8 Le Soleil de Colombie, vendredi ler juin 1979 Tout est prévu On en a parlé hier On en parle aujourd’hui On en parlera demain da- vantage La réunion du “Comité dorganisation de la Franco- féte” s’est tenue vendredi dernier dans les locaux de la “Caisse Populaire” de la rue Brunette 4 Maillardville. — Tout y a été discuté en détail. — Rien n’y a été oublié, de la décoration des chars du défi- lé du vendredi soir, jus- qu’aux milliers de fourchet- tes et de cuilléres néces- saires pour les différents buffets, en passant par le programme artistique. Tout a été envisagé. — Savez-vous que plus de 750 assiettes seront néces- saires pour le “Biftek Barbe- cue” ot les amateurs se leé- cheront les doigts. — Plus de 2,000 verres de toutes sortes pour faire face a la soif générale. — Plus de 700 tasses a café sont déja prétes pour les consommateurs . [Note: je me suis laissé dire que l'on cherchait des volon- taires pour laver la vaissel- le.] — Ca travaillait ferme ven- dredi dernier et une bonne partie de la nuit s’était écou- lée quand la réunion se ter- mina. — La tache est lourde, mais faisons confiance, avec qua- tre années d’expérience, nous avons affaire a une équipe de spécialistes. On est de la Féte a la Francoféte Mais CHUT!! Ne révélons pas tous les secrets... On vous en dira plus la semaine prochaine. Restez a l’écoute. L’éducation au Canada D’aprés de récents indica- teurs de |’éducation, la bais- se des effectifs scolaires amorcée au début des an- nées 70 se poursuit. Elle refléte le passage de la génération issue de I’ex- plosion démographique au- dela des Ages de fréquen- tation scolaire aux niveaux primaire et secondaire. L’éducation n’est plus, de- puis 1972, le principal élé- ment des dépenses gouver- nementales; éclipsée par le bien-€tre social 4 ce chapi- tre, elle ne représentait plus que 7.9% du Produit natio- nal brut en 1976, contre 9.0% en 1970. Les dépenses totales au chapitre de |’éducation ont néanmoins continué 4 croitre et ont dépassé $15 milliards en 1976, ce qui représente une hausse de 226% en dix ans. Pendant la méme période, les effectifs 4 tous les ni- veaux n’ont augmenté que de 7.9%. En 1979 Le Spectacle d’ouverture une premiere! !! Nous ne craignons pas de faire confiance aux artistes de la Colombie-Britannique. “Onest estdela féte",vendredi le 22 juin 4 20h30 pour le spectacle d’ouverture , qui regroupera des musiciens,chanteurs et danseurs de chez nous.C’est dne pas manquer! Pour plus d‘information:Germain Fortier:525-3331 “La Francoféte,c’est notre féte”’ les 22-23-24 juin 1979 Au Cenire sportif de Coquitlam Aussi les dépenses annuel- les moyennes par étudiant a temps plein sont-elles pas- sées de $690 a $2,334. Les effectifs totaux a temps plein ont atteint un sommet de 6,363,900 en 1970-71, pourretomber a 5,988,600 en 1977-78. Cette baisse globale est imputa- ble a une diminution de 8.7% des effectifs aux niveaux primaire et secondaire. Les effectifs des établis- sements non universitaires se sont accrus de 13,000 pour passer de 227,200 en 1976-77 a 240,000 en 1977-78. La forte progression constatée au Québec (11,000 étudiants) résulte de changements structurels apportés au sys- téme d’enseignement pri- maire et secondaire de la province il y a quelques an- nées; ces modifications ont fait qu’un nombre excep- tionnellement élevé de dipl6- més issus des écoles secon- daires au printemps de 1977 sont entrés au CEGEP a l'automne de 1977. Pendant la méme période, les effectifs universitaires ‘ont diminué de 0.6% pas- sant de 376,500 4 374,200. Chez les 18-24 ans, la pro-, portion d’étudiants de ni- veau universitaire a baissé; de 12,4% en 1976-77, elle est tombée a 12.0% en 1977-78. Le nombre d’enseignants ~ a temps plein est passé de 270,600 en 1967-68 a 323,500 en 1977-78. Le nombre d’en- + seignants des niveaux pri- maire et secondaire, gui était de 278,300 personnes “en 1972-73, son point le plus élevé, est tombé a 272,000 en 1977-78. \ Au niveau post-secondaire cependant, le nombre d’en- seignants s’est aceru pour passer de 26,300 a 51,600 en raison de l’augmentation des effectifs. . Les établissements non universitaires ont décerné 54,060 diplémes en 1976-77, chiffre plus de deux fois supérieur a celui de 1966-67. Le nombre de baccalau- réats et de premiers grades universitaires décernés par les universités a augmenté de 102% de 1966-67 a. 1976-77 et le nombre de maitrises et de doctorats décernés a plus que double. La sixiéme édition annuel- le de L’éducation au Canada résume les principales sta- tistiques de l'éducation pour le Canada et les provinces. On y trouve des séries chronologiques portant sur les principales variables a partir de 1966-67. Des venti- lations plus détaillées des données courantes sont pré- sentées dans des chapitres distincts traitant des établis- sements, des effectifs, des diplémés, des enseignants et des finances. (Statistique Canada). “NAMBIE — A Keetman- \shoop, en Namibie, Willem Vana Wyk a été trouvé coupable d’avoir mordu a l’oreille Moses Minnie. Le juge n’a pas hésité un seul instant 4 rendre son verdict, devant la preuve accablante, la victime s’étant présentée devant le tribunal avec Yoreillé dans sa poche... MONTANA — A Joplin, ° dans le Montana, deux per- sonnes, James et Janis Lewis ont été accusées si- multanément de négligence puisque toutes deux “condui- saient” la méme voiture: l'épouse derriére le volant et le mari a coté. Le mal- heur, c’est qu’ils n’étaient pas d’accord sur la direc- - tion a suivre et se sont arrétés dans la vitrine d'une épicerie... En 1979 * . «On est de la féte» Le Bal de la Francoféte -enest une raison! Amener votre compagnie danser sous la mélodie de l'orchestre de''Brick Anderson'( 12 musiciens), de 19h00 4 1h00,samedi le 23 juin “La Francoféte,c’est notre féte” / les 22-23-24 juin 1979 Au Centre sportif de Coquitlam 633 ave.Poirier ,Coquitlam 633 ave.Poirier, Coquitlam. Sager ae cae we leh Sak)