ov Suppléementi0ecSaniversdire 30 P’'TITES MINUTES avec nous L’aide a la presse francophone minoritaire cr Au cours des trois derniers mois, vous avez lu dans ces pages des chroniques qui avaient pour titres: Les pro- grammes fédéraux, 30 P'TITES MINUTES, On parte francais, L'énergie a meilleur marché, Avis au con- sommateur et Un de nos parcs nationaux, Le contenu de ces chroniques a été colligé par nous, qui formons une équipe de la direction des Communica- tions, au Secrétariat d’Etat. Notre mandat était de participer au Programme d’aide a ja presse francophone minoritaire (du: Pro- gramme des groupes minoritaires de langue of- ficieHle), suivant l’entente intervenne Vhiver dernier © entre l'Association de la presse francophone hors Québee (APFHQ), et le Secrétariat d’Etat. L’entente conclue en janvier dernier entre |’APFHQ et le Secrétariat d’Etat nous engageait a publier dans votre journal, entre la mi-février et la fin d’avril, des textes de- vant occuper au total 55 pages. Par la méme entente, l’APFHQ recevait du Secrétariat d’Etat une subvention de $250 000, au titre du Programme d’aide a la presse francophone minoritaire, laquelle somme devait étre répartie a part égale entre les journaux mem- bres de 1’Association. Notre tachen’a pas été facile, mais le defi était passion- - nant: publier avec l’approbation de l’APFHQ une-série de chroniques visant a la fois.a promouvoir la langue et la culture francaises au Canada, tout en informant les lecteurs dans des domaines aussi divers que les program- tnes fédéraux, la consommation, la qualité de la langue - parlée, l’énergie et les parcs nationaux. P&R711 ; (Ces textes sont fournis par le Secretariat d'Etat) De notre coté, nous considérons avoir relevé le défi, non sans l’extraordinaire coopération de gens de ministéres, de gouvernements, de secteurs (parapublic et privé) et de niveaux hiérarchiques différents, malgré le fait qu’ils soient tous soumis a des priorités totalement étrangeéres a notre Programme, et qu’ils soient tous surchargés de travail. Vu l’apport exceptionnel de l’Office de la langue francaise du Québec dans la réalisation de ce Programme, nous ne pouvons passer sa participation sous silence. En plus de nous permettre de puiser‘dans ses publications pour preparer chaque semaine la chronique On parle francais, l’Office de la langue francaise du Québec nous a offert-ses services sous l’aspect technique (photos ou préts a photographier) et consultatif. Bien que de competence provinciale, l’Office de la langue francaise ne refuse pas d’étre consultée par des gens vivant hors du Québec. Elle procure une liste de ses publications a qui en fait la demande. Pour obtenir cette iiste — qui comprend les Ouvrages dont nous nous sommes inspirés — il suffit d’écrire a l'Office de la langue francaise du Québec, Ser- vice des publications, 700 est, boul. St-Cyrille, 2e étage, _ Québec GIR 5A9. Nous avons obtenu également une étroite collaboration de la part de Consommation et Corporations Canada, Energie, Mines et Ressources Canada, Parcs Canada, Emploi et Immigration Canada, Revenu Canada, le Secrétariat du Conseil du Trésor, le ministére des Com- munications (région du Centre), la Commission canadienne des droits de la personne, les Forces canadiennes, COJO 76, Bell Canada et Murray’s. Dans le cas des organismes fédéraux, de méme qu’en ce qui concerne les programmes du Secretariat d’Etat que FELICITATIONS ET LONGUE VIF au SO- LEIL DE COLOMBIE et son Directeur M. AN- DRE PIOLAT 4a l’ocea- sion du 10ieme Anniver- £ & : a. : “ es v saire du seul Journal de Langue Francaise en Co- > lombie Canadienne |[Bri- -| tannique]”. Jean-Pierre Desmarais Restaurant de La brasserie de 'Horloge souhaite un bon anniversaire au “Soleil de Colombie” 300 rue Water, nous avons mis en evidence, les adrésses ont généralement été mentionnées lors de la publication des articles. Nous avons de plus constaté avec intérét 1'en- thousiasme avec lequel les personnes que nous avons ap- procheées, ont accepté de se préter a une entrevue d'une trentaine de p’tites minutes. Vu le caractére inusité de ce Programme d'aide a la presse francophone minoritaire — qui fait appel a la par- ticipation d’une association indépendante telle l’‘APFHQ — nous aimerions connaitre votre opinion sur les articles que vous avez lus. Pour ce faire, vous étes invités a remplir le bon ci-dessous et a l’expédier au destinataire y indique. PROGRAMME D'AIDE ALA PRESSE Veuillez cocher la case qui correspond a votre apprécia- tion: | Excellent Bon Mauvais | Les programmes fédéraux 30 P’TITES MINUTES On parle francais L’énergie a meilleur marché | Avis au consommateur | Unde nos parcs nationaux et envoyer ce bona PROGRAMME D'AIDE ALA PRESSE FRANCOPHONE MINORITAIRE Secretariat d’Etat A l’attention de Guy O’Bomsawin 66, rue Slater — Piéce 2200-C Ottawa (Ont.) K1A 0M5 Au Centre Culturel Colombien: t61.:685-4835 Vancouver L°EX POSITION DU DIXTEME ANNIVERSAIRE | | Félicitations Heureux 10e anniversaire Longue vie au Les Francophones de Nanaimo nouvelle adresse : 75 rue Front, Nanaimo, C.B. \ Soleil de Colombie” Le Cercle Francais de Coquitlam désire présenter ses souhaits de succésau “Soleil de Colom bie” VOR 5H9 Nos petites annonces sont lues... L’exposition qui s’est tenue, du 10 au 28 avril, au Centre Culturel Colombien, a Vancouver, a attiré bien des Francophones et Francophiles. Les visiteurs ont pu suivre lévolution technique du journal, depuis cette fameuse machine a écrire au clavier ultra-modernes, acquises a la fin del’année 1976. Les numéros exposés ont permis de faire la rétrospective des grands événements qui ont marqué la vie du journal: l'incendie de décembre 1970, “I'éclipse” de janvier a mai 1973, ainsi que ceux qui ont jalonné Vactualité franco-colombienne depuis dix ans: le premier anniversaire de CBUF-FM, les Francofétes, les congrés de la Fédéra- tion des Franco-Colombiens, la création de CBUFT, le dixieme anniversaire de CBUF-FM. anglais, jusqu'aux machines a composer | Un “vin et fromage™ a couronné les célebrations de ce dixieme anniversaire. Comme il se devait. celui-ci a eu lieu au Centre Culturel Colombien. permettant a ceux qui n’avaient pu se libérer jusque-la, de faire le tour de l'exposition. De nombreuses personnalités dela communaute franco-colombienne avaient elé conviées a cette soirée, mais a la surprise et ala deception de tous. M. André Piolat manquait a l'appel. Une reunion tres importante de l’Association de la PresSe Francophone Hors Quebee avait lieu le méme jour a Ottawa et le fondateur du “Soleil” avait da choisir entre le coeur et la raison. Bien que “le coeur ait des raisons que la raison ne connait pas”, M. Piolat avait-decide de se rendre a cette réunion et prendre en charge, une fois de plus, les intéréts du journal.