S=> # “Rie Mensuel Courrier 2éme classe Second Class Mail No 7749 c : Deuxiéme partie = ; bat KW ea Pat, puC A 3} RIDING“: és son entrée dans la Confédération, le Manitoba est subdiviséen circonscriptions électorales : douze francophones, douze anglophones et on procéde au recensement. Les yy francophones sont alors ms majoritaires au Manitoba, si l’on compte blancs francophones, Métis francophones et Indiens francophiles. Pourtant apartir de 1871, l’anglicisation dela province est trés forte car de janvier aseptembre, i! arrive de six asept mille anglophones. Dés qu’ils seront minoritaires, les francophones verront leurs droits constitutionnels 2 disparaitre. xh wy Oe x Wey La peur SGe de l’annexion O'Donoghue rendu aux Etats-Unis en émissaire des Métis apeu desuccés aupres du président Grant, mais il réussit aregrouperles Fenians. Les Fenians sont des républicains Irlandais qui aimeraient affranchir|'Irlandede |’Angleterre. O'Donoghue prépare donc avec quelques Fenians une attaque contrele Manitoba tout en faisant appel au peuple Métis. La Nation Métissepourtant décue parle gouvernement du Canada qui n'apas tenusaprom 3 .\\)) . ~~ of w= ty MOUNTAIN > < Xe a ~ Be ae INT-LAZARE ; =e 4 t 4 NG z £ 2 % 4 4 AINE, y y ote oe longtemps Pétale | toda = eae j 2 Cate Seoce PEMBINA SJ | avant que les A OTA \/ MOUNTAIN \ hommes EAnthire NORD habitent notre planéte, Filament [~ =tamine : 2. laterre était couverte de su es oO, fe! Kt) B fleurs. L’histoire si" 7 des plantes et des fleurs Vaire Pistil s\) NF atoujours étéintimement = 2 7 lige a celle des hommes. , a Autourdeson abri, surles Pe . 5 \ pentes des collines, dans les Anglicisation LES FENIAN oO vallées, surles berges des accorder 1,400,000 acres de terre destinés aleurs enfants repoussent tout demémeles avances des Fenians. Mais le gouverneur du Manitoba, Adam George Archibald, redoutela menace fenianne et une annexion possibledela province aux Etats-Unis. Il es convaincu que seul Louis Riel peut vraiment empécher les Métis dese joindre aux Fenians d’Amérique. Louis Riel accepte et le 8octobre 1871 réunit trois cents hommes devant la cathédrale de St-Boniface. Le gouverneur Archibald s’engage alors adéfendre devant Ottawa les revendications que Louis Riel lui atransmises. Suite page 2 mw a7 Pts WES ESN Zr IN IES Ke % riviéres et des lacs, atravers jungles et foréts et jusqu’au sommet des montagnes, partout s’étalait une flore abondante. _» Detout temps, les fleurs etles ()\) plantes ont nourri |’homme, elles ont soigné ses blessures et guéri ses maladies. Elles |’ont enchanté par leur beauté et leur parfum. Elles l’ont inquiété lorsqu’elles se fanaient et effrayélorsqu’elles disparaissaient. Au printemps, elles ont ramenél’espérance et