2, Le Soleil de Colombie, 10 Octobre 1975 2) GO, La nouvelle loi sur le dé- veloppement immobilier pour la ville de Vancouver a mis fin 4 tout espoir de guérir le mal chronique *-nt souffre le centre - vil- '.. En effet, elle permettra & la rigidite cadaverique, condition reconnaissable 4 ses tours sombres et ses mausolées de béton, de s’implanter. Au mieux, tout ce a quoi on peut s’atten .- dre, c’est que la tumeur - ~ soit localisée. Et pourtant deux années de di*cussion au Conseil mu- nicipal ont permis de croi- re que cette loi serait la panacée contre l’érection de nouveaux fleaux genre Pacific Center. On nous a- vait promis de contrdler la hauteur des édifices. Mais une limite de 450 pieds ne peut étre considérée comme une amélioration. Méme le Pacific Center n’atteint pas cette hau- teur. Il faut risquer la comparaison avec 1l’Empi- re State Building de New- York pour se sentir sou- lagé. C’est l’histoire du sourd muet qui se trouve trés chanceux den’étre pas aveugle du tout. On s’attendait méme a ce que cette loi modifie 1’as- pect™=du Centre-ville. En exigeant que tout dévelop- pement commercial in- clut' un secteur residen - tiel, la loi aurait pu cre- A L’INTENTION DES FILLES & GARCONS DE 10 A 18 ANS - Veux-tu avoir de nouveaux amis (es), Ecris-moi et Commentaire : Par Mala BALSHINE ¥ : Diffusé le 8 Octobre 1975 © CBUF-FM ,Vancouver SS &) © fe E : S) © & 2 5 bl ‘) .® A @ “a OF yf) . 9) Cy JE FRANCAISE EN COLOMBIE - BRITANIQUE ir) oS $ g ) A CONSEIL D’ADMINISTRATION 2 5 A. Piolat J. Baillaut N. Therrien 2 © = fe). 9 DIRECTEUR : André Piolat | SECRETAIRE: Marguerite Batut 5 Ry REDACTION : Marc Béliveaut ~ z oy ~e On FERHRRERHEN RHEE EERE REREEEEREREEEEERE ER S) ® PUBLIE PAR 6B S, LE SOLEIL DE COLUMBIE LTEE, a ee 3213 rue Cambie, Vancouver 9 S| Téléphone : 879-6924 = es 3 Courrier de deuxieme classe sous A 5 le numéro d’enregistrement 0046 ‘ww 2 rea 8 6 : a S) 3 LES HEBDOS DU CANADA a DCO CD CO CODCOD COCO COCO COCO COCONCO SD er un environnement ur- bain vivable, A fonctions multiples. Mais elle -n’a pas. apporté ce qu’elle promettait, un changement radical. El- le se contente d’offrir aux, développeurs certaines ré- compenses économiques pour stimuler les projets de développements mixtes. | La proposition de Darlene Marzari, quivoulait réser- ver 12% d’un immeuble commercial pour les _ = ap- partements résidentiels a été rejetée par le Conseil municipal. «an, Sans doute, le Gentre-vil- le de Vancouver gagnera peu avec la nouvelle loi, sinon quelques apparte - ments sairement chers. Mais si l’on veut croire que la loi portera quand méme quel- ques fruits, ¢a ne sera que dans la périphérie du Centre - de Robson. 4 Gastown, dans Hastings, pour ne nommer que quelques endroits encore ressuscitables. La, les développeurs n’ont pas en- core fait de dégats irré- parables. Il reste a voir si une loi qui encourage le développement a usages multiples, sans pour cela se faire respecter, sera suffisante pour créer un environnement urbain plus ‘dynamique que n’est le Centre-Ville actuellement. a es Se eee i \ ! H je~te ferai parvenir, dans quelques jours, -un formu laire avec tous les renseignements. Ce Club de Cor respondance a été fondé par un groupe de jeunes Ca- nadiens qui désirent connaftre de nouveaux amis A tra- P.S. - N’oublie pas d’écrire ton nom et ton adresse en LETTRES MOULEES. - Ecris a: ° Club de Correspondance Humanisme Canada - Ee le monde. | Casier Postal 38 c’est-a-dire . luxueux et néces- : éditorial La Regie des loyers- La Commission de la Régie des Loyers vient de terminer sa premiére année d’opération. Plus de 230,000 plaintes lui ont été présentées et 12,000 d’entre elles ont demandé des interventions singuli¢res. ‘Comme ‘le ‘soulignait’ le Commissaire. Barrie Clark, cette Regie est unique, puisqu’elle: reconnaft le. locataire comme contribuable dans la société et lui . garantie une sécurité de location.. Egalément, ‘‘la relation entre le locataire et le propriétaire est sanctiénnée par un contrat. Ce n’est qu’une entente entre les deux parties qui peut permettre des modifications de contrat’’. Cette Régie dispose de pouvoirs quasi-juridiques et peut, 4 travers ses fonc- tions, remplir le rdle d’enquéteur et de médiateur. Malgré la quantité surpre- nante de paintes ayant été adresséees a la Régie, M. Clark n’en demeure pas propriétaires et les locataires sont des gens rai- moins convaincu que ‘‘les sonnables’’. Une commission du genre posséde des avantages certains: les droits des deux parties sont définis clairement, Jes procédures ,sont accélérées et tou- tes sortes de plaintes peuvent étr du propriétaire se trouve amélioré: 1 e€ regues, Ainsi, le statut du locataire et Une année d’exercice, qui a vu' tant de . réclamations ~'20.000 par mois, dont 5% ont demandé des arbitrages :- devait:amener la’ Régie A présenter un mé- moire sur certaines améliorations. Ne serait-il pas intéressant d’entendre le point de vue de. la Commission sur la spéculation immobiliére a Vancouver. Est-ce que son mandat lui permet une pareille intervention. On sait que la construction des tours d’habitation pose de graves problémes. Les logements’ 4 un cot trés élevé excluent les personnes Agées en général, ‘et lés ‘famillés' moins‘ fortunéés. De plus, ‘quand une ville est envahie par de nouveaux ‘appartements qui posséedent 2, 3"ou 4 piéces au maximum, les fa- milles. moins nombreuses se voient confrontées 4 des trouvailles incertai- nes. quant a leur lieu de résidence. Ces gratte-ciels ne posent-ils pas de sa- vants embétements reliés aux encombrements des voies de circulation. Ce sont cependant tous ces priées. En conclusion, nous avons beaucoup 4 retirer de cette Régie des Loyers. citoyens qui ont a4 payer pour des solutions appro - - clipe L'expérience du . décloisonnement de l’institution judiciaire, via les > droits” | _légaux,. accordés: a, la régic, ‘est “plus que ' southaitablee Espérons.= poureckeg pe -bien-étre des encore plus ,.fermement; veront- des points ment a Vancouver. - FONDATION. ~, suite de la pagel... nes’, “*Fomdation d'Etude ' du Canada’’, _‘*La.Tech- * nologie’et le monde ~ rural, - canadien - francais’’,etc.. Ils en sont 4 leur 2é. phase dans laquelle les profes - seurs francophones ont 4 ‘créer du matériel didacti- que facile 4 utiliser,.a.- daptable, renouvelable, fa- cile 4 interpréter et 4 com- muniquer et distribuer 4° travers le Canada 4 tous les niveaux scolaires. Pour nous: ‘**Le Projet- Francophone - de 1’Ouest’’ est a sa premiére phase. Il débuta les 25, 26 et 27 septembre 1975 au Cen - tre Régional des. Soeurs Grises 4 Edmonton. Ce colloque' Franco - Ouest ’ groupait des représen: - tants des 4 provinces de: 1’OQuest. Pour nous, de laColom- bie: C’EST QUOI. . Dans les ca- dres de la FEC, ce projet est un regroupement de professeurs francophones de 1’Ouest canadien voulant développer un projet 4 ba- se ‘d’etudes canadiennes. C’EST. QUI... .Des: - pro- fesseurs francophones, soit de l’élementaire ou du secondaire, travaillant avec leurs homologues des 3 autres provinces de 1’Ou- est. — : eaten ebetrm +. eae es locataires @6t des’ propriétaires de -confiance; ° { £ Z f dans’ les yoons * tice! LE BUT: Cette structure fut développée pour cimen- © ter les relations, “des mi-” norités francophones _de- l’?Ouest par le.truchement de la production du maté - riel didactique, pédagogi - que utilisable en classe. SON CONTENU. . l’Ouest, le cadre 'd’orga- nisation de projet fut dé- veloppé par Jacques’ Mo- " ~ quin, Albert’ ‘ Bouffard, Barbara-Gauthier, Jean- Marie Taillefer et’ Ronald Bisson, en 1975, A Ottawa. Cette fin de semaine vit surgir 3 projets distincts mais aussi complémentai- res. ; a) Projet Pan-Canada, qui ' comprend échanges de pro- fesseurs,.éléves, maté - riaux didactiques. b) Projet Socio-Culturel. . Ou on aura a découvrir nos artistés, musiciens, chan- teurs, chorales, pionniers, conteurs d’histoires fran- cophones et ouestriens. - c) Projet ATLAS...compi- lant cartes géographiques démontrant les institutions francophones, les servi- ces, les parties agricoles, les statistiques, etc. . . . Malheureusement, la Co- ~lombie n’avait que 2 repré- sentants:° Mme Thérése Goodall et Soeur Thérése Michaud. Pour rendre ces projets-ci a terme et effi- caces, il nous faut des pro- fesseurs quipourront se- al } ek Nat toa is —QOKe T - 8 esnong ’ -pour ‘formations, avec le coordinateur FEC, rsa 2 = 5 ee E i c que la Régie s’impliqueta o> annéés'a venir.” Ainsi, les citoyensinetrous ‘par'rapport 4 la’situation globale du loge- Mare BELIVEAU joindre al’unoua ]’autre de ces projets. : Professeurs | francopho- nes, vcuillez faire parvenir votre nom 4a l’adresse sui- vante: M. Van den Borre Président du Comité Edu - cation FFC 5 3170 RUE Willow,:Vancou “ver Tél: 873-3581 - Pour de plus amples'in - communiquez pour l’Alberta & la Co. - lombie; M. Jacques Moquin 10.105, 109é. rue - 3é. Executive Bldg. Edmonton, Alta. Tél: Rés:465-6378 Bureau 427-3639 Soeur Thérése Michaud Alliance Francaise 23 OCTOBRE 1975 - 20h00 LE JOURNAL D’UN FOU - (Tiré de la nouvelle de N. Gogol) - } Avec Roger Coggio - - Réalisation: Roger COGGIO ‘Sous- Titres anglais - » wf ~~ ~ { ia “Pb CDSS ASS oer 5 ‘ . INS A hive BS" cle