ane Sass Pour la qualité de vie des Canadiens COMMERCE INTERNATIONAL Fortes exportations des produits agroalimentaires de la C.-B. Les exportations de produits agroalimentaires canadiens se diri- gent vers des niveaux record. Pour le premier semestre de 1996, elles ont augmenté de 14 pour cent par rapport 4 la méme période lan dernier. La Colombie-Britannique enregistre des résultats similaires. Son industrie agroalimentaire a exporté a l’étranger pour 388 millions $ de produits en juin, pour 472 millions $ en juillet et pour 548 millions $ en aodt. La Direction générale des services a l'industrie et aux marchés (DGSIM) d’Agriculture et Agroalimentaire Canada est préte a vous aider a percer le marché des exportations ou 4 améliorer vos résultats financiers si vous exportez déja. Par l’entremise de son Service d’exportation agroalimentaire — lequel est offert en partenariat avec le AGRICULTURE DURABLE de la vallée du Fraser Le Centre de recherches agroalimentaires du Pacifique (Agassiz) - se penche sur certaines régions de la vallée du Fraser, ou les concentrations élevées de fumier sont problématiques. En fait, les chercheurs sont en train d’étudier l’incidence d’une abon- dance d’azote — présent dans le fumier de bovin, de porc et de volaille — sur les eaux souterraines. Des scientifiques du Centre d’Agassiz surveillent actuellement l’aquifére d’Abbotsford pour mesurer la présence de nitrates, tout en essayant de réduire les autres risques de contamination par les nitrates grace 4 une meilleure utilisation de l’azote. Voici quelques méthodes a l'étude : modification des aliments de la volaille et des vaches laitiéres afin de réduire l’excrétion d’azote; amélioration de |’épandage du purin sur les graminées herbagéres; et réalisation de tests sur la INNOVATION ministére des Affaires étrangéres et du Commerce international — nous pouvons répondre a vos questions et vous aider a régler vos problémes. Nos employés peuvent fournir des données actuelles et historiques sur le commerce national et international, des renseignements sur la réglementation applicable, les noms de personnes-ressources a |’étranger, de la formation... et plus encore. Vous pouvez profiter de leurs compétences et de leur expérience dans divers domaines. Pour plus de renseignements : Margaret Bancroft, Centre de commercialisation agroalimentaire Canada-C.-B., téléphone : (604) 666-1065, télécopieur : (604) 666-3977 Gestion du fumier pour préserver les eaux souterraines teneur en azote du sol pouvant aider 4 déterminer la quantité d’engrais azoté dont les champs de mais et de framboises ont besoin. Enfin, on s’affaire a éloigner l’engrais de volaille des eaux souterraines sensibles. Il est transformé en granules des- tinées aux fertilisants organiques. On songe aussi a l’employer comme amendement du sol des cultures légumiéres et spéciales ainsi que dans les sols du centre de la C.-B. Pour plus de renseignements : Bernie Zebarth, Centre de recherches agroalimentaires du Pacifique, Summerland, téléphone : (250) 494-0755, télécopieur : (250) 494-0755, courrier électronique : zebarthb@em.agr:ca Lensilage d’orge est aussi efficace que le mais Nouvelles encourageantes pour les producteurs de bovin : lorge peut servir d’aliment viable pour le bétail. Les travaux de scientifiques du ranch de recherches de Kamloops d’Agriculture et Agroalimentaire Canada montrent que la culture intercalaire de l’orge et du ray-grass produit un ensilage & haute teneur en protéines qui est aussi nutritif que l’ensilage de mais. Dune durée de deux ans, ces expériences ont porté sur un groupe de 72 veaux pesant en moyenne 288 kg. Ceux-ci étaient nourris d’un des quatre mélanges suivants : ensilage d’orge ou de mais avec de l’ensilage de luzerne ou de ray-grass. Aprés une semi- finition a l’ensilage, les bouvillons ont été soumis a un régime composé de 30 pour cent d’orge et de 70 pour cent d’ensilage d’orge ou de mais. Pendant la premiére année de |’étude, les bovins nourris du mélange d’orge et de ray-grass ont, en SALUBRITE DES ALIMENTS moyenne, engraissé davantage que ceux alimentés au mais. Lopposé s’est produit la deuxiéme année, alors que le mais a donné des résultats légerement meilleurs que les mélanges d’orge. Toutefois, sur deux ans — et malgré les différences dans la prise de poids — le poids en carcasse et le gras super- ficiel des animaux nourris d’ensilage de mais et de ray-grass étaient similaires 4 ceux des animaux nourris d’ensilage d’orge et de ray-grass. Ces résultats s’avérent trés importants, puisqu’il est facile de cultiver l’orge prés de tous les grands parcs d’engraissement de la C.-B. Pour plus de renseignements : Zahir Mir, Centre de recherches de Lethbridge, tél. : (403) 327-4591 L’Agence canadienne d’inspection des aliments assurera la releve Le Canada posséde l’un des meilleurs systémes d’inspection des aliments au monde qui jouit d’une excellente réputation internationale. De plus, les consommateurs canadiens estiment que les aliments qu’ils achétent sont salubres, sains et nutritifs. Fort de cette renommée, le gouvernement du Canada a décidé de regrouper tous les programmes fédéraux d’inspection des aliments, de santé des animaux et de protection des végétaux sous l’Agence canadienne d’inspection des aliments, laquelle sera opérationnelle en 1997. LAgence, qui relévera du ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, améliorera les systemes de salubrité des aliments en intégrant les services d’inspection et de quarantaine & ceux du ministére de la Santé et du minis- tere des Péches et des Océans. Pour les consommateurs, cela signifie la mise en place d’un guichet unique ou ils pourront be wee Agriculture et Agriculture and Agroalimentaire Canada Agri-Food Canada Consultez notre site Internet : www.agri.ca obtenir des réponses a leurs questions et a leurs préoccupations sur les aliments. De leur cété, les entreprises canadiennes con- tinueront d’accéder aux marchés internationaux et conserveront leur avantage concurrentiel nécessaire a la conquéte de nou- veaux débouchés. Les importateurs de produits alimentaires feront aussi affaire avec un seul organisme fédéral pour !’ins- ° pection des.importations. En somme, ce guichet unique favorise _ une utilisation plus efficace des fonds publics. Le regroupement accélérera l’harmonisation des normes entre le gouvernement fédéral, les provinces et les municipalités. Pour plus de renseignements, composer le 1-800-856-7272; malentendants le 1-800-465-7735