a Oa at alle ak --estime M. Fortier, - strement dala hauteur de ce qu'on «= Ll L) 20 NO.|33 ee 11 DECEMBRE 1987 oe Sol OMB! a O TEUR : ANDRE PIOLAT Le Soleil de Colombie: 3283 rue Main Vancouver, C:B. V5V 3M6 Canadu = Hebdomadatre : 30 cts Courrier 2éme classe Second Class Mail ste Rained Radiodiffusion Le Commissaire aux langues officielles appuie les demandes des minorités «La politique de la radiodiffu- sion doit favoriser l’offre d'un choix de radios et de télévisions dans les deux langues officielles 4 partout au Canada», a déclaré le commissaire aux Langues offi- engi M. D'Tberville Fortier, alors gail g s'adressait devant le Comité _ Par Patrice Audifax Donnant son point de vue sur les principales recommandations: contenues dans le Rapport du groupe de travail Sauvageau- Caplan sur la politique de la radiodiffusion, M. Fortier a rappelé quelle était importante pour toutes les communautés au Canada et particuliérement pour les Francophones _hors-Québec, isolés et culturellement vulnéra- bles. «Les Francophones hors du Québec ne dotvent pas se sentir les mal-aimés du systéme de radiodiffusion canadien», a-t-il soutenu. ~Conscient du réle vital de la radio et de la télévision pour toutes les communautés au pays, M. Fortier a insisté sur leur importance dans le renforcement de Jidentité ainsi que le développement culturel des minorités de langue officielle. A cet égard, M. Fortier a rappelé l'article 3 (g) de la Loi sur la radiodiffusion qui stipule que le service national de radiodiffusion doit contribuer au développement de l’unité natio- nale et constamment exprimer la réalité canadienne. «Pour ce faire», a-t-il dit, «une priorité plus grande devrait étre accor- dée, dans le cadre de la politique de radiodiffusion, a la program- mation locale et régionale dans la langue des minorités de langue officielle par Radio-Canada et le secteur communautaire». «Les stations communautatres», «seratent attend delles st on leur en donnait les moyens, st on les - soutenait éventuellement t par un | programme régulier de finance- Suite page 2 ‘ i t sur les | derierenene a rOteera Gala de la Chambre de commerce franco-colombienne et remise des bourses de la Fondation André Piolat Une soirée réussie C'est a occasion du gala de Noél de la Chambre de commerce franco-colombienne que la Fondation André Piolat a remis les bourses d'études et culturelles aux quatres lauréats sélectionnés cette année. I sagit de Michel Leroux, Michelle MacLaren et Alison Forsey pour les _ bourses d'études, et de Michel Blan- chard pour la bourse culturelle. C'est la guerre! C'est toujours le méme message : .-«Allo_ c'est Monsieur Truc, j’ ai pas regu mon journal! ou encore - «Allo, c’est Madame Chose, ou est passé mon Soleil»? Alors, je vais vous dire : nous sommes aussi imputssants que vous. Notre journal est toujours prét a Vheure. Le coupable s'appelle la Société canadienne des postes. A crotre que le courrier voyage a dos de mile! Avec nous, protestez! Ensem- ble, prenons la Bastille de l'inertie des postes! Et rappe- _lons @ cette société que sa raison d’étre est de se magner le train! Allons-z-enfants! Oncle Archibald Chaque lauréat a recu un. chéque de 500 dollars et un médaillon-souvenir a l'éffigie du Juge André Piolat. Les prix ont été remis par Christine Pallascio, présidente de la Chambre de commerce, et Jacques Baillaut, président-directeur du Soleil de Colombie, respectivement 4 Michel Leroux et Michelle MacLaren, seuls lauréats pré- sents a cette soirée. Pour sa part, la présidente de la Fondation, Nicole Legault, a félicité les quatre gagnants pour la qualité de leurs travaux et pour leur participation actuelle et future a lessor de la langue francaise en Colombie-Britannique. Donc félicitations aux quatre gagnants et notamment a la Fondation André Piolat qui, rappelons-le, a déja remis plus de 10 000 dollars en bourses depuis 1977. Quant au gala de Noél organisé par la Chambre de commerce, retenons tout simplement qu'il a ee — un chéque de 500 dollars et mddailon souvenir ATefigie du Suge André Piolat. Et ce aprés avoir repas! dégusté un fleurait un je ne sais quoi de particuliérement sympathique, un avant-goit dutemps des fétes, et’ cela, bien sar, grace au travail d’une équipe solide qui a veillé 4 ce que tout soit parfait. Et tout fut parfait! C'est tout dire! Soulignons enfin que ce gala nous aura permis de connaitre de nouveaux visages, notamment celui de Johanne Raynault, traductrice de son _ miétier, charmante de sa personne et, comme si cela ne suffisait pas, secrétaire 4 la Chambre de commerce depuis maintenant quelques mois. Bref, un beau bravo a Christine Pallascio et Nicole Legault qui, au nom et avec le soutien des membres de leur organisme, respectif ont, chacune a leur facon, remarquablement bien fait les choses... Patrice Audifax Conseil de la vie francaise en Amérique Napoléon Gareau recoit la médaille de la Fidélité Le Conseil de la vie francaise en a décerné la médaille a ie runes a& la culture era Spe ie eee culturel et soulignait anniversaire du