on ce ne voquer dans V’ensemble de la popu- -Frangois Nantel : « Québec se sépare du reste du -cripuion Coquitlam. « Depuis 1993, Election partielle Sous le sceau d’une nouvelle unité canadienne Crest présentement Vheure de Vélection — partielle — dans la circonscription de Port Moody- Coquitlam, En tout, huit candidats sc feront une lutte tres serrée ici le 30 mars prochain, afin d’avoir leur mot & dire dans la politique canadienne. candidat —indé- pendant, propose a ses électeurs et Frangois Nantel, électrices un programme axé sur une nouvelle unité canadienne. ue Von soit au Québec, — en Colombie- * Britannique ou au Manitoba, il est certain que l’on partage une méme ce qui concerne la politique nationale vision en actuelle on a soif de changements. La_ structure actuelle du gouvernement fédéral n’est pas sans pro- & Ottawa, j’al commencé a m’intéresser de plus prés & la politique nationale. Selon mot, il fallait ouver une solution aux problémes tionnels. Démonter la structure du fédéral, telle qu’elle existe constitu- .de nos jours et en construire une nouvelle, en tenant compte de la diversité du Canada, c’est la seule solution envisa- geable », nous dit M. Nantel. LE PLAN C « Rappelons que le plan A suggérait un fédéralisme -renouvelé ; programme qui de toute évidence ne marche pas, surtout au Québec, et avance & pas de tortue. Le plan B, c’est celui que l’on garde sur la tablette dans _ /’éventuelle séparation du Québec. Le but premier du plan C, que je des mécontements lation. Comme le mentionne Si le des Canada, il y aura changements constituuonnels. Si le Québec reste au Canada, ily aura aussi inévitablement des changements —constitu- -tionnels. Au lieu @avoir a’ réagir, il faut agir. > Crest avec Vidée de proposer une réforme de la structure [édérale en place, que Frangois Nantel, armé de son plan C, a décidé de se _présenter en tant que candidat indépendant pour Vélection partielle circons- Moody- dans la de Port lorsque Lucien Bouchard est devenu le chef de opposition propose, c’est de démanteler la structure politique actuelle en implantant une gestion qui prend & coeur les affaires des Canadiens. Quand je pense Canada, j’inclus autant les provinces de ’Quest que le Québec. L’objectif que je garde en téte c’est d@’abord Punité canadienne. A cet objecti!’ vient se rattacher certains changements comme la réforme de Vinstitution bancaire canadienne, — la révision de la Charte des droits et libertés, qui __affecte évidemment notre systéme nouvelle _ juridique, et la redistribution aux territoires », des pouvoirs alloués provinces — et ajoute-C-il. Pour cette élection par- tielle on voit défiler de gros canons qui ont derriére eux le modéle préétabli de leurs partis. C’est notamment le cas avec Jim Cunningham du Parti réformiste, John Keryluk du Nouveau Parti démocratique et Lou Sekora du Parti libéral du Canada. Pour Francois Nantel, il n’était pas question de joindre un parti déja existant. « Je ne crois pas aux partis actuels. Méme si les candidats qui se présentent aujourd hui pour cette élection préchent quils feront une différence & Ottawa. II faudrait arréter de prendre les citoyens pour des imbéciles. Dans une structure aussi rigide qu’un parti politique bien établi a la colline parlementaire, comme le Parti réformiste ou le Parti libéral, quels pouvoirs aura un député ou une députée de Port Moody ? », nous lance-t-il. « Le pays est au peuple, pas au gouvernement », ajoute Frangois Nantel. I] poursuit en disant qu’& Ottawa on pré- conise la guerre froide, « Pas étonnant quand on sait que la plupart des ministres_ et députés sont des avocats. Les avocats tirent parti des conflits, ils ne les réglent pas. I faut cesser de s’entredéchirer. C’est dans Punité que l’on trouvera la future politique du Canada », mentionne-til. Avec le tableau des deux derniéres élections, qui démon- tre que désormais POntario qui fait basculer la balance, un nouveau danger c’est plane sur Punité canadienne. Selon M. Nantel, si Jean Charest quitte la scéne politique nationale, Preston Manning a de fortes chances conquérir — |’électorat ontarien. Si c’est le cas, on peut dire adieu au Canada. C’est ailleurs sGrement le souhait des souverainistes, qui ver- raient tomber avec un Parti réformiste au pouvoir les derniéres résistances pour un Québec souverain. — de Mais le plan du candidat indépendant Francois Nantel est trés précis : avoir un Canada uni. « I! faut réaliser que le temps passe trés vite. Cest a prévoir quil y aura trés bientét un troisigme réfé- rendum. Il faut étre préts et avoir des plans concrets a mettre sur la table. En huit heures et demie, jai obtenu 134 signatures pour mon inscription en tant que can- Le vendredi 20 mars 1998 5 didat indépendant. Méme si les gens choisissent de ne pas voter pour moi, ils veulent m’entendre parce que j’ai un plan clair et précis et que je crois 4 l’unité canadienne. Si les électeurs de Colombie-Britannique envoient un Québécois & Ottawa, pas besoin de lire entre les lignes ; ca en dit long sur Jlunité canadienne », conclut Francois Nantel. Pour avoir plus d’infor- mation sur l’élection partielle fédérale de Port Moody- Coquitlam, vous pouvez rejoindre Francois Nantel au : 523-1679. Vous pouvez également aller visiter le site Internet suivant : www.elections.ca JOHANNE CORDEAU 2730, Commerciaf-Drive, Bureau 303 Vancouver: Tél. : (604) 876-5430 .-B. VSN 4C5 MEDIUM DE REPUTATION INTERNATIONALE HYPNOTHERAPEUTE ASTROTAROLOGUE PARAPSYCHOLOGUE Zé SUR RENDEZ-VOUS SEULEMENT 69. VISITE A DOMICILE. tee 0 2 ee ee