : peut tre transpor- plétement —— at) if ~ — té2 par son proprié- prohibée dans SPR, | taire. La vente est Per- Ulster, Greene, Sulli- van et Delaware pour les cinq prochaines années. Seu- lement deux chevreuils peuvent étre abattus ou capturés vivants par un chasseur au cours d’une saison. I] est strictement interdit de chasser ou piéger les faons. Les piéges, salines et autres méthodes du genre sont interdits. La chasse avec des chiens est permise dans 16 aodt et le 14 novembre. L’abattage du gibier sur la crofite de glace hivernale, tout comme la chasse dans les rava- ges d’hiver, est défendu. Il est strictement défendu de chasser, tuer, vendre ou trans- porter |’orignal, le caribou ou Pantilope dans l’Etat de New York» REXEILLEMATIN DES DES GUERRIERS INDIENS Durant plusieurs années, j'ai eu le privilége de pécher en compagnie de Roland Farmer. Il était l'un des meilleurs pécheurs qu'il me fut donné de reneontrer. Sans avoir 4- utiliser de-réveille-matin, il venait- me sortir- du lit afin que nous soyons sur le lac & la barre du jour. Je n’ai jamais connu sa source, mais lorsque je lui demandai com- ment il s’y prenait pour se lever si tdt, il s’expliqua ainsi : «Lorsque les Indiens désiraient partir tt pour la chasse, la péche ou pour emprunter le sentier de la guerre, ils buvaient beaucoup d'eau avant de se coucher. Plus ils dési- \ Taient, se lever. t6t,-plus.ils. en-buvaient-- 5 sii Depuis, 4 l'occasion, lorsque j'ai oublié cal 7 mon réveille-matin et que désire me lever de bonne heure pour me rendre a mon affiit olt j'attends l’orignal, ou pour pécher dans une fosse avant les autres, je pratique le truc que Roland m'avait ensei- “Apres la chasse au bison... | mise uniquement entre le | queue et déploient leurs oreilles , me . Zz quand ils les voient. Hs se les passent (fPX \ AN * de l'un a l'autre, les emportent avec eux COMPORTEMENTS FUNERATRES INEXPLICABLES J'ai chassé le bison dans une réserve oti certaines bétes devaient étre abattues pour maintenir la qualité du troupeau. J’étais accompagné de mon ami et pilote Paul Richard. Lorsque je fis feu pour abattre I’énorme béte (c’était celle qui semblait la plus imposante du troupeau) la balle 300 magnum lui fracassa I'épaule et elle croula sur le sol. En quelques secondes elle était morte, mais un drdle de spectacle s‘ensuivit. Tout le troupeau de quelque 80 tétes encercla le gros bison gisant au sol, et les hétes de leurs comes tentérent de relever I’énorme bovidé. Leurs efforts se poursuivirent durant un quart d’heure. Est-ce que les bisons s'adonnent a cette pra- 5 SURINAM NET dS * rc ah inn ahi a etl Sette og cataaas “Ty ae tit bo 2 ee ERS AOR RATESS —. RMMUERRNRRMER ° tique funéraire fréquem- ment? Etait-ce une simple coincidence ou un comportement occasionnel? Si j'ai rédigé ces quelques lignes sur le bison, ce sont les éléphants qui m’y ont fait penser. On sait que d'intéressantes observations ont été fai- tes sur leur comportement. Lorsqu'un membre d’un troupeau d’élé- phants est en train de mourir, ses compagnons se rassemblent autour de tui et essaient de le relever, de le réconforter. Lorsque l’éléphant est mort, ses fréres et sceurs semblent avoir beaucoup de respect pour son cada- vre. Ils demeurent méme avec lui durant plusieurs jours, un peu comme les humains le font dans les salons mor- tuaires. Les éléphants manifestent aussi beau- coup d’intérét pour les ossements de leurs semblables. Ils dressent la at a et souvent les enterrent. Jain et Oria | - Douglas-Hamilton font état de lhabi- tude qu’ont les éléphants d’inhumer les “weg —Cadavres de leurs congénéres. «lls les recouvrent de terre et de feuilles», di- . & see@ice — sentils. :