SU LS FRONT DES pee oe

Le Congrés de 1'ACELF

ne ¢ a1. 2 “om a .
Deux delesués de ic Fédération
‘Canadienne francaise de la Coloxbie-.

Britamnique se sont inscrits au Con-
grés, de 1l'Association Canadienne
a'Edication de Langue Frengaise,
nu 4 a ices en aofit. Ce sont
sieurs Francois Coulombe et. Henri
céte, nennentivenent président et.
vice-président de notre association
provincizle.

Monsieur Frangois Coulombe. a

,eté élu membre du Conséil d'Adminis-
trationtde 1'ACELF pour 1969/70.

~ Cet été, le Congrés tenteit de
faire le point sur l'utilisstion des
grendes technicueés: de #informat} que
et des siaunications dans l'éduca-

ten

mes=

“Dian prochain, 1! LCSLF se réu-
nire & Moncton, Nouveau Urunswick.
dération Canadienne frangais
des vrovinces cde 1'Cuest.

La Fé

En méme temps gue L'ACELF, la
Fédération Canadienne frangaise de
1'Cuest, réunissant: les délégués des

quatre as ssociations ’ provinciales ca-

nadiennes frengaises, ‘lont celle de
le Colombie Sritennicue, tenait sa
propre rencontre annuelle.

Y ont représenté la Colombie,
messieurs F, Covlombe, H. Cété, Léo
Comeau et me Pierrette Paquette.

Cette réunion a été l'occasion
d'une consultation importante entre
les délégués et les représentants
de deux ministéres gouvernenenteaux
qui ont un réle clef deans
le développement < des 2
cophenes..en dehors du nuébec: le
Secrétariat c'itat féderal et le
itinist@re des Affaires Culturelles
cu Québec.

Une. politicue de coordination
des services respectifs de ces deux
agences.sst en perspective.

Les célégués se sont penchés

*

c

CalléAlT INES -PLANC.,

ISisS.

“4
‘une fagon ‘décisive sur les possibili-
és c'tun programme intensifié d'Alils-
ILN SCCILLE pour adéquatement Beingnnge
la i dae ation.

C'est, l'expérience france-manitobaine
en estte matiagre cui a servie deprinci-
pal moteur. En animation pocialss il

'ogit de permettre aux gens da ‘un milicu
particulier ou vivant dans. des conditions
données de mettre en cause, eux-mémes,

situation qui les confrente, en en
enant d'abord conscience, puis en dé-
nyrant les rei@des 2 apporter. C'est
contraire de la méthode qui consiste
Rite bo: les solutions populsires & une
napelle oligarchique, assez tra dition-
nosis chez nous.

I, Henri Cété représentera le Col-2rit.
le bureau exécutif dé la Fédération
oF, do l'Cuest. _ :

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3a) 9 ° ‘g
o

La Consultation chez

,

nous.
Clest le 21 juin que se tenzit la

deuxi@me journée a'études, organisée par
= Canadienne frangaise ce la

obtenir

,)

a Fédération

5
Colombie Britanatayes destinée &

un consensus, la part des responsa-
bles ces waivers organisnes et institu+*
tions, quant aux perspectives d'avenir

de la eellectierté canadienne frangaise
en: Colombie britannicue.

Le consensus fut atteint,. mais, ‘la
représentation ne fut pas ce guton’ au-
roit di espérer.

Il stagissait, au aspart, “d!inviter
ées orgenisations de base corzie la ‘paro-
isse; la caisse populaire, le conseil

langue frangaise des Chevaliers cde
Lomb, "A se demander si leur réle
tuel, dens la société cenadienne fran-
était conforme'* une politique
weique d'A£UTC-DETanMINaTic ‘N ‘collecti-
Fuis, en deuxiéme temps, cds faire

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Qoeoe8 a

ud

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-&

VCe

‘le bilan de ce qui est récupéreble éans

but de consolidation.

Ceux qui éteient présents ont rapide-
ment eécouvert la nouvelle Gimension de
leur réle. Espérons que les absents se
reprendarcnt. wie pes

un

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