~ egistrement de 2me cht ge. OO: Vol. 7 No 36 Vancouver Pub} Pericdichi 750 Burrard St. BC 4 i = V6Z_ 1x5 endredi 17 Janvier 1975 ae Library Section 15 mai- 75 : we Si la neige fait le désespoir de nos automobilistes . ‘elle est un vraie délice pour les sportifs. ; s Au revoir- A bientot! par Serge Fréchette- En plus d’étre aux prises avec le Conseil Municipal pour obtenir leur permis de rénovation. : En plus d’étre en entente avec le Secrétariat d’Etat en ce qai concerne l’aide financiére promise. Le Centre-Socio Culturel Colombien vient d’étre -frauder de quelques $5000. et de tous les livres de comptabilité par son gé- rant et comptable. Mardi soir, M. Louis Ha- tin, M. André Bernou et Serge Fréchette ont eu la preuve que M. Serge Vi- gneux, gérant du Centre Socio-Culturel Colombien a quitté la Province de la Colombie - Britannique pour le Mexique sans au- cun avis , bien entendu. M. Serge Vigneux laisse dans le vide son frére Jean _ qui fut tout aussi, sinon plus surpris de lire la lettre dans laquelle M. Vigneux écrivait. ‘*Cher Jean, Comme les choses ne vont pas trés bien pour moi, j’ai décidé d’aller au sud jus- . qu’en septembre 1975. Je-serai probablement au Mexique pour un bout de temps. - Je te souhaite tout le bon heur possible avec Denyse et j’espére que je ne te lais- se pas trop de MES problé- mes. Sincérement, Serge." Bien entendu, toutes les procédures ‘‘normales’’ furent prises. M. Vigneux est maintenant un homme recherche pour fraude et vol sans compter les petites offenses que la cour peut trouver comme abus de confiance, mani- pulation, etc. . M. Louis Hatin, président du C.S.C.C. , nous rappor- tait que c’était incompreé- hensible qu’un homme aus- s i sérieux, efficace dans son travail, aussi avenant, possédant tant de qualités, puisse étre l’auteur d’un acte si banal.’’ Les directeurs ne conr= prennent absolument pas ce qui.a bien pu motiver Vigneux A commettre une” telle idiotie. . De toute facon, l’envergu- re du probléme n’arréce pas 14. Comment faire un rapport financier sans li- vres, recus. Le Centre a un nouveau - sans factures, sans — défi A relever car Sa sur-__ vivance est primordiale pour une communauté com- me la ndtre et surtout pour étre prét a fournir une réserve de nouveaux ta- lents colombiens 4 la té- lévision francaise qui s’en vient pour septembre 1975. Il est certain que le Centre aura besoins de bons admi- nistrateurs et d’aide finan- ciére pour survivre. Espérons que c’est le der- nier coup que le Centre Socio-Culturel endosse. - Une étude linguistique OTTAWA - Le Conseil du . Trésor a chargé M. Gilles Bibeau, spécialiste en lin- - guistique et didactique de — Vuniversité de Montréal, de rédiger un rapport sur les programmes linguisti- ques du gouvernement fé- déral. Cette étude, qui devraétre achevée en septembre 1975 doit porter sur les raisons pour lesquelles certaines personnes se révélent in- capables d’apprendre une deuxiéme langue. Les ré- sultats serviront 4 amé- liorer le programme de bilinguisme du gouverne- ment fédéral au sein de la _fonction publique. l e par André Piolat VANCOUVER - Le YMCA vient de Jancer une cam- pagne de souscription a- vec un. objectif de $2 millions. Cet argent servira a dé- frayer les cofts- de cons- truction d’un centre com- munautaire familial sur un terrain de deux acres déja acquis dans__—‘l’ancien champs de golf Langara, sur la 49e avenue, 4l’ouest du campus du Vancouver City College. Depuis sa fondation en Angleterre, il y a_plus d’un siécle, par Sir G. Williams, le YMCA (Young Men Christian Association) a toujours oeuvré parmi les jeunes en leur procu- rant des loisirs dans une ambiance chrétienne. Ses succés lui permirent de déborder ses frontiéres et en quelques années, des centres YMCA surgirent 4 » travers le Commonwealth, avec toujours les mémes buts, loisirs et moralité chrétienne. Cette ambiance chré- tienne, qui au premier abord, aurait pu @étre un obstacle au succés du YMCA dans des pays 4 religions et coutumes dif- férentes, grace 4 la lar- geur d’esprit des diri- geants, qui surent mettre l’accent sur le but commun = de toutes les religions - “amour du prochain’’ - fut la cause de ses succes. de$2millions — -de loisirs - natation, gym- -. rences, de récréations, etc par l’age, paralysie par- = ee A Vancouver, 4soncentre a de la rue Burrard, le YMCA 5a a eu jusqu‘a 1800 enfants inscrits 4 ses programmes nastique, camp d’été, etc. Devant la _ construction d’édifices 4 multi-étages entrafnant la deémolition des maisons familiales, le déménagement des fa- — milles et la fermeture de . deux écoles, dans la par- 2s tie de Vancouver desservie | par le centre de la rue g Burrard, l’exécutifduYM- _ “J CA se mit Aa la recher- < che- de Jlendroit Ie plus propice pour laconstruc- = tion d’un centre additionnel = qui desservirait jeunes et — 4 adultes. Dont l’achat du terrain A Langara. Ce projet, en plus des gymnases, salles de confé- _ prévoit une piscine unique en son genre. Cette pis- cine sera équipée pour en permettre l’usage aux per- rs sonnes handicapées, soit — tielle, etc.~ Le succés de cette cam- pagne dépend de tous. L’ac- tivité sociale et sportive: est le meilleur reméde contre la délinquance juvé- — nile. Si vous voulez par- ticiper, peu. importe le montant de votre obole, envoyez votre chéque a YMCA Capital Fund 955 Burrard: Vancouver, B.C. Mise en garde aux. investisseurs arabes Hovari BOUMEDIENNE /ALGER -. Le président _.. Houari Boumediene ainvi- tion nécessaire. ._ ‘trdler nos propres res- té les pays arabes en voie Ne de développement Ane pas investir leurs capitauxsaux _ Etats-Unis ou en Europe. Ce serait risquer une dé- pendance plus dangereuse — encore que sous le colo- — nialisme, a-t-il déclaré notamment dans une inter- . view au quotidien mexicain — Excelsior. Trop decontra- _— dictions nous séparent des — pays industrialisés, a pré~ cisé le président du Con- seil de la révolution. No- tre politique doit consis- ter avant tout 4 investir dans nos propres pays, le | seul moyenefficacedecon- sources consiste dans la nationalisation de toutes — les entreprises, une fois acquise la capacité deges- _