F 6— _Le Soleil de Colombie, vendredi 16 mars 1984 i+ Conseil de la radioditfusion et des Canadian Radio-television and Tod c ; Avis public Déclaration relative a la pu- blication par les titulaires de licences de Télévision Payante d'un code de l'industrie aux fins des normes et pratiques sur la tion de Télé- vision Payante. Dans l’avis public CRTC 1983—16 du 26 1983 concernant les émis- sions de télévision payante, le Conseil a attiré l’attention des titulaires de licences de télé- vision payante sur leurs res- bilités, aux termes de la i: sar la radiodiffusion, rela- tivement a la programma- tion distribuée par leurs entreprises de radiodiffusion. En outre, dans cet avis, le Conseil s’est engagé a exa- miner’ son projet de Régle- ment sur la télévision payante compte tenu des préoccupa- tions soulevées par le Groupe de travail sur les stéréoty- pes sexistes et le grand public au sujet de exploitation sexuelle et la présentation de scénes de violence a |’égard des femmes. Cette inquiétude a fait l'objet de plus de 8 000 plaintes qu’ont recues le Conseil et le ministre des Communications, provenant des membres du public et de divers groupes et organis- " mes préoccupés par la présen- tation et la nature de cer- - taines émissions de télévision | payante. En réponse a ces ara ations, le Conseil a annoncé dans l'avis public CRTC 1983—16 qu'il avait l'intention de convoquer les titulaires de réseaux de télé- vision payante a une réunion = aura pour but d’élaborer normes volontaires de l'industrie sur les émissions Fevpontes pour adultes. Le seil désirera étudier, entre autres, dans ce contex- te: l'heure de diffusion, la possibilité d’éviter la repré- sentation de_ |’exploitation sexuelle et l’attention qui doit €tre aux questions de bon Sega de qualité en matiére de ation. Conformément a Travis public CRTC 1983—16, le personnel du Conseil a tenu un certain nombre de réunions et de discussions avec les titulaires de licences de télévision ayante en 1983 et au début ee gracias: aux jets des titulaires concer- aan l’élaboration de normes : Ns arene de eae = programmation le la ti vision payante. Le 15 fév. 1984, le Conseil a regu un document intitulé «Normes et pratiques: en matiére de pro- grammation de_ télévision te.» eo Pour l'instant, le souhaite accuser réception du code élaboré par —Vindustrie de la télévision _ payante et invite les parties tntéressées a faire part de leurs observations directe- _ ment aux titulaires de licences dé télévision payante, en leur _ écrivant aux a Ss men- tionnées a l’Annexe II du présent avis. Le Conseil exi- ‘ que les titulaires de de télévision payante lui remettent, dans les 60 jours suivants la date du _ présent avis, un rapport com- plet relativement aux obser- vations et préoccupations recues al’ du code volon- taire ainsi que la réponse de la titulaire, et il déterminera par ila suite s'il y a lieu de yrendre d‘autres mesures. ires de pepace Gee: vision payante: rge Spra- cklin, président, Aim Satellite ing Corp, 900 ouest, rue Georgia, piéce 108, Van- | couver (C.B.). Q. Od puis-je_consulter les documents du C.R.T.C.? -R. La «Gazette du Canada», lére partie, contient le texte oO des documents du G.R.T.C., et dans la section référence des _ bibliothéques : ub iques ou les acheter & -Eunité chez les libraires dépo- sitaires des publications gou- = ntales. Un peut goat dre connaissance . des Réeisions du C.R.T.C. concer- | hanteun titulaire de licence 4 ses bureaux, durant les heu- res normales d'affaires. Des copies des documents publics du C.R.T.C. sont aussi dis- ponibles en téléphonant au Conseil 4:Ottawa - Hull (819) 997-0313, et 4 Vancouver (604) 666-2111. (PN-50). Canada i+ Conseil de la radioditfusion et des Canadian Radio-television and pastes Scien Ts : Avis public Modification du Réglement sur la radiodiffusion (M.F.) — Augmentation de la durée maximale de publicité pour les stations de radio M.F. exploi- tées par des titulaires de licences M.F. jumelées.- Dans Tavis public CRTC 1983—215 du 20 sept. 1983, le Conseil annoncait son intention de modifier son Réglement sur la radiodiffusion (M.F.) et invi- tait les parties intéressées a formuler des observations. Le Conseil proposait de permet- tre aux titulaires de licences M.F. jumelées d’augmenter la durée maximale quotidienne des messages commerciaux, de 120 a 150 minutes, soit une durée égale a celle permise aux titulaires de licences M.F. indépendantes. Bien que tous les mémoires recus en réponse a cet avis public étaient favo- rables a la modification propo- sée, certains ont proposé que d'autres modifications soient apportées au réglement sur le M. . Afin d’évaluer de facon satisfaisante tout autre chan- gement proposé, le Conseil estime quil conviendrait mieux de discuter de ces pry sitions dans le cadre de a Phase II de l’Examen de la radio. Par conséquent, le 23. jan 1984, sur la recomman- dation du comité de direction, le Conseil a approuvé la modi- fication suivante au Régle- ment sur la radiodiffusion (M.F.), laquelle a été publiée dans la Gazette du. Canada, Partie II, le 8 fév 1984 (DORS - ae See Be Le paragraphe 8(1) du lement sur la radiodiffusion (M.F.) est abrogé et remplacé par ce qui suit : «8. (1) Entre six heures et minuit chaque jour, il est interdit a une station exploi- tée par le titulaire d'une licence M.F. jumelée ou par le titulaire d’une licence M.F. indépendante de diffuser des messages commerciaux dont la durée totale excéde 150 minutes.» De l’avis du Conseil, une augmentation des messa- S commerciaux d'une titu- aire d’une licence M.F. jume- lée jusqu’a la nouvelle durée maximale permise en vertu de la présente modification, ne constituera pas une infraction de la condition actuelle rela- tive 4 sa promesse de réali- sation. (PN-48). Canada tt it a th et Courrier des lecteurs.. » Suite de la page 2 pas continuer 4 opérer selon des directives d'un agent de développement dont les motifs nous échappent et qui ne prend pas en compte les objectifs et désirs des Franco- colombiens. Loriginal de cette lettre a été signé par : Vincent Pigeon (C.C.C.), Jeanne Baillaut (C.C.C.), André Boudreau Suzanne Horie (Comité de parents de Vancouver) , Martine Galibois Barss (Comité des Parents de North Vancouver), : Hales (La Maison d’accueil) , Pierre Poirier (La Maison d'accueil) , Robert Godard (Société d’en- traide du Pacifique) , André Chollat (Société histo- rique franco-colombienne) , Yves Bajard (Société Audio- visuelle) , Jacqueline Rutherford (A.P. ag, Ors G8 . ensemble Plan de reconstruction de la F.F.C. Suite de la page 4 fourniture d’avantages et de services en nature). Le groupe de réflexion de Vancouver est donc arrivé a la conclusion que les réle, les pouvoirs et les responsabilités des services centraux de la F.F.C. doivent, du fait de leur succés méme, et dans un souci d’économie et d’efficacité étre trés sérieusement amendeés. Nous indiquons ci-dessous les grandes lignes d’un mode de conception de la F.F-.C. qui, 4 notre avis permettrait d’en améliorer sensiblement les résultats et le rendement. Ceci améne 4 réformer tes objectifs de la francophonie, et donc ceux de la fédération, comme suit. * Objectif d’ensemble de la francophonie en Colombie britannique Permettre l’€panouissement et sans conflit avec la majorité anglophone. Ceci implique : —Diaccroitre de maniére con- tinue la proportion des per- sonnes dont le frangais est la langue maternelle, qui l’uti- lise couramment dans un contexte culturel agréable. — D’amener les personnes de souche francaise qui ont oublié la langue ou ne l’ont jamais sue, a s'‘intéresser a leur culture d’origine. — D’amener une proposition croissante de la majorité sans attaches frangaises a s'inter- resser au fait francais (lan- gue, culture, gastronomie, tourisme, etc.). : Atteindre ces objectifs est rendu plus facile actuellement par le succés du programme d'immersion dans les écoles. Les délais doivent étre défi- ~ nis au cours de séances de dis- cussion entre représentants des organismes francophones, en fonction des moyens dis- ponibles ou prévisibles des activités envisagées, et des obstacles possibles 4 la stabi- lité et a la continuité de l'action, comme par exemple, le risque de conflits avec la majorité anglophone. La réduction des coits implique, 4 notre avis plu- sieurs tendances : 1. Une transition aussi rapide que possible de la situation actuelle, que l’on peut carac- tériser par la prépondérance de personnel payé 4a plein temps et chargé de la plupart des aspects du développement a un systéme basé sur l’action de personnel bénévole ou semi-bénévole, provenant de la communauté — franco- colombienne et actifs dans l'une ou l’autre des associa- tions existantes. Le semi- bénévolat peut se définir comme suit une partie déterminée (variable selon les circonstances et les taches a accomplir) du temps mis a disposition dela _ franco- phonie, serait défrayée c’est- a-dire, payé a son prix cot- tant. Les frais divers seraient payés. L’économie réalisée serait trés nette, en ce sens que seul le temps actif des personnes intervenant dans l’action de développement serait payé. Il n’y aurait pas de temps morts. 2. Une recherche de diversifi- cation dans le financement en’ s'adressant a des autres agences que le Secrétariat d ‘Etat et en faisant peut étre plus nettement appel 4 la population desservie : cultures et 4 deux langues ne devrait pas étre gratuit. Dans ces conditions, le but spécifique a atteindre pour nous tous est d’aboutir a un d’organisations francophones .- a locales ou chargées d’un man- dat — spécialisé (éducation, histoire, Social, culturel etc.) a l’échelle de 1a pro- ‘ vince, qui soient bien cons- cientes de leurs objectifs pro- pres organisées en consé- quence, dotées des moyens financiers pour ce faire, coor- données entre elles, afin d’échanger des services, effi- cacement reliés avec d’une part les sources de finan- cement possible, et avec les personnes qu’elles sont censées servir — et donc représen- tatives. : Ceci peut sembler évident et étre déja le cas. Notre opinion est que bien que des progrés aient été réalisés en ce sens il y a beau- coup 4 faire encore tant en ce qui concerne les associations locales que les organismes spécialisés 4 vocation provin- ciale. La définition de la signi- fication précise de toutes les caractéristiques énumérées ci- dessus devrait étre l'objet d’une discussion constructive entre représentants des orga- nismes francophones dans les délais les plus brefs. Ceci illustre importance de la ren- contre des présidents qui doit se tenir les 16 et 17 mars, et la nécessité de faire cela dans une ambiance objective. La question qui se pose alors est : quels profils la Fédération et ses __ services centraux devraient-ils. avoir pour permettre, a moindre cout et dans des délais rai- sonnables la réalisation de ce but spécifique, étant donné la situation existante. Nous proposons, dans le tout de susciter la réflexion et la discussion les grandes orienta- tions suivantes : © Les associations devraient, dans les délais les plus brefs possibles, «se prendre en main» aussi complétement que possible et ne pas comp- ter autant que maintenant sur le soutien technique des ser- vices centraux de la Fédéra- tion. Le volume des services requis par les associations locales et les organismes spé- cialisés n’est pas tel qu'il justifie la mobilisation a plein temps d’un centre de secré- tariat, de traitement de textes, de traduction et de soutien technique et éduca- tionnel au développement de maniére au moins aussi effi- cace, en faisant appel aux res- sources existantes dans le cadre des associations et organismes existants, au moyen d'un réseau formel d'entraide: qui pourrait étre mis au point trés rapidement _déchanges de } Les prix indiqués sont } valables pour la plupart des voitures, piéces et main-d’oeuvre compri- ses. Tous les réglages MINIT-TUNE sont Garantis. et sans difficultés majeures. Les services aussi fournis seraient «payés» soit sous forme de contribution moné- taire, soit sous forme de ser- vices en nature dans le cadre d’une bourse d’échanges de services 4 mettre en place. © Ceci implique aussi que les associations et organismes francophones s’organiseraient de maniére a pouvoir for- muler leurs objectifs propres trés clairement, les comparer avec ceux des autres organis- mes, identifier les double- emplois, les complémentari- tés, les conflits éventuels et les © autres possibilités d’échanges de service. Ils devraient pouvoir réaliser ceci dans le cadre d’un sys- teme de concentration analo- gue a lOPEC, mais dans lequel l’initiative viendrait de chacun des groupes et non du centre. Ceci implique aussi, dans un souci d’économie et d’efficacité, une organisation décentralisée, véritablement fédérale, avec concentration dans chaque région avant la mise en commun et la con- ciliation au niveau provincial. Un tel schéma aurait l’avan- tage d’accroitre le sens de res- ponsabilité dans les différents organismes et la conscience d’appartenance a une communauté diffuse, mais réel’ et dynamique. Il faut signaler 4 ce sujet que la réal' ation de |'OPEC par les services centraux de la F.F.C. et les membres de la Fédé- ration a contribué trés nette- ment a rendre ceci possible. ¢ Dans ces conditions, logi-’ ae quement, chaque association devrait préparer son budget en fonction des activités de développement qu’elle entend mener a bien * du coat de son administration et de sa repré- sentation auprés de .ceux ~ qu'elle dessert, et des services u’elle attend du «Centre» de la Fédération. Ces budgets seraient mis en commun et assemblés, les priorités services en nature, ce qui doit étre four- ni par le centre, et ce qui doit étre financé de |’extérieur. e Alors, les services centraux utiles, leur réle et les moyens nécessaires seraient identifiés et la contribution de chaque. organisme 4 son fonctionne- ment serait définie. I] nous: semble que ceci aménerait a des économies notables, 4 une plus grande efficacité et 4 un véritable sens d’appartenance. Le Centre, dans ce contexte peut étre envisagé comme un centre de coordination, d’échange et de distributions entre organismes, de soutien a laction des élus de la Fédération auprés des diverses sources de financement et des populations cibles. Idéale- ment, le centre ne devrait pas avoir de sources de fonds indépendantes et devrait étre financé intégralement par les groupements membres, 4 partir de leurs budgets res- pectifs. Dans ces conditions les services centraux seraient beaucoup plus du type «Secré- tariat général» (comme 4a VONU) que __ «Direction générale» comme actuelle- ment. Ce schéma présente a notre” avis les avantages suivants: — Responsabilité directe du centre envers les membres. — Meilleure représentation, car des conditions, il est pro- bable que les groupements non-membres de la F.F.C. s’y joindraient de nouveau. — Respect de la contrainte, trés normale et raisonnable d'un interlocuteur unique au nom de la francophonie (les élus de la Fédération ou le ’Secrétariat général, diment mandaté et rendant compte) pour les agences gouverne- mentales qui le désirent (ex: Secrétariat d’Etat) . Voici donc les grandes lignes de nos conclusions et propositions. Elle sont soumi- ses a l'ensemble de la francophonie, en préparation d'une présentation directe durant la Réunion des pré- sidents des 16 et 17 mars. Nous espérons qu’elles parai- tront raisonnables et qu’a Vissue de la réunion une action pourra étre entreprise pour assurer une transition efficace entre l'état actuel et le ‘schéma qui aura été adopté. - Ce qui a déja été fait dans le cadre de l’'OPEC, de maniére imparfaite peut-étre, mais trés encourageante. Le groupe de réflexion Démission reportée L’Honorable Serge Joyal ~ Secrétaire d’Etat du Canada M. le Ministre, Le 27 février dernier je vous écrivais vous indiquant mon intention de démissionner du Comité consultatif pour un - Centre communautaire fran- cophone 4 ne si_la uite page 14 l'avan-, tage d'avoir accés a deux vocations - LES 46 REGLAGES — MINIT TUNE eNouvelles bougies Nouveau condensateur eNouvelles pointes platinées eNouveau balai rotatif (si nécessaire) eLubrification de la soupape . calorifique *Réglage du point d’arrét eAjustement du carburateur eEssai de route __ (Filtre 4 air en supplément, sur demande) 14 CYLINDRES 5 4* 464 6 CYLINDRES 56 50% 8 CYLINDRES 6188 5588 7 dollars de plus pour les voitures & allumage conventionnel. Tous les prix sont hors taxe Prix normal Prix normal FREINS A DISQUES AVANT COMPREND : eGarnitures avant eInstallation eGraissage des roues avant eVérification du systéme hydraulique | ePolissage du rotor avant (Bagues de graissage, ressorts et liquide de frein en supplément) 89°° SPECIAL 79° FREINS ARRIERE COMPREND : - eResurfacage des tambours larriére ®Vérification du systéme' hydraulique eRévision du frein _(Bagues i de graissage, res'sorts et liquide de frein en supplément) 19° ‘specia, 69° MINIT TUNE 96 S.W. Marine Dr., Vancouver, C.b., 321-3778