ERIE BEE AL ILL BAR OR ABT BE OLAS DAE BATE ee a yer __ Ils sont préts a riposte ts Adup & 1989 dinstauration du programme demandé. La réponse du département de 1 Education fut une attitude outraggy absolument pease purces de lobbying dans la balance. tualig érant alarticle 23 de | Ayant rempli ces dei, te des Droits et Liber- ditions, | AFY a prése’ qui garantit Tenseigne- décembre 83 un que Pane An lo Les ententes fédérale- 7 ps provinciales en matiére 7 inci : Our nous, és d’éducation ee SM dncophone : oe oo comme nous % gmm@@ \_ors de la premiére réunion du Comité Politique qui avait lieu le 28 aout dernier, la recommendation suivante fut présentée et acceptée: «que le Comité Politique préte main forte au Comité Education en ce qui a trait aux revendications auprés du gouverne- ment provincial, notamment au niveau du Programme Cadre de Francais». i ité : /odant tout ce temps-la, le Dans cette optique. ces deux comités se sont penchés sur la jJéepartement de I’Education a question de l'aide fédérale relative au développement de l’en- sontinué a faire la sourde seignement en langue francaise hors Québec et nous vous pré- yreille, A gagner du temps et a sentons les grandes lignes de ces différents programmes. emer la confusion, jusqu au sein des débats en Chambre Programmes formulaires: -. AUX NIVEAUX ELEMENTAIRE ET SECONDAIRE (i) Aide a l'enseignement dans la langue de la minorité de langue officielle (la langue de la minorité de langue officielle est l'anglais au Québec et le francais dans les autres provinces). Le gouvernement fédéral verse 4 chaque province une con- tribution equivalent 4 9% du cout annuel moyen de |l’enseigne- ment par éléve pour chaque éléve qui étudie 4 temps plein dans la langue de] i : angue officielle au niveau élémentaire y[ U2 SasTBOUBA] Sa[O09 sag a ee Tut UeILIG-2qUO|OD ¥| ap -ejagp ¥Nb 99 48a,9 “axa! Wonp?.| 9p S19isiuill Np op ensue] Bj suep sauuop feulap &] 8 [891U0W ep juosas siv[sue | ynes sanoo